Le panorama V / The panorama V

Devant l'éternel, les devenus rançonneurs fondeurs, qui se pâment silencieusement de joie, en lorgnant contemplativement la divinité émancipatrice, dans le sein de ce monde reclus, au gigantisme recréé, à partir de géantes et déroutantes racines, tels des piliers indéracinables, appartenant à des arbres centenaires se dégarnissant de ses feuilles ladres, sur lesquelles des trous de béance ont été percé, afin d'y épier cet mystérieux antre dans lequel la divinité dépravée, dont le pouvoir incommensurable s'exerce, en exponentielle, sur les choses de la nature, admire, en euphémisme, l'obvers de la vérité comme si son esprit, qui est né, à nouveau, à partir de la volonté d'un peuple, aux sacrifices de leurs terres louablement offertes par les dieux célestes, parent subitement les coups des lierres grimpantes comme pour ne guère manquer les moindres instants de cette fable fantastique. Pendant tout ce temps, la fable sans fin de cette divinité esseulée, dont l'esprit a vogué, sur les flots des temps, jusqu'à renaître, un jour, telle une bête méconnaissable, mais, pourtant, portant une maudite armature, si particulière qu'elle vibre, défiant les lois de l'univers, n'avait guère été narré prolifiquement par ces versificateurs doués du cénacle de la lumière, ayant un œil astronomique pour aller plus loin, allant au-delà de la voûte céleste, jusqu'à atteindre les constellations, où, dans l'obscurité, les matières noires et les matières vivantes se coalescent. C'est qu'à la pensée tenaillante d'être à l'abri des regards, à la fois, envieux et piégeurs de ces fondeurs coriaces, la divinité puissante, à l'armature sertie avec une inspirante pierre de pouvoir, qui règne dans ce monde recomposé, à ces temps présents, qui ingurgite ce monde appartenu par des peuples ignorant la puissance des dieux, s'émancipe, à son tour venu. 

Pendant ce temps, quelque part dans l'une des nécropoles, érigées clandestinement, les brailleurs trognes, qui se pavanent, avec frivolité, au milieu des heaumes où, des crânes sont défoncés, et, des armatures raillées, où, des corps sont mutilés, s'émerveillent, malgré ces situations évocatrices de malheurs, devant ces orfèvreries diverses et variées, qui donnent une part belle à des pierres de pouvoir, ayant un certain pouvoir, malgré que cette quintessence soit, quelquefois, perdue, dans le domaine des combats, jusqu'à ramasser, lorsque la fortune arrive, une jonchée de pierres de pouvoir salies, nécessitant des bains permettant révéler leurs éclats. Si tôt, les trognes perspicaces, au petit trot, qui avaient pleinement compris l'union judicieuse entre les pierres de pouvoir gisantes et les précieuses orfèvreries, avaient élargi leur champs d'action afin de soutenir l'éventuel effort de guerre du sein sauveur, jusqu'à cette entame, où, les trocs de pierres de pouvoir, qui dépassent, dans certains confins des mondes souterrains, les trocs d'orfèvrerie, en faisant la fortune de ces petits passeurs des mondes souterrains, au regard malicieux, se terminent brusquement, sans un bruit.  

Après quelques temps, malgré que les gobeurs et les gnomes soient des renforts utiles auxquels les dragons du monde souterrain peuvent espérer, en ces temps rudes, une tripotée de trognes, qui trépigne languissamment dans l'allée principale du royaume des ténèbres, où, les coursives vers les autres royaumes sont obstruées et remplies de périls, grogne sur ces trognes chapardeurs et, plus précisément, sur l'un de ces trognes, qui endente un rouage retrouvé, si minuscule, qu'il ne peut être précieusement gardé que par lui-même. Mais, hélas, les voix discordantes de ces trognes rouspétants, ayant le devoir d'être les rassembleurs des mondes souterrains, afin de ne guère mener, avec lascivité, ce petit sein, tonnent, dans des proportions réservées qu'à leur petit monde de soutènement endossant de, bien, grandes responsabilités, tels les tonnerres tonnent dans les ciels enragés.

Facing the eternal, the ransoming going foundrymen, that are silently filled with joy, in glaring, with admiration, at the emancipating divinity, within this secluded world, of re-created gigantism, from giant and tousling roots, such as unrootable pillars, belonging to centurial trees getting stripped of its ladre foliages, on which holed oculars have been pierced, in order to spy this mysterious lair, in which the divinity of depravity, of which the immeasurable power is exponentially exerting on the things of the nature, is admiring, in euphemism, the obverse of the truth as if his spirit, that is again brought to life, from the will of a people to the sacrifices of their lands praiseworthy offered by the celestial gods, are suddenly warding off the blows of the grasping ivies as for not missing the slightest moments of this fantastic tale. For all this time, the endless tale of this lonely divinity, of which the spirit has sailed by, in the currents of the times, till being born, again, one day, such as an unrecognizable beast, but, indeed, carrying an accursed armature, so particular that it vibrates, defying the rules of the universe, had not been narrated prolifically by these talented versifiers of the cenacle of the light, having an astronomical eye for seeing further, going beyond the celestial vault, till reaching the constellations, where, into the darkness, the black matters and the living matters are coalescing altogether. It's at the gripping thought of being pried from the at the same time, envious and trapping eyes of these harsh foundrymen, the potent divinity, of armature ornated with an inspiring powerstone, that reigns over this world recompounded itself, in the present times, that is wolfing this world belonged by the people ignoring the puissance of the gods, is being emancipated, by coming turn.

At the meanwhile, somewhere in one of the necropolises, erected clandestinely, the brawling mugs, beaming with joy, that are treading upon the helms, where, skulls are crashed down, and, fainted armatures, where bodies are mutilated, are being amazed, despite these situations evoking the death, in front of these variegated crafts, that give a great part to powerstones, having a certain power, despite the fact that the quintessence is, sometimes, lost, in the domain of the combats, till harvesting, while the fortune comes, a spoonful of sullied powerstones, needing bathes permitting to reveal theirs sparkles. So early, the far-seeing mugs, stepping over ahead, that had fully understood the righteous union between the lighting powerstones and the precious crafts, have widening their fields of action in withstanding the eventual effort of the war of the savior ship, up to this starting point, when, the bargains of powerstones are exceeding, in certain confines of the underworlds, the bargains of crafts, in doing the fortune of these small sliders of the underworlds, of malicious eyes, are abruptly ending, without a noise.

After a while, despite the fact that the gobblers and the gnoms are the useful reinforcements at which the dragons of the underworld can hope for, in these rough times, an host of mugs, that is languishing in the main aisle of the realm of the darkness, where, the wings towards the other realms are obtruded and full of perils, is growling on these stealing mugs and, more precisely, on one of these mugs, who is preciously cogging a found back piece of craft, so tiny, that he can only be stored by him. But, alas, the voices of discordance of these rumbling mugs, having the duty of being the gatherers of the underworlds, in order to not lead, with lascivity, this small ship, are thundering, in scales reserved to this small relieving world burdened of grand responsabilities, such thunders that rumble in the raging skies.

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