Le bâton de sourcier VII / The divining rod VII

L'un des alluvions : Grâce au bâton de sourcier possédant le pouvoir de frayer les chemins indéfrichables jusqu'au source originelle, mon peuple fendra les obscurités afin de rejoindre les derniers refuges pour les créatures d'opprobre que nous sommes.

L'un des diluviens : Le temps guérira ces plaies, s'étant abattues sur les mondes éclairés.

L'un des fervents de la lumière : A quel sein se vouent les créatures des steppes arides et des eaux douces ? 

L'un des alluvions : Au confluent de ces endroits, où, la mer se sépare en deux, notre séjour terrestre s'achève.

L'un des diluviens : Faites les obéir !

Tandis que les alluvions sont sur le point d'exciper leur foi afin de rejoindre, pour de bon, un sein parmi tant d'autres, les intrépides et outrecuidants diluviens, montés fièrement sur des chevaux des mers, et, brandissant vaillamment leurs tridents pointés vers cet amas surnaturel de roches, qui se heurtent contre les roches sanguinolentes du royaume des ombres, où, les âmes faisandées, qui ne trépassent guère vers le monde de l'au-delà, réclament toujours leurs dus, s'évertuent à éclairer timidement, avec leurs pierres bleues outremer, les aspects terrifiants et épouvantables de ces reliefs, apparaissant tels des pans de monstruosités, jusqu'à cet instant d'horreur où les lieux provenus des abîmes, qui jaillissent, d'une manière épouvantable, des fonds marins, suivent irrépressiblement cette montée penchée vers les ciels enténébrés. Aussitôt que l'entraînement des événements s'annonce être tragique pour les peuplades du monde des eaux, les diluviens, tels des protecteurs des océans, ensablent, avec hâte, les roches éruptives comme pour tarder l'imminente éruption. Et, la soudaineté de cette entrefaite libératrice, grâce à laquelle l'élu des diluviens, Ode, dont le doute concernant sa place séant parmi les élus de ce monde, qui a toujours demeurait fort dans son esprit, s'assoupit lorsque la pierre bleue outremer, aux vertus apaisantes, qui procurent une sensation incomparable, face aux tumultes des mers houleuses, s'ourlant, puis, ravageant les côtes, comme si le silence des profondeurs océaniques était, pour elle, un précieux paradis, offre, ainsi, à l'immaculée créature des reflets bleutés luisant incroyablement sa peau, devient une libératrice, dans le sillage de l'élu des hommes, jusqu'à dépasser, par quelques aspects, son pygmalion, en insinuant, d'après les horribles cris d’orfraie résonnant, à travers le monde des eaux, que des élus peuvent être mal choisis. Au milieu de ces flots souillés, où, les visages des âmes esseulées et damnées, qui sont, à peine, distinguables, hormis pour elle, damnent le monde de séjour mortel, Ode, telle une créature éclairante, a, enfin, une révélation.

Ode : Le monde des ténèbres, qui a bercé l'enfant des ténèbres, redonne à son progéniteur son fils !

One of the alluviums : Thanks to the divining rod possessing the power of splitting through the warpaths till the original source, my clan will pry into the dark confines of this darkened world in order to join the last shelters for the opprobrious creatures that we are. 

One of the diluvians : The times will heal these plagues, that have downtrodden the enlightened worlds.

One of the devotees of the light : Which ship do the creature from the sandbanks and the sweet waters devote to ?

One of the alluviums : At the confluence of these places, where, the sea is torn asunder, our terrestrial journey ends.

One of the diluvians : Enforce obedience !

Whereas the alluviums are about to plead their faith for joining, for good, a ship amongst others, the dauntless and harsh diluvians riding proudly on the horses of the seas, and, brandishing valiantly their tridents pointed towards this unreal pile of rocks, that are colliding against the bleeding rocks of the realm of the shadows, where, the damned souls, that do not trepass in joining the next world, are still claiming their owings, are plodding on with the cause of lighting up timidly, with their sea blue stones, the terrifying and tremendous aspects of these reliefs, appearing such as walls of monstruosities, until that moment of horror when the places issuing from the abyss, that are surging tremendously from the seabeds, are irrepressibly following this lean acclivity towards the darkened skies. As soon as the unravelling of the event are announced to be tragical for the clans of the sea world, the divluians, such as protectors of the oceans, are rushingly covering with sand the eruptive rocks as for lingering the impending eruption. And, the suddenness of this liberating moment, thanks to which, the chosen one of the diluvians, Ode, of which the doubt about its place seating among the chosen ones of this world, that has lingered strongly in her mind, is fading away, where the seablue stone, with appeasing virtues, that give an unequallable sensation, facing tumults of the howling seas, getting bigger, then, raging over the coasts, as if the silence of the depths of the oceans was, for her, a precious paradise, is, so, offering to the immaculated creature bluish reflections in glowing unbelievably hes skin, is becoming a liberator, in the swathe of the chosen one of the mankind, till surpassing, by some aspects, her pygmalion, in insinuating, in accordance with the aquatic creatures are horribly shrieking across the world of the waters, that chosen ones can be wrongly chosen. In the midst of these maculated currents of water, where, the faces of lonely and damned souls, that are so hardly distinguishable, except for her, accurse the world of mortal journey, Ode, such as an enlightening creature, has, in fine, a revelation.

Ode :  The world of the darkness, that has rocked the child of the darkness, is giving back to his progenitor his son !

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