Le passage pourpre V / The purple passage V

Alors que les téméraires pourfendeurs, vautrés piteusement dans le bain des communs des mortels, qui voguent aventureusement sur les mers capricieuses pour ces lucres que, seuls, les élus de ce monde, à l'outrecuidante immortalité, peuvent offrir au monde, ne peuvent guère feindre les écueils mortels de ces lieux, qui jalonnent leurs expéditions sur les mers, les dieux capricieux et ses servants séjournant entre terre, mer et ciel, qui repêchent ces quelques pourfendeurs venus à la rencontre du sein des dieux, pour des fins, encore, irrévélés, sans le consentement de la lumière, grondent, à l'éphémère moment, aussi fortement que les orgues maléfiques du royaume des ombres. Aucune épithète oiseuse peut qualifier les élans de ces hommes, pris dans ces galères. Le dédain ne dure guère lorsque l'un de ces dieux, régnant sur les mers dévastatrices, qui attend, encore, que les oiseaux de sinistres augures, s'égosillant habituellement au-dessus des mers, pour réconcilier les dieux et les hommes, remplissent leurs destinées, lève sa voix tonnante au-dessus de tous bruits. 

Le dieu suprême des mers : Dans l'obscurité des ciels enténébrés, les oiseaux de présages sont, à peine, discernables comme noyés dans cet océan d'obscurité. Aucun homme peut survivre sans les bons présages. 

L'un des servants du dieu : Que les hommes ayant quittés leurs navires, leurs sein, afin d'épouser les désirs de la divinité, viennent à nous !

L'un des pourfendeurs : L'élu des hommes n'était-il pas, aux yeux des dieux, un nouveau dieu ?

L'un des servants du dieu : Que vos yeux éblouis vous révèlent la vérité ! Il n'y a que cela qui compte ! La foi en quelque chose !

Sur l'entrefaite, les orgies de quelques créatures monstrueuses provenues des ténèbres, où, s’attroupent étrangement des créatures errantes et malfaisantes, tels des galériens, qui faisaient des méandres dans les mondes souterrains, causent un grand bruit, dans les ciels, sur les terres d'entre deux, dans les terres inclinées vers les enfers, et, dans les mondes souterrains, les hommes esclaves, qui sont assimilés, de manière présomptive, à des créatures errantes et malfaisantes, appontent, sans entrave, sur ces lieux des enfers, où, les seins maléfiques séjournent. 

While the forwarding slayers, weltering pathetically in the bath of the common mortals, that are circumventing, peradventure, on the capricious seas for these lucres that, only, the chosen of the world, of presuomptuous immortaly, can offer to the world, can not feign the mortal obstacles of these places, that are littering their expeditions on the seas, the capricious gods and its servants, sojourning between land, sea and sky, that are fishing again these few slayers came to meet the godship, for unrevealed yet purposes, without the consent of the light, are rumbling, at the ephemerous moment, as stronger than the malefic organs of the realm of the shadows. No idle epithet can qualify these dashes of the men, caught in these mishaps. The disdain does not last when one of the gods, reigning over the devastating seas, who is still awaiting that the ill omens birds, chanting usually above the seas, for conciliating again the gods and the men, are doing their utmost for fulfilling their destinies, is rising up his thundering voice above all noises.

The supreme god of the seas : In the dark of the darkened skies, the birds of auguries are barely discernible as drown in this ocean of the darkness. No man can survive without the good auguries.

One of the servants of the god : That the men having leaved their boats, theirs ships, in order to espouse the desires of the divinity come to us !

One of the slayers : Is the chosen one of the mankind a new god, at the gazes of the gods ?

One of the servants of the god : That the blinding eyes reveal for you the truth ! This is worthy ! The faith in something !

At the meantime, the orgies of some monstruous creatures issuing from the darknesses, where, meandering and malicious creatures are oddly teeming, such as galley-slaves, that were scraping the bottoms of the underworlds, are causing a big stir in the skies, on the lands caught in between, on the lands shelving down the hells, and, the underworlds, the slave men, that are assimilated, such as next-to-kin creature, are landing, without reticence, on these places of the hells, where, the malefic ships are sojourning.

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