Bouclier humain I / Human shield I

Tout à coup, les technocréatures grouillent tels des insectes devant le réservoir d'énergie comme pour protèger leur lignée. Alors que les technocréatures adoptent un comportement étrange similaire à celui des créatures du mal, Ode, qui ne peut livrer seule cette bataille, tente, pour la enième fois, de rallier le préservateur.  Sous les machines infernales, Ode, qui essaye de capturer les instants volées dans lesquels les eaux troubles, qui coulent inexplicablement du haut de l'enceinte, font rouiller les technocréatures, réussit insciemment à empirer la situation. C'est alors que  Sérum, qui cherche également le repaire des technocréatures, appelle le diluvien à garder son calme.   

Sérum : Diluvien ! Les eaux demeurent calmes. Un geste brusque pourrait tout anéantir. 

Ode : Le technocréatures gagnent instinctivement ce repaire. L'une des technocréatures appelle à la révolte.  

Sérum : Les créatures mi robot, mi bêtes doivent quitter ce repaire. 

Ode : La centrale énergétique est située sous leurs pattes.   

Pendant ce temps, à la lointaine contrée, la tempête ne s'essoufle pas. Au seuil du sanctuaire du taureau, Long, qui lutte contre les vents cosmiques provenant d'une brêche spatiotemporelle, se transforme au fur et à mesure que les vents soufflent. C'est alors que Long, enfonce, dans les terres natives, ses mains de dragons, subliminalement transformées, un temps, afin de résister aux bourrasques les plus puissantes de ce monde ignoré. Tel un conquérant, le dernier grand protecteur de l'humanité résiste à l'épreuve du temps. Malgré les âges, Long, qui jouït encore d'un esprit intact, esquisse, à nouveau, dans son esprit  les contours de ce que deviendrait le monde si il n'agissait pas.    

Long : Les créatures primitives, adopteront, agisseront différemment face à cette nouvelle nature. Les créatures primitives connaissent les emplacements des soucres primaires. Les racines, qui avaient arraché le sanctuaire du taureau du temps, sont en mouvement comme pour annoncer le retour de quelque chose. 

All of a sudden, the technocreatures are swarming about the energy's reserve as for protecting their descendant. Even when the technocreatures are adopting an odd behavior similar to the one of the creatures of the evil, Ode, who cannot alone give battle, is attempting, for the umpteenth time, to rally the preservateur. Under the infernal machines, Ode who is trying to capture the stolen moments in which the troubled waters, that run unexplainably from the top of the precinct, are making the technocreatures rusted, is unknowingly succeeding to get worse the situation. It's then that Serum, that is also searching the lair of the technocreatures, is urging her to remain calm.

Serum : Diluvian ! The waters remain calm. An abrupt move can devastate everything. 

Ode : The technocreatures are instinctively gaining this lair. One of the technocreatures calls to revolt. 

Serum : The creatures half robot, half beast must abandon this lair.  

Ode : The power station is situated under their forefeet.   

Between-whiles, at the far away land, the storm doesn't loose momentum. On the threshold of the sanctuary of the bull, Long, who is battling against the cosmic winds coming from a spatiotemporal breach, is transforming himself as the winds blow away. It's then that Long is sticking, in the native lands, his hands of dragon, subliminally transformed, one time, in aiming to endure the hardest wind-swept of this ignored world. As a conqueror, the last grand protector of the humanity stands to the test of time. In spite of the ages, Long, who is still enjoying an untouched mind, is outlining in his mind the contours of what the world would become if he does not act now.       

Long : The primitive creatures will adopt, will react differently facing this new nature. The primitive creature know the positions of the primary sources. The roots, that had snatched the sanctuary of the bull from the time, are in motion as for announcing the return of something.    

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