Échappée de lumière IV / Escapee of light IV

Tandis que Jana, qui écoute précieusement les songes du gardien de l'observatoire de la lumière, vit pleinement ces frêles instants précieux et éphémères en admirant tout autour d'elle les effervescentes échappées de lumière, les créatures du mal, qui reconnaissent, avec crainte, le puissance de la lumière, s'éngouffrent massivement dans le monde souterrain en libérant, un temps, les terres d'entre-deux. Au même moment, le fléau des dieux, le lion, qui est totalement baigné par la lumière, semble se briser de l'intérieur en petits fragments en laissant échapper une escapée de lumière. C'est alors que les chaînes de l'enfer, qui sortent de terre, encerclent enfin la créature bestiale en pleine lutte contre la lumière. À ce moment de flottement où tout s'enchaîne à une vitesse supérieure,  le lion, qui s'embrase spontanément tel un feu éternel, s'élève paradoxalement dans les ciels, levé par la lumière révélatrice, en décélérant fortement la vitesse des chaînes de l'enfer qui se dirigent vers lui. De l'autre côté de la vallée de la mort, les émissaires, qui connaissent finalement la position exacte du lion, implorent encore l'aide de la vertueuse lumière.  

Pendant ce temps, Ode, qui braque à fond l'autotech révitalisée pour éviter la collision contre les falaises des grottes aquatiques, est subitement distraite en suivant du regard la clef des songes appartenant au protecteur des océans.  Sous le regard abasourdi de Ode, la clef des songes, qui rescelle les songes recueillies des purifiés, produit une ode envoûtante en attirant la curiosité de la jeune combattante. 

Ode : Que cache la clef des songes ?   

Tandis que Ode tente d'élucider les mystères de la clef des songes, la marche des diluviens se complique grandement lorsque le destructeur, Rinoféroce, invite les créatures de l'oubli dans les rangs dans le but de les exterminer. À peine arrivés sur les versants de Dystopie, les diluviens, qui s'enlisent dans le sable mouvant, décrivent un monde sans pareil provenant d'une autre planête. Dans ce monde onirique, les reliefs et les aspérités de la surface apparaissent absolument uniques.    

Whereas Jana, who is preciously listening to the guardian of the observatory of the light, is fully living these frail precious and ephemeral moments in admiring all around her the effervescent escapees of light, the creatures of the evil, that are recognizing with fear, the power of the light, are massively rushing into the underworld in liberating, one time, the lands caught in between. At this same moment, the scourge of the gods, the lion, who is brutally bathed into the light, seems to break himself from the inside in small fragments in leaving escape an escapee of light. It's then that the chains of the hell, that spring out, are encircling the bestial creature in full struggle against the light. In this floating moment when everything  hangs together at superior speed, the lion, who is spontaneously ablazing himself as an eternal fire, is paradoxically raising in the skies, lifted by the revealating light, in reducing the speed of the chains of the hell that are going towards him. From the other side of the valley of the death, the emissaries, that are finally knowing the exact position of the lion, are imploring again the virtuous light.  

Between-whiles, Ode, who is turning the steering wheel the revitalized autotech in order to prevent an collision against the cliffs of the aquatic grotto, is suddenly distracted in following the key of the songes belonging to the protector of the oceans. Under the stunned eyes of Ode, the key of the songes, that conceals the collected songes of the purified ones, is producing an enchanting ode in attracting the curiosity of the young fighter. 

Ode : What hides the key of the songes ?  

Whereas Ode is attempting to elude the mysteries of the key of the songes, the walk of the diluvians is really getting complicated when the destroyer, Rinoferoce, is inviting the creatures ob oblivion in the ranks in order to exterminate.  As soon arrived in the versants of Dystopia, the diluvians, that are sucked down in the quicksand, are describing a unparalleled world of another planet. In this otherworld, the reliefs and the asperities of the surface appear unique.  

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