Les royaumes déchus I / The fallen realms I

Tels qu'ils sont emportés par le tourbillon, les reflets dans les yeux pleinement illuminés de Ode apparaissent subitement flous lorsque les vagues rugissantes, qui se fracassent violemment contre la machine de guerre, puis, la broyent complétement jusqu'à envelopper d'un linceul le sauveur et jeter dans les abysses ses servants, à peine avoir vus le visage rempli de colère du dieu des mers, font obscurément disparaître toutes les évidences. Les diluviens, les hommes et les fervents de la lumière, qui participent à éclairer, à ces moments sombres, les insondables profondeurs abyssales comme étant à la recherche d'évidences, leur permettant de croire à cet espoir que l'illumination de l'élu des diluviens est un signe manifeste que le sauveur a besoin d'eux, prient pour qu'ils soient sains et saufs. Sous les yeux larmoyants des diluviens, des hommes et des fervents de la lumière, les yeux de Ode se ferment tragiquement comme pour ne pas assister douloureusement, encore quelques secondes de plus, à la colère d'un dieu.   

Pendant que la plaie, qui s'abat furieusement sur le monde aquatique, tel un cataclysme pouvant dévaster une contrée aquatique entière, le commandant-en-chef de la flotte navale, qui surveille les eaux dangereuses ceinturant cette frontière horrifique derrière laquelle est engouffré le royaume des ombres, voit apparaître telle une illusion créée par les ombres, une nymphe diabolique criant à la destruction. A cet instant de flottement où la lumière, qui éclairait parcimonieusement les eaux à cette profondeur, n'éclaire plus au-delà de cette frontière interdite,  les ombres dévorantes, qui ont été obscurément libéré par des âmes faisandées errantes ayant des pouvoirs occultes puissants, commencent à dévorer l'âme de cette créature divine jusqu'à qu'une âme charitable ne lui vienne en aide.   

As they have been swept away by the whirlpool, the reflections in the eyes fully illuminated of Ode are suddenly appearing  blurred while the raging waves, that are colliding against the war machine, then, squeezing it completely till shrouding with a sheet the savior and throw away his servants into the abyss, as soon as they saw the face filled with hatred of the god of the seas, are obscurely disappearing all the evidences. The diluvians, the men and the devotees of the light, that are participating in order to light up, at these dark moments, the unfathomable abyssal depths as being in search for evidences allowing them to believe at this hope that the illumination of the chosen one of the diluvians is a manifestating sign that the savior needs them, are praying for that they are safe.  Under the eyes filled with tears of diluvians, men and devotees of the light, the eyes of Ode are tragically closing as for not being the witness, any longer, of the swathe of a god.        

When the plague, that is furiously striking over the aquatic world, as a cataclysm that can devastate a whole aquatic land, the commander in chief of the naval fleet, that is keeping an eye on the dangerous waters belting this horrible frontier behind which the realm of the shadows is engulfed, is seeing appear as an illusion created by the shadows, a devilish nymph yelling at the destruction. At this floating moment when the light, that lighted up parsimoniously the waters at this depth, is no longer lighting up beyond this forbidden frontier, the devouring shadows, that have been obscurely liberated by wandering decadent souls having powerful occult powers, are starting to devoure the soul of this divine creature until the moment when a kind soul comes to help her.   

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