L'opprobre des dieux I / The disgrace of the gods I

C'est que l'évadé de l'oubli, aux rides expressives, dont la peur du taureau à la peau rouge sang n'a cessé de croître, à travers les âges, a opiniâtrement réussi à conjurer le sort réservé à ces autres prisonniers condamnés, lorsqu'il sondait le passé, à l'aide de son mystérieux pendant ancien, s'intégrant parfaitement, selon un positionnement précis, dans le mécanisme savant englobant tous les artéfacts temporels d'un autre âge, en trouvant une faille temporelle, en les ramenant, tous, à ce moment lumineux. Dans cet engrenage infernal dans lequel les prisonniers ne peuvent s'en sortir sains et saufs, à moins de posséder un artéfact temporel, l'évadé de l'oubli, rivalisant, avec surprise, avec les dragons dissonants, les maîtres du temps, manipule, au péril de sa vie, le temps afin de briser le sortilège hantant les cachots abyssaux. Alors que tout semblait être figé dans le temps, l'évadé de l'oubli, maintenant, à bout de force, cette brêche temporelle ouverte, crée une situation où tout est possible. Mais, hélas, le sort s'acharne sur cet évadé de l'oubli maudit, qui est en sentence de mort. 

Au même moment, l'obscurité, qui avait avalé, les uns après les autres, ces prisonniers tyrannisés, destinés à une mort certaine, est chassée par cette éclaircie radieuse se profilant à l'horizon. Tel un dieu, combattant contre des géants bourreaux, Métal foudroyant du regard ses assaillants effrontés, dont l'effronterie est un vilain défaut, ouvre, tel le sauveur des Hommes, la voie aux opprimés, en partance des abysses. L'aveu de faiblesse, que les géants bourreaux, massacreurs de prisonniers, dont la petitesse ne peut guère absoudre leurs fautes, attendaient de la part de cet homme insignifiant, brandissant une pierre de pouvoir étincellante, ne vient guère. Sur ce, le sauveur plaidant pour la fin des hostilités parvient à sauver ces opprimés. Les regards de ces géants bourreaux en disent longs lorsque Métal et ses comparses quittent, en dernier, les abysses.   

Quelques temps plus tard, tout le long de ce long chemin serpentin, le roi des opprimés exerçant merveilleusement et continuellement son pouvoir divin sur les opprimés, crée un moment de communion rare jusqu'à rallier, à mi-chemin, les dragons fantassins s'étant évertués à faire avancer la cause des Hommes. Ainsi, à l'orée de la bataille reine, le sauveur, tel qu'il apparaît allégoriquement, devant les rois puissants des peuples et des terres, mène, tel le roi des rois, le règne des pierres de pouvoir.  

It's that the escapee of the oblivion, with expressive riddles, of which the fear of the red blood skin bull has grown unexplainably, through the ages, has succesfully conjured stubbornly the curse reserved to these doomed prisoners, while he probed into the past, with the help of his mysterious ancient matching piece, embbed perfectly into the scientist's mechanism, in accodance with a precise position, encompassing all the temporal artefacts of another age, in finding back a temporal fault, in bringing them, all, back to this luminous moment. In this infernal mire in which the prisoners can not survive, unless of possessing a temporal artefact, the escapee of the oblivion, duelling, surprisingly with the dissonant dragons, the masters of time, is manipulating, at the peril of his life, the time in order to break the spell haunting the abyssal jails. While everything seemed to be stuck into the time, the escapee of the oblivion, holding, at the end of strengths, this temporal breach open, is creating a situation full of potentialities. But, alas, this cursed escapee of the oblivion is doomed, being in sentence of death.     

At the same time, the darkness, that had swallowed, the ones after the others, these down-trodden prisoners, fated to a certain death, is impelled by this radiant radiation, profiling against the horizon. As a god, battling against giant slaughters, Metal, staring at his reckless opponents, of which the forwardness is a vile fault, is opening, as the savior of the mankind, the path to oppressed ones, in departure of the abyss. The avow of weakness, that the giant slaughters, torturers of prisoners, of which the smallness can not absolve all their sins, were waiting from this insignificant man, brandishing a scintillating powerstone, does not come. Thenceforth, the savior, pledging for the end of the hostilities, is succesfully saving these oppressed ones. The looks of the giant slaughters are telling a lot when Metal and his comrades are leaving, last, the abyss.   

After a while, all the long of this long serpentine path, the king of the oppressed ones, wielding wondrously and continuously his divine power on the oppressed ones, is creating a rare moment of union, till rallying, at half way, the infantry dragons plodding on with the cause of the mankind. Thus, at the crack of the dawn of the king battle, the savior, such is allegorical appearing, in front of the potent kings of the people and the lands, is leading, as the king of the kings, the reign of the powerstones.      

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