La croisée des mondes VI / The encompassing of the world VI

Il n'y a fallu que cet instant d'oisiveté du jeune potentiel prometteur pour que les suppôts orgueilleux et imparables, obéissant à des entités maléfiques et divines, grâce auxquelles le pire fléau des hommes, qui ravage, dès à présent, les terres des hommes, et, contaminera les merveilleux royaumes des dieux, a été libéré, qui refluent bruyamment, après des campagnes de tourments ardues, à travers ces lieux lugubres, où, grouillent horriblement toutes sortes de créatures, vers l'un de ces confins exigus des mondes obscurs, en ayant contremandés irrévocablement les errances suspicieuses et les atermoiements lancinants de ces créatures indociles et blasphématrices, reniflent, enfin, l'odeur du renoncement, laissée derrière son passage, par inadvertance, enfin presque. Dans la pénombre angoissante, tellement angoissante que, ni même, les âmes trépassent de peur du malheureux séjour, où, l'apparition miraculeuse et guère fortuite de lucioles lumineuses, qui est acceptée, par tous les fervents, ayant assidûment suivi les bons préceptes et les bons rites de la lumière, comme étant un signe, que l'esprit des animaux sacrés veille bienveillamment sur ces égarés, accomplissant les menées de la lumière, tamise le visage de ce jeune et sémillant homme, ayant les mêmes traits similaires que son père, contrairement à ces créatures de dissemblance pullulant, à travers les mondes obscurs, Vaillance, ne cédant guère, certes, à la peur, qui est à l'article de la mort, ne peut guère rebrousser chemin, à cause de l'étroitesse de ce chemin sinueux et accidenté, se rétrécissant, à vue d’œil, jusqu'à apparaître, désormais, telle une faille béante, s'étirant vers un autre de ces confins des mondes souterrains, par lequel il s'était faufilé, par aventure. 

Et, tout d'un coup, toute brusquerie peut devenir, en un rien de temps, la ruine de cet effort de guerre, mené par les sagaces animaux sacrés, si l’œil de Vaillance, sur lequel sont rivés fixement ces mêmes minuscules créatures de la lumière, tourne. Tandis que la lumière investit les lieux sombres afin de révéler ce qui se trame réellement à l'intérieur de ces seins maléfiques, causant la plus effroyable des guerres et entretenant des hommes fieffés, dans l'iniquité, qui s'entretuent entre eux, telles des créatures dénuées d'âme, jusqu'à devenir allégoriquement des chimères fantasques, portant outrancièrement des heaumes, à l'effigie et à la gloire des diables, les animaux porteurs de lumière, aussi petits soient ils, ceignent l'intérieur de l’œil, sans songe, de Vaillance, afin d'y apercevoir, enfin, les monstruosités que le monde s'apprête à affronter.

It has just needed this moment of idleness of the young auspicious potential for that the proud nad implacable agents, obeying to malefic and divine entities, by which the worst scourge of the mankind, that is destroying, from now on, the lands of the mankind, and, will affect the wondrous kingdoms of the gods, has been liberated, that are boomingly falling back on one of these confines of the underworlds, after harsh campaigns of torments, through these lugubrious places, where, all kind of creatures teem horribly, in having arrested irrevocably the suspicious wanderings and the everlasting lingerings of these untameable and blasphemous creatures, are smelling out, in fine, the odor of giving up leaved inadvertantly behind him, almost it. In the anguishing twilight, so angusihing than, neither, the souls impart in afraid of the mournful journey, where, the miraculous appearance and not unvoluntary of luminous fireflies, that is accepted, by all the devotees, having, with accuracy, followed the right precepts and the right rituals of the light, as being a sign, that the spirit of the sacred animals is kindly protecting these lost ones, accomplishing the plans of the light, is dimming the face of this young and clever man, having the same traits as his father, contrary to these creatures of dissemblance emerging from the dark worlds,Vaillance, in not yielding to the fear, who is being nighed unto the night, can not retreat himself because of the smallness of this sinuous and rugged path, dwarfing itself, at naked eye, till appearing, form the times forth, such as an opened fault stretching to another of these confines of the underworlds, by which he was slipped through into, peradventure.

And, all of a sudden, all abruptness can be, in no time, the ruin of this war effort, led by these sagacious sacred animals, if the eye of Vaillance, on which these same minus creatures of the light are stoically ogling, is turning. While the light is besieging the dark places in order to reveal what is afoot, for real, in the malefic ships, causing the dreadest war and wallowing, these liar men, in to the inquity, that are killing each other, such as creatures deprived from soul, till becoming allegorically dull chimeraes, wearing outrageously helmets, for glorifying the devils, the animals carriers of the light, as small than they are, that are surrounding the inside of the eye, without fancy, of Vaillance, in order to perceive, in fine, the monstrosities that the world is going to face. 

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