La reprise du froid VI / The new spell of the cold VI

Mais, alors, les dieux abolisseurs, qui avaient fait, avec vergogne, cette déréliction, en abandonnant le navire des hommes, au pire moment de ces lancinantes guerres universelles, où, l'opprobre élu des ciels et son acolyte avaient défié la souveraineté des princes maléfiques, en constituant des bataillons d'autants, apparaissent, soudain, dans des sublimes et impressionnants attelages apprêtés à voguer sur n'importe quel vague d'ennemis, aussi fièrement qu'il n'est dieu existant sur ces terres de disgrâce, tombant dans les enfers, où, les feux de la haine consume l'âme de ces peuples opprimés, anoblissent, depuis que le royaume céleste, perché dans les montagnes victorieuses, ait été frappé par la maudite guerre, après avoir regrettés d'avoir lâcher du leste, en laissant tomber cette corde aux grands torons, et, par la même occasion, laisser dériver les peuples dans les mondes sous éclairés, les combattants fiers pour que leurs protectorats soient une évidence pour tous, qui s'imposent aux peuples, désirant l'immortalité d'âmes, et, conserver leurs terres. Par le comble de l'infortune, ces mêmes dieux capricieux, évitant, à tout prix, le redouté trépas des mortels, ne sont que des semeurs, de troubles, de panique et de morts. A peine avoir mis le pied sur les arpents de la mort, l'un des dieux abolisseurs, communiquant avec ses servants théurgistes, jusqu'à émaner des résonances, au son angélique, fait des vindictes afin d'assurer, aux autres dieux, la pérennité de leurs souverainetés, leurs protectorats sur les peuples. Mais, le courage est, maintenant, homme, qui fasse bonne œuvre de ses forces, pour des raisons, que seules les oracles avaient annoncé la venue des élus dans ce monde enténébré.  Tout à coup, les ruées des hommes esclaves, indigents, velléitaires, perdus dans les champs de ruine, où, les forts et les forteresses ne se constituent guère en un jour, qui n'ont que la peau sur les os, vers les opulentes éclats, procurant une chaleur, de cette armure scintillante de mille feux, s'agenouillent pour que la résonance apporte la raison. C'est alors que le dieu abolisseur devient un entendeur, hors pair. 

L'un des dieux célestes : Les hommes, sans orgueil, ne sont guère résignés à mourir.

L'un des hommes esclaves : L'exemplarité des hommes, tirant les créatures, aux esprits moins éclairés, en dehors des sentines de l'iniquité, et, du vice, rivalise avec celle des suppôts maléfiques, qui sont les fossoyeurs des sillons de la mort.   

L'un des dieux célestes : Ces pensées vaseuses ne révèlent guère grand chose à propos de la guerre.

L'un des membres de l'Unité : Une litée de goules, une meute d'avaleurs, entourés de liseuses d'âmes, sont les égaux des hommes, dans orfèvrerie et, surtout, dans la guerre.

L'un des dieux célestes : Ainsi, des peuples d'indigence aussi vaillants que les hommes se font la guerre.

But, then, the dooming gods, that have done, with shame, this dereliction, in giving up the ship of the men, at the worst moment of these everlasting universal wars, where, the opprobrious chosen one of the skies and his acolyte had defied the dominion of the malefic princes, in making batallions up to the strength of elements, are, sudden, appearing in sublime and impressive vessels ready for sailing by on any wave of enemies, as proud as no existing god had landed on these disgracious lands, fallen into the hells, where, the fires of the hatred is consuming the soul of these oppressed peoples, have dubbed, since that the celestial realm, perched in the victorious mountains, had been hitten by the accursed war, after having regretted to let loose this rope, with grand strands, and, by the same occasion, let the clans sink into the dimmed worlds, the proud combatants for that their protectorats are an obvious fact for all, that mut be imposed to all clans, desiring the immortality of the souls, and, keeping their lands. By the crowning misfortune, these same capricious gods, avoiding, whatever it takes, the feared death of the mortal ones, are only mongers, of trouble, of panic and of deaths. As soon as he has trodden upon these acres of the death, one of the banishing gods, communicating with his theurgist servants, till emanating resonances, of angelic spell, is doing prosecutions in order to assure, to the other gods, the long lasting of their sovereignties, of their protecterotes over the clans. But, the bravery be, now and grasp, man, who is doing good acts of his strengths, for reasons, that only the oracles had announced the coming of the chosen one on this darkened world. All of a sudden, the onsets of the slave men, indigent, angry, lost in the fields of ruin, where, the stalwarts and the strongholds can not be constituted in one day, that are feeble, towards the opulent gealm, that heartens up, of this scintillating with thousand fires armour, are kneeling down for that the resonance brings to the reason. It's then that the dooming god is becoming a listener, without peer. 

One of the celestial gods : The men, without pride, are not resignated to the sentence of the death.

One of the slave men : The exemplarity of the mankind, pulling the creatures, with a lesser enlightened mind, out from the sink of the iniquity, and, of the vice, is rivalling with the malefic agents, that are the plunderers of the furrows of the death.

One of the celestial gods : These twisted thoughts do not reveal great thing about this war.

One of the member of the Unity : A pride of ghouls, a pack of swallowers, surrounded with through readers are the equals of the men, in the craft and, especially, in the war.

One of the celestial gods : Then, clans of indigence as valiant than the men are duelling with each other.

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