Les bastions de la résistance I / The bastions of the resistance I

Aussitôt que le monde clos s'ouvre, la bouche de l'enfer s'ouvre en crachant des laves provenant des enfers, un monde infernal entouré de flammes en feu dans lequel le lion en feu à la crinière flamboyante, qui marche souverainement sur des braises ardentes, soulève une armée de feu tout en attisant les colères des dieux. Dans l'obscurité angoissante apparaît le seigneur de guerre du règne du feu. Sous les yeux embrasés du seigneur de guerre du règne du feu, les actes de cruauté commis par les dissimulateurs s'exposent enfin, crument, révélant, ainsi, l'horreur véritable à laquelle l'héraut ne voulait pas voir, de ses propres yeux, de peur de renier ce monde et de renoncer à l'humanité. Malgré la torture manifeste, l'héraut, qui cache son âme sensible, tient, près de son coeur, l'empreinte divine du créateur, comme étant le dernier vestige sacré du berceau de l'humanité totalement enseveli, en esquissant quelques raisons pour continuer à vivre et à croire en l'humanité comme s'il était encore attaché à ce monde. Mais, hélas, le répit ne peut être accordé à cet être qui détient, dans ses mains, la preuve de l'existence du dieu des Hommes. Sans répit, l'héraut invoque l'aide d'un dieu charitable. Sous les pas du seigneur de guerre, les grains de sable, qui coulent, puis, suivent étrangement un chemin, enveloppent d'un manteau de sable celui qui doit être sauvé.  

Pendant ce temps, les salamandres, le peuple des traversées des mondes souterrains, qui ont entendu distinctement une âme crier dans le monde de l'au-delà, rejoignent, grâce à cette traversée formidable, ce monde souterrain jusqu'à le libérer de ses tourments. Alors que salamandres, qui "portent" avec eux un enfant innocent, doté d'un don de nécromancie encore fragil, jusqu'à cet être à part, gravissent, pas à pas, ce chemin ascendant menant vers ce monde souterrain, les dissimulateurs détruisent, pierre par pierre, les fondations de ce monde qui représentait l'asile des hommes. Sous les yeux émerveillés de cet enfant providentiel, un soit disant diseur apparaît lointainement une tempête de sable que même les dieux ne peuvent pas calmer.        

As soon as the closed world is opening, the hell's mouth is opening in spitting out some lavas coming from the helms, an infernal world surrounded with fire flames in which the lion on fire, with a flaming mane, who is sovereignly walking on ardent embers, is lifting up a fire army in all bringing the swathes of the gods. Into the anguishing darkness appears the warlord of the fire reign. Under the ablazed eyes of the warlord of the fire reign, the acts of crualty of the dissimulateurs,commited by the dissimulateurs are finally exposing crudely, in, so, revealing the true horror at which the herald could have not seen, with his own eyes, in fearing of rejecting this world and renouncing to the humanity. In spite of the manifestating torture, the herald, who is hiding his sensitive soul, is holding, close to his heart, the divine imprint of the creator as being the last sacred vestige of the buried humanity craddle in giving some reasons to continue to live and to believe in the humanity as if he was still attached to this world.  But alas, the respite can not be agreed to this being who is holding, in his hands, the proof of the existence of the god of the mankind. Without respite, the herald is invoking the help of a humane god. Under the footsteps of the warlord, the sand grains, that are flowing, then, following oddly a path, are shrouding the sand mantle the one who must be saved.          

Between-while, the salamanders, the people of the crossing of the underworlds, that have dictinctively heard one soul yelling in the next world, are joining, thanks to this formidable crossing, this underworld till liberating him from his torments. While the salamanders, that are "carrying" with them an innocent child, endowed with a fragil yet god giving gift for necromancy, to this apart being, are climbing, step by step, this ascending path towards this underworld, the dissimulateurs, are destroying, stone by stone, the foundations of this world that represented the asylum of the mankind. Under the amazed eyes of this providential child, an apparent teller, appears, from far away, a sand storm that, even, the gods can not appease.            

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