Le retour au giron IV / The return to the fold IV

De l'autre côté de la frontière impassable, les séparant du monde des abysses, les déterminants croisées de la lumière, qui démêlaient hardiment cette situation inextricable, dans laquelle des prisonniers de l'abîme sont fortement serrés, étranglés par des lierres assassins, tentaient d'éclairer, soudainement, les pourtours insondables des cachots abyssaux, où traînent habituellement d'innombrables créatures ignobles issues du monde des abysses et des mondes souterrains, jusqu'à cet instant décisif, où le libérateur agonisant, qui apparaît étrangement décharné, sans aucune goutte de sang dans son corps, vit ses derniers instants de sa pitoyable vie, tel le martyr des Hommes, aperçoit la lumière poignant timidement au bout de ce long chemin interminable. Maintenu sur ce lit funeste où s'entremêlent des lierres grimpants, le libérateur souffrant douloureusement de ses plaies, qui regarde, avec son regard vitreux, ses comparses agonir terriblement, ébranle, à nouveau, le monde des abysses en libérant sa main immaculée de ce piège à lierres. L'opprobre des dieux ne dure guère lorsque Métal tisse, à nouveau, ce lien indéfectible avec la lumière approbatrice. Alors que les âmes perverses périssent tragiquement, les âmes pures et estimables sont sauvées par ces dragons du monde souterrain régénérateurs leur apportant précieusement, enfin, ce remède. Alors que ces lieux de perdition ressemblaient à un cimetière lugubre, la résurrection des morts se profilait. C'est en versant, délicatement, dans les bouches rigides, à peine ouverte, de ces quelques morts, quelques gouttes de cet essence mirifique aux vertus régénératrices, suffisamment pour guérir de toutes ces plaies béantes, que ces quelques êtres et créatures libérées des abysses ont été ramené à la vie. 

De retour à cet instant glorieux où le roi des opprimés, qui apparaît victorieux, tel le type achevé du combattant des abysses, ayant réunis, au péril de l'humanité, toutes les âmes perdues dans les abysses, qui en valaient la peine, entame, à nouveau, cette ascension vers les royaumes convoités, pour détrôner ces dieux de la destruction.  Après ce moment de flottement étrange, perdu dans le temps, les limiers du roi, totalement revigorés, ceignant le roi des rois, n'ayant guère perdus leur fougue, avancent jusqu'à rattraper cette lumière poignant parcimonieusement, derrière la main du libérateur.  

In the hither of the impassable frontier, separating them from the world of the abyss, the decisive crusaders of the light, that untangled unskringkingly this inextricable situation in which prisoners of the abyss are tighly grasped, strangulated, by murdering ivies, were attempting to light up, sudden, the unfathomable purlieus of the abyssal jails, where countless bedeviled creatures issuing from the world of the abyss and the underworlds lie stagnant, until this decisive moment when the agonizing liberator, that is appearing unfleshed, without a blood droplet in his body, as a sufferer, is living his last moments of his pitiful life, as the sufferer of the mankind,  is aperceiving the light dawning timidly at the end of this long endless path. Held on this deadly bed where climbing ivies are criss crossing, the liberator, suffering painfully of his wounds, who is watching, with his lifeless eyes, his companions agonizing terribly, is shaking, again, the world of the abyss in liberating his immaculated hand out of this ivies-pool.  The disgrace of the gods does not last longer when Metal is rekindling, again, with the approving light. While the perverted souls are perishing tragically, the pure souls and the prevailing souls are saved by these regenerateurs dragons of the underworld bringing preciously them, in fine, this remedy. Whereas the places of perdition look alike a gloomy cimetery, the ressurection of the dead ones occured. It's in pouring carefully down, in the rigid mouths, barely opened, of these dead ones, few droplets of this mirific essence with regenerating virtues, sufficiently for healing all these opened wounds, that these few beings and creatures have been brought back to life.        

Back to this glorious moment when the king of the oppressed ones, appearing victorious as the beau-ideal of the combatant of the abyss, having reunified, at the peril of the humanity, all the souls lost in the abyss, that were worthy of it, is starting, again, his ascent towards the coveted realms in order to dethrone these gods of destruction. After this odd moment of floating, lost in the time, the sleuths of the king, totally healed, surrounding the king of the kings, not having lost their inner lights, are advancing till catching a glimpse of the light dawning parcimoniously behind the hand of the liberator.  

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