Les royaumes déchus III / The fallen realms III

A cet instant où le sauveur disparaît progressivement dans les abysses, le désœuvrement des servants du roi déchu, dont les voix sont étouffés, est indicible dans les eaux comme s'ils avaient compromis, par leurs seules présences, les chances d'une paix entre les divinités des mers et les peuplades du monde aquatique. A l'intérieur du tourbillon infernal, qui tournoie furieusement, les guérisseurs, qui ont miraculeusement évité la mort, contrairement aux apparences, créent, grâce à leurs pouvoirs, des courants d'eau afin d'échapper, seuls, aux bras d'eau puissants, qui les retiennent fermement jusqu'à les noyer. Alors que tout semblait jouer d'avance, un fait miraculeux se produit lorsque des servants de la déesse des mers, aux apparences troubles, extirpent du tourbillon ces guérisseurs noyés, les uns après les autres. Malheureusement, cet acte de bravoure mené par les servants de la déesse des mers est regardé d'un mauvais oeil par les destructeurs aux yeux rouges vifs qui s'accrochent aux parois des dorsales océaniques en attendant la fin de la furie du dieu des mers.   

Sur ces entrefaites, sous les auspices des fervents de la lumière, les diluviens et les hommes, qui orientent, par un mécanisme ingénieux, la lumière provenant de la voûte des mers, vers cet effrayant endroit sombre et lugubre décrit par l'élu des diluviens, permettent, par inadvertance, aux servants de la déesse des mers de sauver ces quelques guérisseurs. Tel est le répit accordé à ceux qui sont dévoués à leur dieu. Il s'ensuit, dans les instants qui suivent, un branle-bas de combat aux abords de cette cité aquatique lumineuse lorsque des chevaux des mers sont lâchés dans les océans. Sous les yeux de Ode, les diluviens, qui brandissent fièrement leurs tridents, déclarent solennellement, avec le consentement de la lumière, la guerre contre les destructeurs. Telle est l'ineffable fronde menée par des diluviens chevauchant les chevaux des mers.    

At this moment when the savior is progressively disappearing in the abyss, the idleness of the servants of the fallen king, of which the voices are muffled, is unspeakable into the waters as if they had compromised, by their only presences, the chances of a peace between the divinities of the seas and the populaces of the aquatic world. Inside of the infernal whirlpool, that is furiously whirling, the healers, that have miraculously escaped from the death, contrary to the appearances, are creating, thanks to their powers, water currents in order to escape alone from the powerful arms of the seas, that are tightly holding till drowning. While everything seemed to be planned, a miraculous fact is happening when servants of the goddess of the seas, with troubled appearances,  are extracting from the whirlpool, these drown healers, the ones after the others.  Unfortunately, this brave act led by the servants of the goddess of the seas is watched, with a jaundiced eye, by the destroyers with red bright eyes that are clinging onto the cliffs of the oceanic ridges in awaiting for the end of the fury of the god of the seas.  

Between-while, under the auspices of the devotees of the light, the diluvians and the men, that are orientating, by an ingenious mechanism, the light coming from the vault of the seas, this dark and gloomy frightening place described by the chosen one of the diluvians, are inadvertantly allowing the servants of the goddess of the seas to save these few healers. That is the respite granted to the ones that are devoted to their god. It follows, in the moments that follow, a commotion at the vicinities of this luminous aquatic city when horses of the seas are unleashed in the oceans. Under the eyes of the Ode, the diluvians, that are proudly brandishing their tridents, are solemnly declaring, with the consent of the light, the war against the destroyers. That is the ineffable combat led by the diluvians riding horses of the seas.   

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