Le gnomon I / The gnomon I

Alors que les feuilles géantes, roussies par le sang de ces hommes, dont l'âme est souillée, pour toujours, sur lesquelles la bande de trognons braillards, qui est apparemment à la hauteur de cette tâche, nappe, avec des feuilles géantes rudimentairement taillées, et, ciselées, ces lieux encrassés, pourtant sacralisés, à la gloire de cette généreuse divinité de la nature, ayant courbée des racines géantes afin de sortir de terre un appontement, sans paraisse dans le monde, entrelacé de racines géantes, qui sied parfaitement les arpents de ces deux mondes, et, ayant confiés aux préservateurs, de toutes espèces, mais, de nature bienveillante, d'essoucher ces champs, autrefois, émaillés de fleurs, dont les hérissements affreux sont provoqués par les soupirs de ces terrifiantes bouches de l'enfer, aux relents putrescents, afin d'abriter, dans l'une de ces grottes inviolables, le plus somptueux jardin préservé, où, est naturellement cultivée une pléthore de fleurs, dont les pétales, bien sises au sol, lèchent tout l'éventail de couleur de ce monde, ont une influence corruptible, à travers les mondes déchus, l'empiétement des destructeurs sur cette nature, dorénavant, rongée, accroît de telle sorte que la volupté des ombres vient assoupir tous les écarts de conduite, auxquels de telles profanes rencontres, impensablement réalisables, sous le régime strict de l'ordre de la lumière, peuvent s'ensuivre, jusqu'à compromettre des hommes ne pouvant guère circonstancier de leurs ajournements honteux et indésirables. 

Pendant que la meute de bêtes infernales, sous les auspices de cette divinité de la nature dépravée, perturbe les environs jusqu'à provoquer les hululements de ces hiboux perçant, avec leurs regards globuleux, les parages sombres et ensanglantés, derrières lesquels des monstrueuses créatures volantes orgiaques font les méandres en tentant de gouverner ces mondes reclus, sans gouvernail, où les pullulations de créatures errantes sont, en ces circonstances de guerre, les signes d'une désertification des peuplades, se réfugiant dans les derniers refuges, le commandant en chef de la flotte aquatique, protégeant les eaux royales entourant l'un des splendides royaumes des hommes, ballotable, ressemblant à un récif de corail, où, sont incrustés des cités aquatiques lumineuses, Sérum, qui n'est autre qu'un zoïde, fait face aux vicissitudes de ces lieux de méandres, où, les dieux tout-puissants, sans fard, conquissent afin d'asseoir un pouvoir, leur permettant de régner sur les hommes, autrefois, féaux. A peine les orgues menaçantes du royaume des ombres aient, d'emblée, repoussé la flotte aquatique, les diluviens et leurs chevaux des mers, Sérum, qui bat en retraite, en retirant sa flotte des eaux tumultueuses, exprime sa crainte concernant ces créatures de discorde et de dissemblance. 

Sérum : Entre les divinités et les monstres, les hommes, qui s’élèvent au rang éminent de sauveurs, doivent comprendre cette nature chimérique de cet être, mi homme, mi monstre, embrasant les pouvoirs de plusieurs mondes. Les zoïdes, qui n'ignorent guère les révélations de l'atlas des océans et ses pourtours abyssales, trouveront les oréades, à l'intérieur desquelles des nymphes se cachent.

Whereas the giant leaves reddened by the blood of these men of which the soul is sullied, for the evermore, on which the sounder of prattling runts, that is apparently measuring the importance of this task, is covering, with well cut giant leaves, these tarnished places, indeed, sacralised, at the glory of this generous divinity of the nature, having curved giant roots in order to unearth a bridge, without peer in the world, entwined with giant roots, that espouses perfectly the acres of these both worlds, and, having confered to the preservateurs, of all kinds, but, of kind nature, to stubb these fields, erstwhile, full of flowers, of which the horrible hedgings are provoked by the breathings of these terrifying hell mouths, of putrescent relents, in order to embow, in one of these unviolable grottoes, the most sumptuous preserved garden, where, a plethora of flowers, of which the petals, well seated on the ground,  licking all the scope of the color of this world, are canker, across the fallen worlds, the dominance of the destroyers over the nature, from now on, gnawn, is growing in a such way that the volupty of the shadows would fade all thei ll behaviors, at which such evil meetings, unthinkably realizable, under the strict control of the order of the light, can follow, till compromising men that can not give the circumstances of their shameful and unbearable vacancies.

Whereas the pack of infernal beasts, under the auspices of this divinity of the depraved nature, is disturbing the surroundings, till provoking the ululations of the owls piercing, with their rounded eyes, the bloodish and dark whereabouts, behind which orgiac monstrous flying creatures are meandering in attempting to rule over these secluded worlds, without helm, where, the pullulatings of wandering creatures, in these circumstances of the war, the signs of dereclition from the populaces, shletering in the last shelters, the commander-in-chief of the aquatic fleet, protecting the royal waters, surrounding one of the splendid kingdoms of the mankind, swingable, similar to a coral reef on which luminous aquatic cities are embedded, Serum, who is no other than a zooid, is facing the ups and downs of these places of meanders, where, the almighty gods, without disguising trick, are conquering in order to wield power, allowing them to rule over the men, in the old past, feal. As soon as the threatening organs of the realm of the shadows have, purposely, repeled the aquatic fleet, the diluvians and their sea horses, Serum, that is retreating himself, in withdrawing his fleet from the tumultuous waters, is expressing his fear about these creatures of discord and of dissimilarity.

Serum : Between the gods and the monsters, the men, that heaving themselves up to the emiment rank of saviors, must understand these chimerical nature of this being, half man, half monster, wielding powers of several worlds, The zooids, that do not ignore the revelations of the atlas of the oceans and its abyssal purlieues, will find the oreads, inside which nymphs are hiding.           

Les textes et les images ne sont pas libres de droit. Merci de contacter l'auteur. The texts and images are not free of right. Please contact the author.