La terre reine IV / The kingfield IV

L'un des fervents de la lumière épaulant bienveillamment cet homme vieillissant, Parangon, qui ressent, sur ce moment, des vertiges, qui s'accentuent au fur et à mesure qu'il a cette impression forte que les ciels sont entrain de tomber sur sa tête, perd, soudain, l'oeil sur ces terres des chimères, sur lesquelles des créatures fantastiques s'émeuvent non librement, prend conscience de l'ampleur de la gravité de la situation, en buvant ses paroles louables. Bien que le perspicace fervent honorifique de la lumière ait interminablement voyagé, sans but, à travers quelques confins des mondes souterrains, la réapparition de la chimère ne s'était jamais reproduite. Tel est ce paradoxe qui a tourmenté, à ce jour, l'esprit délié de cet homme de vertu, déliant, au péril de la raison, par saillies, ses liens d'une grande complexité. Tandis que Parangon, dont l'esprit, qui est apaisé, une fois, qu'il ferme profondément ses yeux, deviendrait presque irrationnel, s'évade dans ses pensées, pour comme ressentir pleinement, à son tour, l'obscurité, les croisées de la lumière séjournant au seuil du royaume des ombres, qui sont plongés dans l'obscurité grandissante, cherchent éperdument la lumière dans l'obscurité, en vain.   

Alors que, sur les champs de bataille, le meneur de guerre ayant à l'intérieur de lui-même le pouvoir des dieux demeure introuvable, le sauveur, dont le visage terni est lumineusement éclairé par des lucioles porteuses de lumière, esquisse, à la sueur de son front, les lignes de front sur lesquelles l'armée de la lumière doit avancer pour ceindre les ombres. Jamais l'esprit du sauveur n'avait quitté ses compagnons d'infortune. C'est que les jours d'emprisonnement du roi, endeuillant cet espoir fort que le sauveur, tel un dieu tout-puissant, pouvait sauver les terres d'entre deux, n'étaient guère acceptés par ces fidèles serviteurs du roi déchu par lesquels le sort du roi allait changer. Alors que les serviteurs du roi déchu, dissimulés dans la pénombre, attendent le moment opportun, l'horreur sévit parmi les pestiférés. Cheminant, à pas de géants, à l'intérieur de ce capharnaüm, les gardes des cachots abyssaux, qui s'agitent, au gré des requêtes ineffables et honteuses, réveillent affreusement, tels des bourreaux, ces prisonniers tyrannisés, qui sont à décharner et à dépecer, et dont le prix pour leur chair et leur sang ne cesse de croître, durant ces famines misérables. Aussitôt que les gardes des cachots abyssaux, tels qu'ils apparaissent affamés et effrayants avec leurs instruments de torture, aient terminé leur ronde horrifique, le moment opportun, que les serviteurs du roi déchu reprennant courage avaient attendu, est arrivé.  Sur ce, ayant en leur possession quelques pierres de pouvoir, ils se jettent dans la mêlée. 

One of the devotees of the light shouldering kindly this aging man, Paragon, who is feeling, under the spur of this moment, vertigoes that are increasing as he has this strong impression that the skies are going to fall down on the lands,  is, sudden, losing the eye on these lands of fancy, on which fantastic creatures move unfreely, is taking consciousness of the scale of the seriousness of the situation, in soaking his praiseworthy thoughts. Although the far-seeing honorific devotee of the light having aimlessly fared forth across few confines of the underworlds endlessly, the chimera did not appear again. Such is this paradox that has tormented, up to now, the free spirit of this man of virtue, untying spiritually, at the peril of the reason, its ties of high intricacies. While Paragon, of which the mind, that is appeased, once, he closes deeply his eyes, would become irrationnal, is evading in his thoughts as for feeling, fully, by turns, the darkness, the crusaders of the light sojourning in the vicinities of the realm of the shadows, that are plunged into the gathered darkness, are seeking for the light in the darkness, in vain.             

Whereas, on the battlefields, the warleader having deep down himself the power of the gods is missing, the savior, of which the tarnished face is amazingly lighted up by the fireflies carrier of the light, is drawning, at the sweats of his forehead, the frontal lines on which the army of the light must advance for containing the shadows. Never ever the mind had leaved his companions of misfortune. It's then that the days of imprisonment of the king, ending this high hope that the savior, as an almighty god, could save the lands caught in between, were not accepted by these faithful servants of the fallen king by which the tide of the king will change. While the servants of the fallen king, dissimulated in the darkness, are waiting for the right moment, the plague striken moment is happening. Striding along this swarming place, the guards of the abyssal jails are getting agitated, while shameful and unspeakable requests are accepted, are atrociously waking up, as torturing ones, these downtrodden prisoners, that must be unfleshed and dismembered, and of which the price for their flesh and their blood is increasingly higher, during these miserable starvations. As soon as the guards of the abyssal jails, such as appearing hungry and frightening with instruments of torture, have finished of keeping an eye on the thereabouts, the right moment, that the heartened up servants of the fallen king has waited for, has come. Thenceforth, having in their possession few powerstones, are rushing headlong into the light.         

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