L'enfant terrible des ténèbres VI / The terrible child of the darkness VI

En émulation de mieux, les ruineux saccageurs, dont les rouspéteries se produisant, par saccades qui, ne semblent guère, d'aucunes fois, détrôner la quiétude dans laquelle des intrépides colonisateurs cherchent à percer, dès lors, l'énigme de ce mystère forci entourant l'existence d'un vassal ennemi, ruinent, sans le savoir, leurs infimes chances de survie, pillent, avec condescendance, les derniers vestiges d'un vaisseau interstellaire. Alors que les tapages, les bouffonneries et les rustreries de ces créatures d'errances tonnent dans l'enceinte violable de ces arrières gorges, où, une colonie de robots autonomes investit des fouilles, jusqu'à rendre ces endroits insondés visitables, les turpitudes causées par des dragons du monde souterrain orphelins, de nature présomptive, appartenant à un escadre de forgeurs, les dissonants, qui fleuraient l'empreinte olfactive de ce vaisseau monstrueux flottant, à travers le cosmos, sont, à peine, distinguables, cessent brutalement. C'est alors que l'une de ces créatures d'errance, ayant étrangement cette largesse d'esprit, qui fait la mainmise sur ce qui se révélera être un artéfact doté d'un pouvoir incommensurable, tranche sur le vif, à la concision de ce moment.

L'une des créatures d'errance : Les errements se finissent, ainsi, à ce jour où les dévots du mal asservissent les mondes. 

Pendant que des créatures d'errances, cueillant des fruits mûrs apportant la sagesse et le savoir prennent, avec surprise, une place inattendue dans cette guerre des peuples, le monde des hommes cède la place à ce monde fécond, dans lequel des vaisseaux gigognes sont profusément ovulés, les vitriers, telles des créatures de glace, qui s'humanisent presque au fur et à mesure que le monde des hommes, à l'intérieur duquel des hommes flagellent, tous azimuts, ces machines, reproduites massivement, à contrôler, est sous la coupelle d'un mal grandissant, obliquent vers ce monde révolutionnaire, en prenant la tangente, en offusquant, quelque peu, ces hommes esclaves et ces créatures d'errance, aux yeux exorbités. 

In emulation of a better world, the ruinous ransackers, of which the grousings happening, by jerks, that do not seem, any times, to dethrone the quietness in which these implacable colonizers are seeking, thenceforward, for prying in to the enigma of this growing mystery shrouding the existence of an opponent vessel, are ruining, without knowing it, their poor chances of survival, are stealing condescendingly the last remnants of an interstellar ship. Whereas the mess, the ildenesses and the loutishnesses of these wandering creatures are causing a big stir, inside of the violable vicinities of these nether gorges, where, a colony of autonomous robots is unearthing things, till rending these unplumbed places, the turmoils caused by orphaned next-to-kin dragons of underworlds belonging to a squad of inventors, the dissonants, that are smelling out the olfactory imprints of this humongous vessel floating, through the cosmos, are so hardly distinguishable, are brutally stopping. It's then that one of these wandering creatures, having oddly this liberality of spirit, is under the possession of what is going to be an artefact enclosing an immeasurable power, is swooshing, at the brevity of this moment.

One of the wandering creatures : The wanderings are, so, ending, at this day when the adorers of the evil are enslaving the worlds.

While wandering creatures, collecting ripe fruits bringing wisdom and knowledge, are taking, by surprise, an unexpected place in this war of the clans, the world of men is yielding the precedence to this fecundating world, in which gigogne ships are profusely ovulated, the glaziers, such as ice creatures, that are almost thrawing as the world of the mankind, inside which men are flagelating, in all directions, these machines, reproduced massively, to be controlled, is under the crupper of a gathering evil, are taking the path, by the tangent, in order to reach this revolutionary world, in disturbing, somewhat, these slavish men and these wandering creatures, with wide opened eyes.

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