Le nécromancien V / The necromancer V

A cette entournure, où, les choses vont de mal en pis pour les seins et leurs sauveurs, le couronnement de l'existence d'un ordre maléfique régentant secrètement des sous-ordres est glorifié, à travers les inaccessibles bastions du mal, où, l'étoffe du mal est abondamment imprégné du sang des hommes, après que ces mêmes entités maléfiques aient fait des envenimements ignominieux auxquels ni même, le sein armorial des dieux, ayant, autrefois, offert à l'enfant immaculé l'égide de la lumière, si âprement convoité par le royaume éternel des hommes, ne pouvait guère faire vent, sans cette rançon de la vérité, que les majestueux oiseaux célestes, tels des maîtres des ciels, qui serinent à l'oreille des bons entendeurs, vont pendre au nez des dieux. Entre divinités et monstres, la mystique créature mi-homme et mi-dragon, ayant eu, par aventure, un instinct guerrier, sans paraisse, pour garnir, par sa seule et remarquable présence, cette place de garnison, argue, avec tant d'émotion, avec ses yeux pétillants, qui fait l'appareil d'un homme plus qu'un dragon insensible, qu'il est celui dont la dévotion des peuples, qui est plus grande que celle pour les dieux, fait déifier, renoue, enfin, avec son véritable sein, malgré les apparences trompeuses. Au même sort, à cœur défendant, l'imparable guerrier dragon, Ylo, empêchant, avec une dose de chance, la dépit catalyse, dont les yeux insensibles de dragons, tyrannisant les champs de bataille, aussi étendu que l’œil peut voir, jusqu'à foudroyer, d'un regard furibond, les parages rembrunis par des créatures monstrueuses avilissant tout sur leurs passages, se durcissent, au fil de ces combats d'une violence inouïe entre les créatures d'un même vivier, soulage le fardeau de cette créature pourfendeuse, au dos arqué, en appontant, enfin, au dos de sa créature servante, sur l'un de ces monticules bondés par des dragons ailés, sous tutelle, qui gardent, en sentinelle, les maudites rivières de sang, où, tous les ralliements de toutes sortes, les plus impensables les uns que les autres, sont à l'origine de ces envenimements tamisant la lumière du monde. Alors que les ruissellements du sang, dans les fiefs de la guerre, qui évoquent tant de choses, dans l'esprit sénile de ces destructeurs, enrôlés pour exercer outrancièrement la tyrannie, continuent de fragiliser, par imprégnation, les brins de ces cordes, soulevant des seins, se tendant jusqu'au point de rupture, conduisant aux chavirements, les vacillations du sein rassembleur des dragons, selon lequel les dragons aux ailes monstrueuses, qui volent, tels des éclaireurs, au-dessus de ces navires de guerre orientés, en voguant, avec bons présages, sur les champs de bataille, n'est guère une aberration des hommes, sont, à peine, ressenties, aux emmanchures de ces moments. C'est que l'armée raguerrie des dragons cryptiques, ne subissant guère l'indigne châtiment de ces dieux, quelque peu, impuissants, fait une liaison de succès, entre les armoiries des différents temps.

At this armhole, when, the things are going worst to the bad for the ships and the saviors, the consummations of the existence of a malefic order ruling over the sub orders, in secrecy, is glorified, across the unattainable devilishing strongholds, when, the flag of the evil is abundantly impregnated of human blood, after that these same malefic entities had done ignominious devilishnesses at which, neither, the armorial godship, having, in the old past, offered to the immaculated child the aegis of the light, so harshly coveted by the eternal realm of the mankind, could not heralded, without this ransom of the truth, that the majestuous celestial birds, such as the masters of the skies, that are chanting at the ears of the right listeners, are using for bowing down the gods. Between divinities and monsters, the mystical creature half man and half dragon, having had, peradventure, a warmongering instinct, without peer, for completing, by his lonely and remarkable presence, gathering places, are arguing, with so much emotion, with his brilliant eyes, that makes him more human than an insensitive dragon, that he is the one of which the devotion of the people, that is more important than the one for the gods, is making deified, is finally rekindling with his true ship, in spite of the misleading appearances.  At the same fate, with hearty mind, the implacable dragon warrior, Ylo, avoiding, with a touch of chance, the depit catalysis, of which the insensitive eyes of dragons, tyrannizing the battlefields, as vast as the eye can see, till killing with one glance, the whereabouts darkened by the monstrous creatures reviling everything on their swathes, are hardening, as these tremendous fights, of strong violence, between creatures of same pond, is relieving the burden of these flaying creature, of bumped back, in finally landing on one of this hills teemed with winged dragons, under guardianship, in guarding, in sentry, the accursed blood rivers, where all the rallying, of any kinds, the most unthinkable than the others, are at the origin of these devilishnesses dimming the light of the world. While the courses of the blood, in the precincts of the war, that evoke so many things, in the senile decay mind of these destroyers, enrolled for excecuting outragingly the tyranny, are continuing to weaken, by impregnations, the strands of these ropes, lifting up ships, tensing to the breaking point, condusing to the topplings over, the chancelings of the gathering ship of the dragons, according to which the dragons with monstrous wings, that are flying over these orientated warships, such as pathfinders, in sailing by the battlefields, with good omens, is not an aberration of the mankind, are, so hardly, felt, at the retreating moments. It's that the strengthening army of the cryptic dragons, in not suffering from the indignified punishment of this, somewhat, powerless gods, are making a succesful link, between the armories of different times.

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