Les zoïdes II / The zooids II

Tandis que le méritant membre de l'Unité, Mota, qui trône, avec opprobre, au milieu de nulle part, tente, en un tour de main, d'aviver les feux de la rébellion afin de faciliter l'ascension du roi au trône, en gardant à l'esprit cette éventualité irréversible, liant la créature chronophage aux affres de la mort, redoutée de tous, les suréminents membres de l'Unité, rejoints, par aventure, par des bombardiers fous alliés, fidèles compagnons de Métal, qui mettent aux prises Mota à propos des pérégrinations du roi revenant, ne tarissent guère d'éloges le roi libérateur des peuples, ayant âprement convoité ces exploits glorieux. Malgré que les dissipateurs stoïques, sous les ordres de l'ordre autonome des robots, qui ont avancé, dans la constitution de portraits-robots de ces créatures inconnues provenant des mondes obscurs, en surpassant, encore une fois, les hommes, s'évertuent, encore, à ratisser imparablement ces lieux de rassemblement clandestins, où, des compagnons d'infortune sont dérivés, par chance, afin de créer le monde divisé auquel ils aspirent pour les hommes formant des colonies, les mêmes propitiateurs tyrannisés, fuyant l'oppression , et, venus à la rencontre de nouveaux types, après avoir assistés épouvantablement aux festins de ces créatures de damnation, attisant les colères, par lesquelles le sort de ces peuples asservis, ballotés d'une contrée à l'autre, est scellé, dans l'horreur, qui tentent de reconnaître, parmi ces viviers de créatures grouillantes, les têtes imposantes menant ces clans à la guerre, ont la vue brouillée jusqu'à cet instant audacieux où Mota lance une corde à plusieurs torons, dans le vide, afin d'y voir plus clair. Lors de cette descente risquée, au péril de ces déprédations redoutables, où, les âmes pendues sont écorchées telles des bêtes, Mota, les quelques membres de l'Unité et quelques bombardiers, munis d'écho-sondeurs technologiques, sondent les bruits environnants, balbutiants et nappés derrière les broussailles luxuriantes, jusqu'à s'appesantir sur ce déliruim foisonnant.  A l'oreille de ces hommes bourdonne un monde, en pleine éclosion. A l'affût des moindres sons équivoques, ces propitiateurs éveillés, qui produisent des secouades passagères, au fil de leurs descentes, en prenant conscience, petit à petit, de ces mêlures auxquelles l'arbre de la vie n'avait jamais été confronté, se dévoisent, lorsque les créatures, qui relayent étrangement cette effort de guerre, créent un concert de sons inoubliables. Alors que les têtes froides se réchauffent, les menées de ces créatures ébouillantées, de genres différents, s'articulant tout autour des pérégrinations des alluvions, qui commencent à transparaître. Au moment où les sons incroyables détonnent dans ces lieux de propitiation, où, les voix humaines se font rares, les barrières entre les hommes et ces créatures, ayant reconnues les périls, devant eux, s'effondrent jusqu'à les réconcilier avec la nature. C'est alors que la voix de ces hommes se mêle, avec harmonie, avec cette symphonie orchestrée. 

L'un des bombardiers : Le déplacement des peuples, vivant dans les hauts-fonds, est un signe que les flots chauds venus des terres de feu, ont bouleversé leur écosystème. L'équilibre, apporté par certains peuples régulateurs, se déchoit à mesure que la nature est rongée. 

L'un des membres de l'Unité : Les créatures de la nature dissimulatrices se battant contre les feuilles, éventent jusqu'à faire tourner des feuilles pour produire des sons mélodieux.

Mota : Nous sommes devant l'éventail de ces créatures de la nature, séjournant dans ces lieux fertiles, ayant développées, grâce à leurs oreilles pointues, ces facultés mineures et sélectives, relevant d'une intelligence inductive, contrairement à ces créatures relèguées dans les obscurités, ayant développées des robustesses, dans les affres de la mort.

L'un des bombardiers : Les brailleurs, criant à tue-têtes, ne sont plus loins.

Whereas the deserving member of the Unity, who is opprobriously sitting enthroned in the midst of nowhere, is attempting, in a trice, to fan up the fires of the rebellion in order to facilitate the ascent of the king to the throne, in keeping in mind this unreversable eventuality, linking the time-consuming creature to the throes of the death, feared by all, the supereminent members of the Unity, joined, peradventure, with maddening bombermen, faitful companions of Metal, are setting by ears Mota about the journeys of the returning king, are crowning with merits the king liberator of the peoples, having harshly coveted these glorious feats. Despite the fact that the stoical squanderers, under the control of the autonomous order of the robots, that have advanced, in the modeling of types of unknown creatures coming from the dark worlds, in surpassing, once again, the men, are still burstling about putting into square tremendously the places of clandestine gathering, where, misfortune companions are luckily bursting asunder, in order to create the divided world at which they aspire for the mankind forming colonies. the same downtrodden conciliators, fleeing the oppression, and, came to meet new kinds, after having been witnessing tremendously of the feasts of these damning creatures, arousing the wrathes, by which the  fate of these slavish clans, hounded from a land to another, is sealed, in the horror, that are attempting to recognize, among these ponds of swarming creatures, the hotheads leading these clans to the war, have the sight blurred by the mist until this audacious moment when Mota is throwing a multiple stranded rope, in the void, in order to see more clearly. During these risky descent, at the peril of these dreadful slaughteries, where, the hanged souls are flayed, such as beasts, Mota, the few members of the Unity and few bombermen, brandishing technological echo-sounders, are probing the surrounding noises, the purls, lingering in the opulent undergrowths, till focusing on this hatching delirium. At the ear of these men, a world, in ful reminescence, is buzzing. In hunting down any slightest evocable sounds, these awakened propitiators, that are producing ephemeral shakes, in progression of their descents, are taking consciousness, little by little, of these pangs at which the tree of life had never ever dealt with, are muffled, when the creatures, that are oddly being rallied to this effort of the war, are creating a concert of unforgivable sounds. While the cold heads are hotting up, the plans of these boiled creatures, of different kinds, rounding the journeys of these alluviums, are starting to becoming real. At this moment when the unbelievable sounds are astounishing, in these propitiatory places, where, the human voices are being rare, the barriers between the mankind and these creatures, having recognized the dangers, in front of them, are collapsing till conciliating them with the nature.  it's then that the voice of these men is harmoniously merging with this orchestral symphony. 

One of the bombermen : The transportation of the peoples, living in the shallow lands, is a sign that the hot waves coming from the fire lands, have turned upside down their ecosystem. the balance, brought by certain regulatory clans, is befalling as the nature is damaged.

One of the members of the Unity : The dissimulating creatures of the nature drumming against the leaves, are blowing away, till  turning the leaves for producing melodious sounds.

Mota : We are in front of the decorum of these creatures issuing from the nature, sojourning in these fecundable places, having developped, thanks to these picky ears, these minor and selective abilities, linking to an inductive smartness, contrary to creatures besieging the darknesses, having developped robustnesses, in the throes of the death.

One of the bombermen : The brawlers, yelling the heads off, are not far away from here. 

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