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16 Jul

La reprise du froid II / The new spell of the cold II

Publié par Nipon Duong  - Catégories :  #créature de glace, #ice creature, #glazier, #vitrier, #parangon, #paragon

Pendant que les bedonnants et paresseux piocheurs, aux habits étriqués, confectionnés afin qu'ils ne se prennent guère les pieds dedans, dont l'insouciance et la gaillardise sont, à la fois, méritantes et provocantes, pouvant attiser l'ardeur du dieux courroucé, en voie de démystification, lorsque son œil perçant et terrible, tel un joyau des ténèbres, les prend la main dans le sac, que leurs mains boursouflées jonglent, avec malice et envie, jusqu'à cet moment merveilleux et idyllique, que les oreilles bercées soient enchantées, par apaisement, par ces petites touches de sons harmonieux, qui émerveillent les yeux et les oreilles, rapiècent, à la va-vite, le sac arlequin, couturé de tissus surannés, où, s'entrechoquent des pierres ornementales, qui ont le pouvoir de faire et défaire les souverains, aux têtes tressées de couronnes, tel qu'il est vaguement deviné, derrière cet hameau de verdure, s'emparent de ce trésor d'antan, les corps mutilés et massacrés jonchant les vastes champs de batailles sont, encore, froids. C'est que l'éternisant refroidissement des champs de bataille, totalement gelés, sur lesquels les fers, chauffés à blanc, qui s'étaient croisés, clinquent, à nouveau, mais, cette fois-ci, sous les pieds craquelés de ces quelques étranges rôdeurs, dont les immixtions justifiées dans les affaires des hommes, dépassés par la tenante guerre, se multiplient, de telle sorte que les cadavres des hommes et de créatures de dissemblance, ramassés et relevés, aux pieds de ces géants de glace statufiés, aux pieds d'argile, répandant, tout autour d'eux, le froid extrême, jusqu'à repousser, dans les lointains parages, des créatures de mauvaise conception, ne sont plus le véhicule du fléau, avait, ainsi, apporté de bonnes chances à ces hommes rabougris de survivre, durant ces temps ardus de la guerre. Alors que les endommagées et désuètes machines de guerres, sur lesquelles s'étaient appesanties des créatures chapardeuses et propagatrices, jusqu'à y amonceler, de manière fulgurante, à la dérobée, dans leurs butins, des armes détournées, pour gréer leurs navires de guerre ennemis, qui engourdissent, à présent, tragiquement les mains de ces quelques malchanceux protecteurs technologiques, issus de l'ancien monde technologique, et autres propitiateurs, tels que les penseurs et les rimailleurs, ayant un œil rivé sur les enfers et ses cachots, dont les éventrements des mondes souterrains mènent à l'expansion de ces créatures colporteuses du fléau, à travers les terres d'entre deux.  Sur l'impromptu moment, où, le songeur sage, Parangon et son acolyte, ayant la sorgue en horreur, qui s'évertuaient, tels des défaiseurs des obscurités, à émacier les silhouettes grandissantes des ombres, sécularisant, ainsi, des armures ancestrales rétrécissantes leur soi puissant, au bénéfice d'avoir de l'attrait dans les ténèbres, n'ont dieu que pour ces choses sombres, s'opacifiant dès que l’œil lorgne, qui dépassent l'entendement, et, qui échappent à la perception de la lumière, sont totalement circonspects lorsque leurs yeux, se dilatant, sont confrontés à la réalité, tout bascule, à cet instant où l'imminence du réveil de ces royaumes bannis, et, assoupis, où, les éminences peuvent détrôner les rois, est actée, par les plus grands éclaireurs du monde de la lumière. A peine les ombres monstrueuses, facétieuses, qui réveillent des combattants obscurs, jusqu'à épouser des formes amincies, s'entretoisent, le grand protecteur de la lumière, le téméraire Parangon, ayant, autrefois, été assagi par les dieux célestes eux-mêmes, descendant des cieux, pour fouetter ces ombres monstrueuses, jusqu'à que la lumière jaillissante et émaciante, dardant ces enveloppes spectrales, éructant, de toutes parts, des volutes d'ombres, jusqu'à être ruiner de force, ne fasse effet, se reprend à commettre les mêmes péchés, que jadis, notamment, à cause de ces pierres d'espérance, parées. A moins qu'il s'agisse d'une autre époque, où, la révulsion de ces mondes grouillant de créatures d'immondice, et, d'horreur, domine la pensée des hommes, Parangon et son acolyte, qui jaugent, encore et toujours, sans se lasser, jamais, les forces des créatures des ténèbres pour vaincre les ombres, ont la certitude que les présages de l'héraut disaient vrais.  C'est alors que Parangon rimaille comme pour chasser le mauvais sort.

  

Parangon : Que la faim réveille nos sens !

 

L'un des acolytes, en utilisant un instrument du temps : Les seigneurs de guerre n'ont que faire de la lourdeur des temps. Tout indique que le passé rencontre le présent, emprisonné dans une boucle temporelle infernale, où, des phases de destruction et de création se succèdent. Mais, cette fois-ci, quelques chose empêche cette continuité du temps, menant jusqu'à la fin des mondes.   

 

Parangon : Aies confiance en l'instinct de ces créatures ! Leur flaire, leurs pouvoirs, leurs sens, n'appartenant pas au royaume des instincts des hommes, qui leur sont conférés directement par des dieux, sont voués à de tels buts. 

 

L'un des acolytes, les larmes aux yeux : Les présages de l'héraut, provenant d'un lointain temps révèle ces arpents du temps.

While the pursy and sloth diggers, with a big belly and downsized clothes, made, for a purpose, that consists of not meddling their feet on it, of which the recklessness and the mongering are, at the same time, deserving and provoking, that can stir up the ardour of the god, full of fury, in way of demystification, while his piercing and terrible eye, such as a jewel of the darkness, is catching them up, with their hands in the purse, that their scally hands are tousling, with malice and envy, until this beautiful and idyllic moment, when, the lulled ears are enthralled, by appeasement, by these tiny touches of harmonious sounds, that are resplendishing at the eyes and at the ears, are quickly putting back together the pieces of this color variegated purse seamed with outdated fabrics, where, ornamental stones collide with each other, that have the power of doing and undoing the sovereigns, with heads crowned with crowns, as he is blurringly guessed, behind this evergreened hamlet, are seizing this treasure from the old times, the mutilated and slayed corpses littering the vast battlefields are still cold. It's than that the everlasting freezing of the battlefields, totally freezed, on which swords, heated up, that have been crossed, are again clinkling, but, this time, under the crackling feets of these few odd prowlers, of which the justified interferences in the affairs of the men, overwhelmed by the holding war, are being multiplied, in a such way that the corpses of the men and of creature of dissimilarities, grabbed, lifted up, at the feet of these statufied ice giants, with clay feet, overspreading, all around them, the extreme cold, till repeling, in the distant whereabouts, creatures of misconception, is numbing the hands of these few unlucky ones, are no longer the vehicule of the scourge, had, so, brought good chances of survival to these minced men, during these harsh moments of the war. Whereas the damaged and decaying war machines, on which creatures of robbery and spreading were clinged to, as for equiping their opponent warships in heaving up, in a frenzied way, in their loots, hijacked weapons, that are tragically numbing the hands of these few unlucky technological protectors, issuing from the ancient technological world, and other propitiators, such as the thinkers and the versifiers, having an eye riveted on the hells and its jails, of which the rippings of the underworlds lead to the spreading of these scourgemonger creatures, across the lands caught in between. At the inauspicious moment, when, the wise thinker, Paragon and his acolyte, having the night in horror, that were plodding on with the cause of emaciating the gathering silhouettes of the shadows, in, so, secularising ancestral armours downsizing their mighty self, at the benefit of having an appeal in the darkness, have only obsession these dark matters, obfuscating as soon as the eye lorgnates, that goes beyond the understanding, and, escapes the perception of the light, are totally dazzled when their eyes being wideseeing are confronted to the reality, everything is toppling over, at this moment when the imminence of the awakening of these banished, and, faded realms, where, eminences can dethrone the kings, is acted, by the most eminent enlighteners of the world of the light. As soon as the facetious grisly shadows, that are waking up dark combatants  till espousing minced shapes, the grand protector of the light, the harsh Paragon, having, in the olden days, been wisen by the heavenly gods themselves, descending from the skies, for lashing these grisly shadows, till the gushing and emaciating light, darting these spectral corpses, belching, from all parts, gush of shadows, till ruining strengths, is doing its effects, is restarting to commit the same sins, than before, especially, because of these stones of hope, warded off. Unless that it is about another time, when, the revulsion of these worlds swarming with creatures of ignominity, and of horror, dominates the mind of the men, Paragon and his acolyte, that are measuring, again and again, without being exhausted of watching, never, the strengths of the creatures of the darkness, for vanquishing the shadows, have the certainty that the omens of the herald were true. It's then that Paragon is versifying in casting off the spell.

 

Paragon : That the pinches arise ous senses !

 

One of the acolytes, in using the instrument of the times : The warlords do not care about the heaviness of the times. Everything indicated that the past meets the present, entrapped in a infernal temporal loop, when, phasis of destruction and creation are succeedind. But, this time, something arrests this continuity of the time, leading to the end of the worlds.

 

Paragon : Trust the instincts of these creatures ! Their smells, the powers, no belonging to the realm of the instincts of the mankind, that are confered to them directly by gods, are fated for such purposes.

 

One of the acolytes, the eyes brimming over tears : The omens of the herald, coming from the distant time, reveals these acres of the time.

Les textes et les images ne sont pas libres de droit. Merci de contacter l'auteur. The texts and images are not free of right. Please contact the author.

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