Le commandant d'escadre I / The wing commander I

Il n'y a fallu que ce maudit revirement de situation pour que les séraphines méritantes, à l'écoute de la nature, recevant malencontreusement ces mauvais présages, au mauvais moment, et, les quelques combattants des ciels apostrophés sur place, sonnent, enfin, le glas, à travers cette partie préservée de la forêt des arbres géants dans laquelle fleurissent des fleurs somptueuses et poussent des lierres naturellement. Les fleurs merveilleusement odorantes et les lierres solidement ancrés, qui sont, subitement, écrasées par les pas lourds des guivres carnassières, aux gosiers remplis de sang, meurent, brutalement, sous la lumière impuissante, qui témoigne de l'horreur. Cette fois-ci, le maléfice, accompagnant les pas des séraphines, cheminant, à pas légers, sur ce chemin non frayé menant vers la volière géante, s'opère, à la nuit parfaite. Sous un passage voûté, sous lequel des racines géantes, qui s'étendent étrangement jusqu'au sol, agrippent, sans aucune distinction, des pieds quelconques tachetés de sang jusqu'à dénaturer la beauté insolente de ce paysage verdoyant, les séraphines intrépides, qui laissent, derrière elles, ces quelques combattants des ciels, sont, soudain, prises au piège jusqu'à ce moment où les éclats scintillants d'une pierre de pouvoir, tenue fermement par l'une des séraphines, poignant dans l'obscurité, repoussent ces racines géantes envahisseuses. De l'obscurité à la clarté, l'aura du dieu de la nature, sous une forme primitive, devient perceptible, à l'instant.   

Après quelques temps, l'équilibre retrouvé au sein de cette infime partie préservée de la forêt des arbres géants, les séraphines ayant vaincues, un temps, l'obscurité apparente arrivent, à ce moment déchirant, où elles assistent tristement, avec soulèvements de cœur, au déracinement de la volière géante. Sous les yeux larmoyants des séraphines, la volière géante, à l'intérieur de laquelle séjourne la congrégation des ciels, est comme décoiffée. Les racines géantes, qui s'étaient enracinées profondément dans ces terres louées par le dieu de la nature, s'effilochent.  

It has just needed that this cursed about turn for that the seraphims with merits, listening carefully the nature, and receiving unfortunately these bad omens, at the wrong moment, and, the few combatants of the skies paralyzed on the spot, are finally tolling the death knell, through this preserved part of the forest of the giant trees in which sumptuous flowers are florishing and ivy is naturally growing. The amazingly perfumed flowers and the solidly rooted ivy, that are, sudden, crashed down by the heavy forefeet of the fleash eating wurms, with mouths filled with blood. are brutally dying, under the powerless light, that is witnessing of the horror. This time, the spell, accompanying the footsteps of the seraphims, marching delicately on this untrodden path leading to the giant aviary, occurs, at the perfect darkness. Under the archway, under which giant roots, that are oddly stretching out to the soil, are seizing, without any distinction, any feet filled with blood till rending unnatural the unequalled beauty of this verdant landscape, the perspicace seraphims, that are leaving behind them these few combatants of the skies, are, sudden, surrounded until this moment when the scintillating sparkles of a powerstone, held tightly by one of the seraphims, rising from the darkness, are repeling these invading giant roots. From the darkness to the clarity, the aura of the god of the nature, under a primitive form, is becoming perceptible, at once.        

After while, the balance retrieved within this infinitessimal preserved part of the forest of the giant trees, the seraphims having vanquished, one time, the apparent darkness, are coming, at this hearbreaking moment, when they are sadly observing, with qualms, the uprooting of the giant aviary. Under the eyes brimming over with tears of the seraphims, the giant aviary, inside which the congregation of the skies lies stagnant, is like ruffled up. The giant roots, that were deeply rooted in these lands praised by the god of the nature, are unravelling.  

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