Le passage pourpre VII / The purple passage VII

Les lorgnades des créatures errantes et malfaisantes, tels des galériens, qui fleuraient, depuis si longtemps, la présence de véritables diables, tels des suppôts des divinités vouées à détruire les mondes éclairés, séant à ces lieux des enfers, sont, enfin, récompensées lorsque des créatures avilies, vautrées dans le sang visqueux, aux vertus immortelles, leur procurant une nouvelle enveloppe charnière, qui remuent les entrailles de ce monde, se manifestent, en dehors de leurs antres. C'est que des membres éminents et des membres d'un ordre maléfique, qui avaient maculé de sang les peaux ternes et épaisses de ces quelques créatures diaboliques, selon un rite maléfique, n'avaient guère nombré les nombreux effets de ces bains. Alors que les campagnes de terreur doivent reprendre, à travers les confins des mondes souterrains, l'ordre maléfique, qui dévoile, enfin, ses contours, apparaît, désormais, aux yeux indiscrets de ces quelques galériens, qui s'étaient éternisés sur ces lieux sombres remplis de mystères. Au dépit moment, les galériens, de nature différente, ayant chassés les mauvais esprits jusqu'ici, s'invitent, par aventure, sur ces lieux des enfers, en occultant ces grands périls que les prévoyants entremetteurs des âmes, qui s'arrogent le droit de voguer, à bord de leur bateau de plaisance, aux bords calcinés et incroyablement enrochés, sur ces flots rougeoyants, où, la chute dans les flots rougeoyantes n'est guère permise, durant ces traversées périlleuses, à cause du risque élevé de mort, quittent, sans mérite, afin de rejoindre la cohorte de dragons consulaires, séant sur l'une des côtes, où, demeurent des ossements gigantesques, se fossilissant soupçonneusement.  

Pendant que la cohorte de dragons consulaires, accompagnée de miroitiers épatants, qui imagine, avec fantaisie, au cours de ces longues lorgnades, les ciels s'étoilant magnifiquement au retour providentiel du dragon constellaire, fait de ces méandres de ces lieux lugubres un siège, paré contre les âmes trépassant d'un lieu à l'autre, émet une nouvelle lumière, dans le lointain, nul ne peut prédire lorsque la créature souveraine des ténèbres soufflera, à nouveau, sur ces braises, trop longtemps, enfumées par cette fumée obscurcissant l'âme, afin de raviver les braises de l'espoir, que le feu éternel vive éternellement. Alors que des formes horrifiques de fuyards statufiés, murés éternellement dans le silence, se penchent sur ces flots rougeoyants gazouillant dans les entrailles de ce monde, les yeux de ces témoins en disent longs lorsque la trame de l'horreur fuite. C'est à ce moment de clairvoyance où cette braise de l'espoir, qui est, à peine, incandescente, pouvant s'éteindre, à n'importe quel moment, lorsqu'une fumée noirâtre apparaît, si noire, que la fièvre peut poindre sur les fronts, redevient, avec soudaineté, écarlate, que les visages maculés de tâches de cendres des entremetteurs des âmes, des mercenaires, et prêtresses désorientées appartenant à une tribu barbare, émergent de l'obscurité, sur ces fronts, où, sont postés des dragons consulaires. C'est alors que l'un des mercenaires, reprenant courage, s'écrie, avec espoir.

L'un des mercenaires : Dieu ! Que la pluie diluvienne et la pluie torrentielle nous manque ! Que la communion espérable sous les deux espèces soit vraie !

The lingerings of the wandering and malicious creatures, such as galley-slaves, that have smelt, for so long, the presence of real evils, such as agents of divinities devoted to destroy the enlightened worlds, situated at these places of the hells, are rewarded, in fine, when reviled creatures, weltering into the blood, of high viscocity, with immortal virtues, offering them a new disguised skin, are manifestating outside of their lairs. It's that the eminent members and members of a malefic order, that have maculated with blood the tarnished and scally skins of these few devilish creatures, in accordance wit a malefic ritual, had not numbered the numerous effects of these baths. While the campaigns of terror have to be resumed, across the confines of the underworlds, the malefic order, that is unveiling, in fine, its contours, is, from the times forth, appearing at the prying eyes of these few galley-slaves, that have lingered over these dark places full of mysteries. At the despite moment, the galley-slaves, of different nature, that have impelled the bad spirits to this place, are inviting themselves, peradventure, on these places of the hells, in occulting these grand dangers that the foreboding procurers of the souls, that are arrogating the right of navigating, abroad their boat of pleasance, with burnt and enrocked unbelievably borders, on these ruddy glow flows, where, the fall on the ruddy glow flows is not permitted, during these perillous crossings, because of risking the death, are leaving, without reward, in order to join the cohort of the consular dragons, sojourning on one of the coasts, where, gigantic bones, getting fossilized suspiciously, remain.

Whereas the cohort of consular dragons, accompanied with incredible silverers, that is imagining, with fancy, during these long sightseeings, the skies skies wonderfully lighting up with stars at the providentiel return of the constellar dragon, is doing its utmost for changing these meanders of these lugubrious places into a hold, against the souls trepassing from a place to another, is emitting a new light, from far away distance, nobody can forebode when the sovereign creature of the darkness will blow away, again, these embers, for a long time, smoked by this smoke obsfuscating the soul, in order to revive the embers of the hope, that the eternal fire liveth eternally. While horrific forms of enrocked escapees, remained eternally in the silence, are hanging over these ruddy glow flows babbling on the wombs of this world, the eyes of these witnesses are telling a lot when the tale of the horror is leaking. it's at this clear-sightedness moment when this ember of hope, that is barely incandescent, that can extinguish itself, at any moment, while the blackish smoke appear, so black, that the fever can dawn on these foreheads, is becoming again, with abruptness, scarlet that the faces maculated with staints of ashes of the procurers of the souls and disorientated mercenaries and priestesses issuing from a barbaric tribe, are rising from darkness. It's then that one of the mercenaries, heartening up, is expressing out loud, with hope.

One of the mercenaries : God ! That the diluvian rain and the torrential rain are missing ! That the communion, that may be hoped-for, in the both kinds, is true !

Les textes et les images ne sont pas libres de droit. Merci de contacter l'auteur. The texts and images are not free of right. Please contact the author.