Les mondes d'allégeance I / The worlds of the allegiance I

A peine ses yeux aient modestement cru à cette cruelle réalité, tout s'offre à Onus. Pendant qu'Onus prend conscience des choses qui le ceignent, des discussions houleuses entre des jaseurs, sans scrupule, démembrent celui, dont la vie tragique était vouée à combattre. Mis à part cela, du fier briseur de pierre, ardent à accomplir sa vibrante destinée, auprès de ces protecteurs de la contrée de dune, éteints, qui ne semblaient guère avoir été lassé de ces turpitudes, sans fin, qui s'imaginait, encore, être prélassé, dans ces lits pierreux baignés par la lumière révélatrice, il n'en reste que des restes ramassés, à la petite cuillère, selon ces jaseurs. 

Pendant que les vilains entrainements se déroulent, de la manière dont les fureteurs peuvent l'imaginer, en lorgnant les charrettes bondés de corps mutilés entrain de bonder à l'intérieur de ces cavernes souterraines, où, des giclées de sang arrosent les têtes, les fureteurs fourbes, qui ne laissent guère échapper ces malheureux assassins et tourmenteurs, qui s'enfuient, avec des vivres, malgré la présence angoissante d'ogres bourreaux, annonçant bruyamment une grande escouade, après que la fuite du roi méconnaissable soit, enfin, reconnue comme étant une faute d'étourdissement de leur part, ayant gérés cette affaire de la plus haute importance, d'une manière dilettante, comme pour remuer, tour à tour, ces confins vastes entourant le monde des abysses. Bien qu'ils soient, seuls, dans ces méandres s'élargissant, avec l’amoncellement intempestif de créatures gigantesques, les fureteurs, maniant, à la perfection, des armes ayant des pouvoirs, languissent jusqu'au moment propice, où, les suppôts protégeant le secret autour des dieux de la destruction, feraient un mauvais pas. Mais, en attendant que les dédaigneuses nouvelles ne fassent, encore, vivre ceux dont la vie a un prix, les fureteurs, qui ambitionnent à faire des démêlures, auxquels s'ajoutent inextricablement des rumeurs courant, à travers les sillons de la mort, s'élancent dans les chemins de la vérité. Et tout à coup, malgré l'oppressante répression, l'un des fureteurs parvient à glisser, dans l'oreille d'un passeur des mondes souterrains, ces quelques mots sauveurs.

Quelques temps plus tard, à un détour des mondes souterrains, le passeur des mondes souterrains, dont la gaillardise méritoire n’échappe guère à ces castes fervents de la lumière, entourés de croisées de la lumière, et de révélateurs prédicateurs, leur retransmet ce précieux message, embouteillé, écrit, grâce au sang des hommes. C'est alors que l'un des fervents de la lumière lit ostentatoirement, avec une grande appréhension.

L'un des fervents de la lumière : Malgré les empiétements des créatures diaboliques sur les puissants ordres séculaires, ayant, autrefois, ravisés les dieux courroucés de ne pas envoyer leurs plaies, à travers les contrées éloignés de leurs royaumes protecteurs, afin que l'asservissement des peuples ne soit guère une fatalité pour ces régents, d'une manière la plus tragique, en les bannissant sur les terres surélevées, à tout jamais, les jaseurs perfides, dont la foi punique semble, encore, faire des siennes, parmi les plus récalcitrants, jusqu'à douter de la puissance de ces créatures asservies, trainant des adorateurs du mal, jusqu'aux terres anciennes, sur lesquelles étaient érigés des royaumes obscurs, dédisent de la vérité. Le chaos mène au chaos.

As soon as his eyes have easily believed to this cruel reality, everything is offered to Onus. While Onus is taking consciousness of the things that surround him, grumbling discussions between unscrupulous prattlers are dismantling the one, of which the tragical life is fated to combat. Apart from that, from the fierce stonebreaker, eager to accomplish his vibrating destiny, among these protectors of the lands of sand, extinguished, that did not seem to be outvied him, in spite of these endless turmoils, who imagined, again, to be vied, in these stony beds bathed into the revealing light, it remains only remnants grabbed, at the spoon, according to these prattlers.

Whereas the bad unravellings are occuring, in a such way that the ferrety ones can imagine it, in lorgnating the carts full of mutilated corspses in going to heave up inside these underground caverns, where, gusts of blood are spurting out on the heads, the perfidious ferrety ones, that are not letting escape these unlucky assassins and tormentors, that are running away, with victuals, despite the anguishing presence of giant torturers, announcing noisily a grand tumult, after the run away of the unrecognizable king, is, in fine, recognized as being a dizzy fault from them, having dealt this affair, of highest importance, in an idle way, as for shaking, by turns, these wast confines surrounding the world of the abysss. Although they are, alone, in these meanders being widening, with the bursting piling of the gigantic creatures, the ferrety ones, wielding perfectly power of the weapons, are lingering to the auspicious moment, when, the agents protecting the secret around the gods of destruction, would go to the wrong direction. But, in waiting that disdainful news are again, making alive the ones of which the life is worthy, the ferrety ones, that have the ambitions to undo the untanglements, at which is added inextricably rumours, running through the furrows of the death, are rushing into the paths of the truth. And all of a sudden, in spite of the oppressing repression, one of the ferrety ones is succesfully slipping into the ear of one of the slider of the underworlds, few saving words. 

Few moments later, at the about tun of the underworlds, one of the sliders of the underworlds, of which the deserving effrontery is not escaping to the caste devotees of the light, surrounding by crusaders of the light and predicating revelateurs, is giving them ths precious message, bottled, written thanks to the blood of the mankind. It's then that one of the devotees of the light is lecturing, with a grand worriness.

One of the devotees of the light : Despite the fact that the impingements of the bedeviled creatures on the potent secular orders, having, in the old times, avoided the gods full of fury to not send their plagues, across the lands far away from their protective realms, for that the slavishness of the people is not a fatality for these regents, in a tragical way, in banishing them on their uplifted lands, for the nevermore, the perfidious prattlers, of which the punic faith seems again to make deeds, among the skeptical ones, till doubting about the puissance of these enslaved creatures, dragging the adorers of the evil onto the ancient lands, on which were erected dark realms, are fooling everyone. The chaos leads to chaos.

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