Ode III / Ode III

Contre toute nature, des oiseaux célestes battent majestueusement leurs ailes au-dessus des mers déchaînées en brisant les silences des diluviens. Éveillés par les bruits atroces provenant des abysses, la tragédie, qui se déroule à l'intérieur des océans, ne pouvait, en aucun cas, échapper à la bienveillance des oiseaux célestes. Sous l'effet des battements des ailes des oiseaux célestes, les vents, qui pénétrent à l'intérieur des mers, emportent la dépouille du protecteur des océans en enveloppant dans les "bras tourbillonant" du dieu du vent. Ainsi, les derniers instants de vie du protecteur des océans resteront gravés pour toujours dans l'esprit de Ode.  

Pendant ce temps, les pluies diluviennes, qui annoncent la fin d'une ère, s'abattent brusquement sur les contrées lointaines comme pour redonner l'espoir aux diluviens errants sur les routes vers Trias. Aux abords de la cypte des dragons, le dernier grand protecteur de l'humanité, qui ressent, à cet instant décisif, la peur profonde des primitives, contemple la pluie diluvienne éteindre calmement les flammes des créatures enrochées qui ne montrent pas étrangement des signes d'hostilité. Soudainement, Long, qui avance vers les terres ignorées, sait qu'il doit rejoindre le berceau de l'humanité dans lequel les empreintes du créateur demeurent encore fraîches. C'est alors que Long embrase, à nouveau, le pouvoir de la pierre cosmique en ravivant son bouclier de dragon. Face à son destin de protecteur, Long ne déniera aucune épreuve pour sauver les Hommes. En s'immergeant dans ce monde ignoré, il découvre un nouveau monde, le monde fait par les mains des hommes, le peuple du "créateur".   

Long : Ainsi, les primitives, qui demeurent esseulés, sont en péril. Les obédiences franchisseront prochainement la frontière non naturelle qui mène le berceau de l'humanité. Un homme, de l'espèce humaine, serait, ainsi, le créateur.    

Against all odds, some celestial birds are majestually flapping their wings above the raging seas in breaking the silences of the diluvians. Awaken by the atrocious noises coming from the abbysses, the tragedy, that happens inside the seas, cannot escape, under no circumstances, to the goodwill of the celestial birds. Under the effect of the flappings of the celestial birds, the winds,that penetrate inside the seas, are windsweeping the corpse od the protector of the oceans in shrouding in its "whirling arms" of the god of the wind. Hence, the last moments  of the life of the protector of the oceans will be inscribed forever in the mind of Ode. 

Between-whiles, the diluvian rains, that are announcing the end of an era, are abruptly pouring down on the far away lands as for giving hope to the wandering diluvians on the roads towards Trias. In the vicinities of the crypt of the dragons, the last grand protector of the humanity, who is feeling, at this defining moment, the deep fear of the primitives ones, is contemplating the diluvian rain calmly extinguishing the flames of the stone packed creatures that don't show oddly signs of hostility. Suddenly, Long, who is advancing towards the ignored lands, knows that he must join the humanity craddle in which the imprints of the creator still remain fresh. It's then that Long is again embracing the power of the cosmic stone in reviving his dragon's shield. Facing his fate of protector, Long will not deny none hardships in order to save the mankind. In getting immersed into this ignored world, he is discovering a new world, the world made by the hands of the mankind, by the clan of the "creator".     

Long : Hence, the primitives ones, that remain alone, are in peril. The allegiances will soon cross the unnatural frontier that leads to the humanity craddle. A man, from the mankind, will be, so, the creator.    

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