La voûte des mers I / The vault of the seas I

A cet instant où la lumière protectrice fait une irruption réussie dans le monde aquatique, permettant, ainsi, à  ces peuplades réunifiées, vivant sous les mers et loin des terres d'entre deux, de vivre plus longtemps et sereinement loin de l'archipel, les ombres puissantes, qui hantaient les mers, les terres et les ciels, reculent, malgré le fait que le dieu de la destruction, marchant obscurément vers le royaume des ombres, détruit tout sur son passage toute forme de vie jusqu'à dénaturer la nature vivante. Durant ces moments de trouble où la lumière fait reculer les ombres tenaces, des colosses, qui sont soudainement formés d'ombres, sous la volonté du dieu de la destruction, aux pieds du royaume des ombres, se dressent, puis ouvrent les portes damnées du royaume des ombres, sur lesquelles sont emprisonnées des milliers d'âmes maléfiques faisandées par le mal, comme si ils écartelaient affreusement les entrailles de ce monde maléfique représentant le foyer du mal, en provoquant une perturbation dans le monde. La soif d'assouvissement du dieu de la destruction semble être inarrêtable lorsqu'il investit des hordes d'obédiences supérieures d'une mission, pouvant déclencher une bataille sans précédent entre le royaume des ombres et le monde de la lumière. Du royaume des ombres, à l'intérieur duquel des créatures maléfiques, plus horrifiques les unes que les autres, se nourrissent et s'abreuvent de sang, aux différents mondes souterrains, les ombres ouvrent une voie, par delà les frontières, aux destructeurs menant vers le fils du dieu des Hommes.    

Pendant ce temps, sous l'impressionnante voûte des mers incroyablement illuminée par la lumière, l'élu des diluviens, Ode, qui cache dans un obturateur technologique, un fragment de la pierre outre tombe, soupire profondément jusqu'à ressentir cette peur que le dieu de la destruction puisse la retrouver. Sous ses yeux, à la fois, emprunts de joie et de peur, l'élu des diluviens, qui doit, seule, apporter un message à l'élu des Hommes, malgré les suspicions qui pèsent sur elle, ne peut faire confiance à aucune personne dans ce monde impitoyable dans lequel règnent insidieusement des dissimulateurs, à l'heure des royaumes des hommes renaissants.    

At this moment when the protecting light is making a succesful irruption in the aquatic world in, so, allowing to these reunified clans living under the seas and far away from the lands caught in between, to live longer and, with equaminity, far away from the archipelago, the powerful shadows, that haunted the seas, the lands and the skies, are stepping back, in spite of the fact that the god of destruction, walking obscurely towards the realm of the shadows, is destroying everything on its path all forms of life till denaturing the living matters. During these moments of trouble when the light is making the tenacious shadows stepping down, colossus, that are suddenly made of shadows, under the will of the god of destruction, at the feet of the realm of the shadows,  are emerging from the seabeds, are standingstill, then, are opening the damned gates of the realm of the shadows on which thousands of malefic souls hung by the evil are entrapped, as if they are horribly quartering the wombs of this malefic world representing the centrum of the evil, in provoking a disturbance in the world. The thirst of satisfaction of the god of destruction seems to be unstoppable when he is entrusted hordes of superior allegiances with a mission, that can trigger an unprecented battle between the kingdom of the shadows and the world of the light. From the realm of the shadows, inside which the malefic creatures, more horrible than the laters, are nourrishing from blood, to the underworlds, the shadows are opening a path, beyond the frontiers, to the destroyers leading to the son of the god of the mankind.       

Between-while, under the impressive vault of the seas unbelievably illuminated by the light, the diluvian, Ode, that is hidden in a technological obturator, a fragment of the beyond the grave stone, is deeply  breathing out till feeling this fear that the god of destruction can find back her. Under the eyes, at the same time, filled with joy and fear, the chosen one of the diluvians, who must alone bring a message to the chosen one of the mankind, in spite of the suspicions that hang over her, can not trust anybody in this pitiful world  in which dissimulateurs are insidiously reigning, at the hour of the renascent kingdoms of the mankind.           

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