Contrée oubliée III / Forgotten land III

A l'intérieur du quartier général hautement surveillé par les bombardiers, Ode, qui s'adapte parfaitement à la situation, malgré qu'elle appartienne à une autre espèce, découvre, par inadvertance, un stratagème complexe permettant, ainsi, de sauver l'Etat de l'ordre et l'un d'entre eux, sans qu'elle ne puisse comprendre entièrement de ce qu'elle est entrain de voir sous ses yeux. Hormis l'arsenal d'arme, rien ne semble être aussi impressionnant. Exceptée une chose, une esquisse fantasque du canon de lumière, situé à un endroit imaginaire, apparaît soudainement devant ses yeux abasourdis. Comme une réponse à ses aspirations, Ode est davantage émerveillée par cette simple esquisse que par cette artillerie lourde.    

L'un des bombardiers : As-tu déjà vu quelque chose d'aussi incroyable ? Elle se trouve dans un endroit que tous, nous avons imaginé, tant de fois. La lumière se trouve en chacun de nous. 

C'est alors que Ode, qui a déjà aperçu les lueurs timides de la lumière provenant de l'orbe central de la lumière, comprend cette adoration des Hommes en la lumière en pensant qu'il ne s'agit qu'un lien émotionnel. 

Ode : L'espoir est, la lumière inhérente, l'émotion humaine, que je préfère dans ce monde. J'imagine ces mondes oubliées comme tous les enfants.     

L'un des bombardiers : Ils sont tous comme toi, ils se battent avec leurs "armes", avec leurs imaginations. Aurais-tu rencontré, à travers ton voyage, un sage guérisseur ? La lumière est le lien de vérité entre les Hommes. Mais ce lien est fragile en empêchant les Hommes de se réunir derrière le créateur.  

Ode : Pourquoi avoir choisi Métal si il ne peut pas les réunir !

L'un des bombardiers : C'est pourquoi certains hommes préchent la parole divine ! L'odyssée de l'élu des Hommes ne fait que commencer !

Et soudainement, la gravité de la situation s'expose enfin au fur et à mesure que les images de la guerre insidieuse, retransmises, à un temps défini, par les robots technologiques d'espionnage, sont récupérées, quelques jours plus tard, par une unité de surveillance provisoire gérée par des bombardiers. Les jours précédant la chute de l'Etat de l'ordre, qui sont regardés lentement, image par image, par les bombardiers, sont vécus comme des vrais moments de torture par ceux qui avaient dénoncé cette conspiration contre l'humanité  ignorant, ainsi, l'existence d'un dieu parmi les Hommes. 

L'un des bombardiers : Un ordre suprême féconderait un roi de droit divin. Ce sont les dernières images que nous avons eu la chance d'intercepter. Ces informations provenant de la chambre des ordres sont effroyables. La chute de l'Etat de l'ordre était inévitable.  

Un autre bombardier : Un roi pour régner sur les terres réunifiées des Hommes ?  

Inside of the headquarter high monitored by the bomber men, Ode, who is perfectly adapting to the situation, in spite of she belongs to another species, is wonderfully discovering a complex stratagem in allowing, so, to save the state of order and one of them, without knowing wholly that she is seeing under her eyes. Apart from the weapon arsenal, nothing seems to be impressive. Excepting one thing, a delusional drawing of the cannon of the light, situated in an imaginary  place, appears suddenly in front of the stunned eyes. As a response to their aspirations, Ode is more amazed by this simple drawing than by this heavy artillery.  

One of the bomber men : Have you ever seen  something so unbelievable ? It is situated in a place that everyone, we have imagined, time and again. The light can be found in each one of us.

It's then that Ode, who has already catched a glimpse of the timid sparkles of the light coming from the central orb of the observatory of the light, is understanding this adoration of the mankind in the light in thinking that it's just about an emotional link.  

Ode : The hope is the inner light, the human emotion, that I prefer in this world. I imagine these forgotten worlds as all the children.

One of the bomber men : They are all like you, they are fighting with their "weapons", with their imaginations. Would you have met a wise healer, during your journey ? The light is the link of the truth between the mankind. But, this link is fragil in avoiding the men to gather behind the creator. 

Ode : Why Metal has been chosen if he can not gather them!

One of the bomber men : That's why some men preach well ! The odyssey of the chosen one has just began ! 

And suddenly, the gravity of the situation is finally exposed as one goes along the images of the insidious war, broadcasted, at a defined period of time, by the technological robots of espionage, are retrieved, few days later, by a temporary unity of surveillance operated by the bomber men. The days preceding the fall of the state of order, that are slowly watched, image by image, by the bombermen, are lived as true moments of torture by the ones that had denounced the conspiracy against the humanity, in ignoring, so, the existence of a god among the mankind.   

One of the bomber men : A supreme order would fecundate a king of divine right. There are the last images that we have the chance to intercept. These informations coming from the chamber of the orders are dreadful. The fall of the state of order was inevitable.

Another bomberman : A king to reign in the reunificated lands of the men ? 

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