Les robots rebellistes II / The rebellist robots II

A l'entrebaillement de ce somptueux paradis sous terrestre, où, un berceau naturel se recrée au fur et à mesure que la créature divine et sa pierre de pouvoir fabuleuse, aux vertus insoupçonnables, qui irradie jusqu'à infuser cette essence mirifique dans ces éléments de la nature composant ces environs sauvages et verdoyants, les intrépides et guère maladroits fondeurs, qui avaient reçu des ordres de la lumière, sassent, à peine, lorsqu'ils sont dépossédés de ces sacs couturés, détissés par des doigts allongés et ondoyants au bout desquels apparaissent, enfin, ce lacis de lierres grimpantes, qui sont en collision, par écharpe, avec des roches, comme si la nature sauvage, qui les laissait voyager, à travers l'un de ses confins, réclamait son dû. C'est que les yeux des fondeurs, qui ne peuvent guère débroussailler cette dense végétation indéfrichable, ne démaillent guère ce lacis de lierres, s'ébrouant, dans ces crevasses, comme pour ne pas surexciter, stimuler, ces nervures apparaissant étrangement sur cette dense végétation.  Aussitôt que la fascination des fondeurs s'assoupit, lorsqu'au même moment, les lierres grimpantes s'évanouissent, sans culpabilité, dans la nature, une voix rauque provenant de la créature divine, qui braille en laissant pantois plus d'un, les entraîne, cette fois-ci, dans les affres de ce monde de fantaisie et d'épouvante. Jusqu'ici, les doux murmures de ces quelques fondeurs, opinant sur les tenants de cette affaire mystique comme pour comprendre leurs infortunes, n'avaient guère livrer leurs secrets.  

L'un des fondeurs :  Les pierres de pouvoir, baignées dans les cendres, qui livreront certainement, mieux, leurs secrets, si la divinité, à en croire la manifestation, qui honore notre venue dans cet havre de paix, sont désormais choyées.   

Un autre fondeur : L'intervention de la divinité, dépravée par les corrupteurs, est un affront envers la lumière. Qui peut révéler mieux les éclats perdus d'une pierre de pouvoir que la lumière décente ? 

L'un des fondeurs : Dans notre contrée lointaine, les tamis baignés par la lumière, sur lesquels les éclats des pierres de pouvoir, de nature facétieuse, aux nombreuses facettes, révèlent, quelque fois, des nuances, allant de l’ombre à la lumière, seraient maudits.

Un autre fondeur : Un tel esprit, s'il existe de par ce monde, posséderait-il possiblement des pierres inutiles ? Des bougreries que les diseurs servent, lors de repas indigestes, des mangeurs, qui mangent avec les yeux.

L'un des fondeurs : Et, la couleur rougeoyante de ces pierres grâce auxquelles des repas vermeilles offerts à ces carnassiers, rendant honneur au sang, sont possibles, et, la couleur verdoyante de ces pierres ascendant du cosmos, que les dragons possèdent, rend l'impossible possible.

At the half opening of this sumptuous subterrestrial paradise, where, a natural craddle is re-created as the divine creature and its fabulous powerstone, with unsuspected virtues,  that irradiates till infusing this miraculous essence in these elements of the nature compounding these verdant and wild thereabouts, the harsh and not unskilledful foundrymen, that have been ordained by the order of the light, are barely equivocating, while, they are deprived from these seamed sackclothes, unweaved by elongated and waving fingers. at the end of which the gripping ivies, that are colliding, by point, with rocks, as if the wild nature, that lets them fare through one of its confines, claimed back its due. It's that the eyes of the foundrymen, that can not explore this untangling thick vegetation, are not entwining this pile of ivies, notching in these crevices, as for not overexcitating, stimulating, these nerves appearing oddly on this thick vegetation. As the fascination of the foundrymen is fading away, when, at the same time, the gripping ivies are vanishing, without culprit, in the nature, a rasping voice issuing from the divine creature, that are echoing in letting flabbergasted more than one, is dragging them, this time, into the throes of this eerie world of fancy. Thence, the purls of these few foundrymen, opinating about the elements of this mystical affair as for understanding their misfortunes, had not given their secrets.

One of the foundrymen : The powerstones, that were taken from the ashes baths, that will give their secrets, with certainty, if the divinity, in believing the manifestation, that honours our coming in this peaceful haven, are, from the times forth, cherished.

Another foundryman : The intervening of the divinity, depraved by the corrupted ones, is an effrontery towards the light. Who can better reveal the lost gleams of a powerstone than the decent light ?

One of the foundrymen :  In our far away land, the sieves, bathed by the light, on which the sparkles of  powerstones, of facetious nature, with numerous facets, reveal shades, going from the shadows to the light, would be cursed.  

Another foundryman : Would a such spirit, if it exists throughout this world, possess possibly these useless stones ? False statements that the tellers serve during uneatable dishes, eaters, that eat with their ogling eyes.

One of the foundrymen : And the ruddy glow color of these stones thanks to which reddish dishes offered to the fleash eating ones, in honouring blood, are possible, and, the greened color of these stones ascending from the cosmos that the dragons that possess, makes the impossible possible.

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