Union sacrée VII / Sacred union VII

Tout autour du monde, les dissimulateurs, qui prennent l'avantage dans cette guerre de mouvement, obscurcissent les routes des croisades dans lesquelles les Hommes et les créatures fantastiques sont embourbées. En ordre de marche, les combattants de croisade, qui s'enlisent dans les routes des croisades, retournent au "source" du monde. À cet instant de chaos, l'union sacrée entre les Hommes et les alliés des hommes résiste malgré l'oppression du mal. Telles des marches conquérantes, tous espérent à sauver l'humanité.  

Parmi ces marches conquérantes, une marche s'illustre funestement. Sur les traces des grands bâtisseurs, les pourfendeurs des géants, qui sont à la recherche des preuves de l'existence d'un ailleurs, s'évanouissent à l'intérieur de ce monde insoupçonnable où les Hommes sont bannis. À la frontière de ce monde banni, les Hommes, qui marchent tels des aveugles, se perdent dans le monde de l'au-delà. Avec leurs yeux dorénavant vitreux, ils errent comme des âmes en peine dans le monde de l'au-delà.  Au même moment, la prêtesse combattante, qui est à la dévotion des peuples de ce monde, regarde, avec désolation, un groupe dissident de la résistance s'éteindre inexplicablement.   

Pendant ce temps, la marche des diluviens, qui continue effroyablement, reste l'un des seuls espoirs pour sauver l'humanité. Tandis que les diluviens franchissent, à ce même moment où d'autres peuples périssent, cette frontière impassable pour le commun des mortels, la résistante, Ode, qui a courageusement rejoint le préservateur, tente de sauver son peuple avant qu'il ne soit trop tard. La peur grandit profondément en Ode lorsqu'elle pense au destin de son peuple. Comme un cri dans l'océan, Ode implore l'aide du préservateur. C'est alors qu'elle écoute avec émotion les derniers messages volés des diluviens.

Les diluviens : Sur cette frontière naturelle, les éléments naturels se meurent. Combien de pierres outremer restent - elles ?  

Ode : Je vous sauverai ! 

All around the world, the dissimulateurs, that are taking advantage in this movement war, are darkening the roads of the crusades in which the men and the fantastic creatures are sticking in the mire. In march order, the fighters of the crusade,  that are getting bogged down in the roads of the crusades, are returning to the "source" of the world. At this moment of chaos, the sacred union between the mankind and the allies of the men resist to the oppression of the evil. As conquering marches, all hope to save the humanity. 

Among these conquering marches, one march is deadly rendered. On the footsteps of the grand builders, the slayers of the giants, that are looking after the proofs of the existence of unknown world, are vanishing inside of this unsuspected world where the men are banished. At the frontier of this banished world, the men, that are walking as the blinds, are loosing themselves in the next world. With their eyes, from now on, glassy, theyr are wandering about like a lost soul in the next world.  At the same time, the fighting priestess, that is totally devoted to the people of his world, is watching, with disarray, a fringe group of the resistance extinguish unexplainably.  

Between-while, the march of the diluvians, that continues dreadfully, remains one of the only hopes for saving the humanity. While the diluvians are crossing, at this same moment when some other tribes are perishing, through this impassable frontier for the common mortals. The resistant, Ode, who has courageously joined the preservateur, is trying to save her tribe before that is too late. The fear grows deeply into Ode when she is thinking to the fate of her tribe. As a cry in the ocean, Ode is imploring the help of the preservateur. It's then that she is listening with emotion the last stolen messages of the diluvians. 

The diluvians : On this natural frontier, the natural elements are dying. How many seablue stones remain ?

Ode : I will save you !      

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