Le torrent de sable III / The sand torrent III

Les diluviens, dont les esprits ne sont plus enténébrés, voient clairement le danger qui pèse lourdement sur les autres peuples. A peine guéris de leur fièvre, les diluviens, qui avaient la vision troublée, perçoivent, à nouveau, timidement, la lumière qui rase la surface de l'eau. Tout à coup, Ode, dont le destin est partagé entre les hommes et les diluviens, crée la communion autour d'elle. Comme épaulée par l'élu des Hommes, Ode, qui relaye Métal dans ses efforts, devient la cible des créatures du mal. Tout à coup, l'une des obédiences téméraires, qui s'aventure en eau trouble, piège Ode en l'écartant, encore un peu plus, des autres diluviens, encore emprisonnés. Entre les mains de cette créature du mal apparaissent des fragments d'une seule orbe de lumière. Et soudain, la lumière, qui transperce violemment les eaux troubles, se dirige vers l'orbe de la lumière brisée, frappe, puis, soude, les fragments de l' orbe de la lumière brisée entre eux jusqu'à reconstituer parfaitement une orbe de lumière. Les yeux fragiles de certains diluviens encore fiévreux, qui sont rivés sur l'orbe de la lumière, se fragilisent étrangement jusqu'à cet instant de désarroi où leurs paupières se ferment délicatement. Surprise par les faits de la lumière, Ode s'affole en s'inquiétant pour les diluviens.

Ode : Parlez moi ! Quelque chose est différent dans vos yeux ! La lumière vous effraierait-elle ? 

L'un des diluviens : Pourtant, la lumière guérit. C'est ce que les Hommes racontent. Est-il trop tard pour les diluviens ?  Toi, tu es béni par la lumière. 

C'est alors que Ode, qui voit pleinement la lumière, sans être aveuglé, parvient à s'enfuir de ce bourbier. 

Ode : Non, je suis là ! Métal est là pour nous sauver ! 

Un autre diluvien, en criant : Pendant que nous parlons, non loin des villes aquatiques, les vaisseaux ennemis grouillant d'obédiences continuent à cracher des guerriers du royaume des ombres.  

The diluvians, of which the spirits are not darkened anymore, are succesfully seeing clearly the danger that weigh heavily on the other people. As soon as healed from their fever, the diluvians, that had the troubled vision, are again perceiving timidly the light that is razing the water surface. All of a sudden, Ode, of which the destiny is shared between the mankind and the diluvians, creates the communion around her. As shouldered by the chosen one of the mankind, Ode, who is relieving Metal in his efforts, is becoming the target of creatures of the evil. All of a sudden, one of the reckless allegiances, that is venturing into troubled waters, is entrapping Ode in keeping her away from the rest of the diluvians entrapped yet. Between the hands of this creature of the evil, some fragments of one orb of the light. And sudden, the light, that is violently transpiercing  the trouble waters, is heading for the broken orb of the light, is stricking violently the troubled waters, then, is joining together between them the fragments of the broken orb of the light till reconstituting perfectly an orb of the light. The fragil eyes of certain feverish yet diluvians, that are riveted on the orb of th elight, are oddly weakening until this moment of disarray when the eyelids are delicately closing. Surprised by the facts of the light, Ode is thrown into a panic in worrying about the diluvians.      

Ode : Talk to me ! Something is different in yours eyes ! Would the light scare you ?

One of the diluvians : But, yet, though, the light heals. It's what the mankind say. Is it too late for the diluvians ? You, you are blessed by the light. 

It's then that Ode, who is seeing fully the light, without being blinded, is succesfully escaping from this quagmire.

Ode : No !  I am here ! Metal is here to save us !

Another diluvian, in screaming out loud : While we are talking, not far away from the aquatic cities, the enemy vessels swarming with allegiances continue to spit out some warriors of the realm of the shadows. 

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