Le règne des pierres de pouvoir VI / The reign of the powerstones VI

L'un des combattants des ciels : L'oeil céleste, s'il existe, veille sur ces valeureux élus cachés dans les obscurités. 

Tandis que les prières de ces hommes venus des terres inférieures, bienveillamment recueillis par ces généreux archanges, par lesquels tout s'éclaircie, enfin, sont, dorénavant, écoutés par les dieux tout-puissants, les oiseaux de mauvais présages annonceraient presque la fin des temps en brisant irréversiblement la sérénité et la quiétude, qui régnait, pour toujours, au sein de ce royaume protégé par des créatures des cieux. A partir de cet instant effroyable, tout le royaume céleste, perché dans les ciels, est sur le qui-vive. Il n'y a fallu que l'annonce retentissante de ces mauvais augures, à travers ces idylliques terres supérieures, coiffées somptueusement de nuages, pour que la lumière ayant ce pouvoir de forger suprêmement l'esprit de ces archanges leur révèle, ainsi, les sources originelles du mal.   

Entre-temps, des créatures tourmentées aux ailes monstrueuses, s'échappant de leurs mondes d'origine, par une faille souterraine gigantesque où des vents fusent tempêtueusement jusqu'à éventrer horriblement ces terres de surface, en forçant la nature des choses, envahissent obscurément ces ciels enténébrés. Les vents tempêtueux, amenant incroyablement toutes ces monstrueuses créatures ailées sur les terres d'entre deux, dorénavant, souillées, ne faiblissent guère, contrairement aux quatre vents, ébouriffant timidement ces terres inférieures, qui se meurent, petit à petit. Sous les lueurs sombres dues à cette angoissante obscurité, les mêmes créatures monstrueuses, telles qu'elles apparaissent viles dans l'obscurité recréée, s'émancipent affreusement en déployant totalement leurs ailes, s'étendant dans ces ciels, dorénavant, enlaidis. Frappés par la stupeur, les terres déchirées deviennent, irrémédiablement, des territoires conquis pour ces créatures monstrueuses volantes montrant, ainsi, leur dominance sur ces créatures sublimes peuplant ces terres inférieures. Jusque-là, ces quelques membres de la congrégation des ciels, qui avaient investi ces lieux sur lesquels se produisent des cataclysmes désastreux, n'avaient guère dépeint un tel événement, à peine concevable, sur ce lieu précis. Sous les regards abasourdis de ces quelques membres de la congrégation des ciels aux voix étouffées, le dieu du vent, fouetté jusqu'au sang par des créatures malfaisantes dissimulées dans l'ombre, agissant contre la nature, enfante, malgré lui, la croisée des mondes.    

One of the combatants of the skies : The celestial eye, if it exists, is keeping an eye on these valourous chosen ones hidden in the darkness.   

While the prays of these men coming from the inferior lands kindly received by these generous archangels, by which everything is brightening up, in fine, are, from now on, listened by the almighty gods, the bad omens birds would almost omened the end of times in ending irreversibly the serenity and the quiescence that reigned, for evermore, within this kingdom protected by heaven-sent creatures.  From that moment, all the celestial kingdom, perched in the skies, is on the alert. It just needed that the booming heralding of the bad omens, across these idyllical superior lands, covered with clouds for that the light having the power of forging supremely the mind of these archangels is, so, revealing them the original sources of the evil.  

Between-while, the bedeviled creatures with monstruous wings, escaping from their originated world,  by a gigantic underground fault where winds are tempestuously veering till gutting horribly these lands of surface, in forcing the nature of the things, are obscurely invading these darkened skies. The tempestuous winds, bringing all these winged monstruous creatures on the lands caught in between, from now on, tarnished, are not weakening, contrary to the four winds, ruffling up timidly these inferior lands, that are slowly dying. Under the dark streaks owing this anguishing darkness, the same monstruous creatures, as they are appearing in the re-created darkness, are horribly getting emancipated in unfolding totally theirs wings, stretching in the skies, form now on, uglier. Hitten by the stupor, the broken lands are becoming, without remedy, conqueered territories for these flying monstruous creatures in, so, showing their supremacy over these sublime creatures populating these inferior lands. Hitherto, these few members of the congregation of the skies, that had besieged these places on which disastering cataclysms lie in, did not depict a such event, barely conceivable, on this precise place. Under the stunned eyes of these few members of the congregation of the skies with muffled voices, the god of the wind, flogged until his blood draw by bedeviled creatures dissimulated in the shadow, acting against the nature, is bringing forth, despite himself, the verse of the worlds.        

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