Corpuscule II / Corpuscle II

Après quelques temps, Ode, qui partage le fardeau des diluviens, soulève, avec force, les débris qui jonchent la scène de dévastation à l'intérieur duquel les diluviens, qui demeuraient enfermés dans des prisons flottantes, agonisent lentement en attendant désepéremment une aide salvatrice. Bien que Ode soit une jeune créature aquatique qui doit encore découvrir beaucoup de choses concernant le monde aquatique et ses contrées, ses décisions révèlent une grand maturité. A cet instant où son peuple souffre, Ode, qui possède en elle une part d'humanité, continue inlassablement à soulever les nombreux débris, les uns après les autres, dans l'espoir de revoir l'un de ses semblables. L'émotion est à son paroxysme lorsque la jeune créature aquatique, qui combattait, seule, pour sauver son peuple, revoit enfin le visage d'un diluvien. 

Ode : Je croyais que je vous avais perdus ! 

L'un des diluviens : Le grand protecteur des océans avait, depuis longtemps, annoncé ta venue ! L'heure est venue pour reconquérir les différentes contrées aquatiques ! Le monde aquatique est vaste.

Ode : Verrais-je, de mon existence, le royaume des mers ? 

L'un des diluviens : Si nous gagnons cette guerre !  

Ainsi, les mots de ce diluvien réconforte Ode. 

Sur ces entrefaites, proche de Corpuscule, sur le tronçon gigantesque en voie de construction, les robots machinistes, qui renforcent l'ossature du réseau transport express aquatique, soudent, à une vitesse folle, les structures d'attache entre elles, apportées par les robots ayant ratifié le protocole initié par l'ordre autonome des robots. Telle une fourmilière, les robots s'activent grandement afin de terminer le tronçon du réseau transport express aquatique reliant les deux mondes. Mais, hélas, dans le monde d'en bas, les hommes esclaves, dominés par les machines réclament leur liberté en imaginant une issue à ce conflit. 

After few moments, Ode, who is sharing the burden of the diluvians, is forcefully lifting up the wrecks that scattering the  scene of the devastation inside which the diluvians, that remained caged in some floating prisons, are slowly agonizing in waiting desperatly a salvation's help. Although Ode is a young aquatic creature that must discover a lot of things about the aquatic world and its aquatic lands, her décisions reveal a great maturity. At this moment when his people suffers, Ode, who possesses in her a part of humanity. is continuing tirelessly to lift up the wrecks, the ones after the others, in the hope of seeing again one of his fellows. The emotion is at its peak that the young aquatic creature, who has fighted, alone, for saving her people, is seeing finally the face of one diluvian. 

Ode : I throught that I have lost you !  

One of the diluvians : The great protector of the oceans had, for a while, announced your coming ! The time has come for reclaiming the different aquatic lands ! The aquatic world is vast.

Ode : Will I see, in my life, the kingdom of the seas ? 

One of the diluvians : If we win this war ! 

Hence, the words of this diluvian are comforting Ode. 

Between-whiles, close to Corpuscle, on the gigantic sections under construction, the machinist robots, that are strengthening the skeleton structure of the aquatic express train network, are welding, at amazing speed, the holding structures to each other, brought by the robots having ratified the protocol initiated by the autonomous order of the robots. As a hive of activities, the robots are greatly acting in order to terminate the section of the aquatic express train network linked the two worlds. But, alas, in the lower world, the slave men, dominated by the machines, are claiming their freedom in imagining a way out to this conflict.      

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