Les zoïdes VII / The zooids VII

A cette entrefaite où les contrées onduleuses, sur lesquelles les bourdonnements des machines, qui s'étaient confondus avec les bruits environnants, sont indicibles comme si la pluie avait cinglé, pour toujours, les rouages de ces machines, jusqu'à les embourber dans la vase, apparaissent disgracieuses, le trublion protecteur de la lumière, Parangon, et un prétendu sage, ayant endurés cette pérégrination périlleuse, à travers les contrées assombries, afin de contempler, avec esprit, les véritables parages de ces créatures, qui ne répugnent guère, dans l'attente d'un soubresaut, à mettre le doigt dans cette engrenage mortelle, jusqu'à enrayer ces machines, malgré que leurs mains soient étrangement engourdies par le froid, prennent conscience de la variété des couleurs, qui composent, avec chatoiement, ces impressionnants tableaux de guerre aveulis par des créatures sombres et ternes. C'est alors que le tergiversateur Parangon, en quête de vérité, qui tombe des nues, est, désormais, transi par le froid.

Pendant que l'armée souterraine des dragons continue à incendier, avec des lumières dardantes, une partie de la forêt des arbres géants, jusqu'à garnir clandestinement les abords de ces tranchées, où, des flots de sang coulent, et, les commodores, à la grande vélocité, charroyant un arsenal de guerre, jusqu'alors utilisé pour élargir les passages de guerre débouchant vers ces terres battues, la constellation des dissonants, qui s'évertue, toujours, à faire avancer la cause des dragons, malgré le désordre permanent, en tentant de rassembler, grâce aux rouages de ces machines du temps, les fantasques combattants issus du règne des dragons, réapparaît, telle une rémanence qui apparaît subliminalement dans le cosmos. Mais, hélas, les espiègles gardes adoubés du roi, qui agissent, sous le manteau de l'ombre, afin de ne pas éveiller de soupçons, parmi les créatures de discorde, à l'origine de force puisée dans les ténèbres, qui sont des invisibles faiseurs d'actes séditieux et de trahison, et, qui ombragent le roi et, surtout, ses bouffons, qui sont accoutumés aux fastes de la royauté, mènent des affaires, sous le sceau du secret, se compliquant à mesure que des combattants accablés embrasant des pouvoirs, qui éveillent des forces incontrôlables liées aux ténèbres, émergent des obscurités. Alors que les bouffonneries de ces bouffons, s’immisçant dans les affaires de la royauté, qui continuent à exacerber et rompre des liens d'entente d'avec des gouverneurs loquaces et grandiloquents des colonies jusqu'à entériner des accords de paix, participent à retarder, dans le temps, l'accomplissement de la providence annoncée par l'héraut concernant les élus, voués au maintien de la paix, à travers l'univers, au péril de guerre interminable entre les peuples, les adoubés du roi, qui ne sous-estiment guère l'étendue de la guerre, à travers les âges, et, l'univers, gardent un oeil avisé sur cette constellation de dissonants.   

At this moment when the undulating lands, on which the yammings of the machines, that have been mixed with surrounding noises, are unheard as if the rain has whipped, for the evermore, the mouvements of these machines, till making them bog down on the mud, appear disgracious, the troublemaker protector of the light, Parangon, and a wiseacre, having been endured this perilous journey, through the darkened lands, in order to contemplate, with celerity, the real creature-grounds, that are not loathing, in awaiting a burst, to arrest this mortal chain, in putting a grain of sand into these machines, despite the fact that their hands are oddly whited by the cold, are not taking consciousness of the variegated colors that compound shimmeringly these impressive war paints sullied by dark and tarnishing creatures. It's then that the propitiator Paragon, in quest for truth, who is falling on his bump, is, thenceforth, bitten by the cold.

Whereas the underground army of the dragons is continuing to ignite, with daggers lights, a part of the forest of the giant trees, till putting clandestinely a garnison on the boards of these furrows, where, flows of blood are flooded, and, the commodores, of high velocity, transporting an arsenal, up to now utilized for widening the warpaths opening to these beaten lands, the constellation of dissonants, that is still plodding on with the cause of the dragons, in spite of the permanent disorder, in trying to gather, thanks to the wheels of the machines of the times, the whimsical combatants issuing from the reign of the dragons, is, so, reappearing, such as a remanence, that appears subliminally in the cosmos. But, alas, the harsh knighted guards of the king, that are acting, under the cloak of the shadow, in order to not arouse suspicions, among the creatures of the discord, at the origin of force drawn from the darkness, that are the invisible doers of seditious and betrayal acts, and, overshadow the king and, especially, his buffons, that are used to the wealth of the kingship, are leading affairs, under the seal of secrecy, getting complicated as the overburdened combatants wielding power, that are empowering uncontrollable forces linked to the darkness, are rising from the darkness. While the buffoneries of the buffons, sullying the affairs of the kingship, that are continuing to execrate and break up the links of trust with the loquacious and grandiloquent governors of colonies, till burying accords of peace, are participating to delay, over the time, the completion of the providence heralded by the herald about the chosen ones, fated to the hold of the peace,across the universe, at the peril of endless war between the clans, the knighted ones of the king, that are not underestimated the scale of the war, through the ages,and the universe, are keeping a close eye on this constellation of dissonants.

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