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26 Jul

Le roi des chimères V / The king of the chimeras V

Publié par Nipon Duong  - Catégories :  #assassin, #gobbler, #gobeur, #ghoul, #goule, #gargoyle, #gargoule, #hobgoblin, #farfadet, #myrmidon

Des créatures aux oreilles aux aguets, les revanchards gobeurs, dont les remords de la conscience, qui ne font que grandir en eux, au déshonneur de n'avoir guère acquis la force vive de l'esprit pour agir de prompt fait, aiguillonnent leur pensée, quelque peu, endormie, sont certainement les plus prudentes. Loin des tintamarres des lieux de tumultes, les rudimentaires et finauds gobeurs, enfilant des habits gueux lamellés d'haillons, dès que la rosée de sang picote leur nez, qui n'avaient que leurs mains tâtonnantes, qui tâtonnent le sol truffé des pierrailles sans finition, des babioles, sans valeur, et des orfèvreries de couronnement, dans l'obscurité profonde, n'avaient oncques de honte de mettre leur nez dans ces affaires, qui dépassent leur propre entendement. Et, le jour arriva, enfin, où, l'un des gobeurs, grand penseur de l'unification, pourtant, glouton parmi les gloutons, pourléchant ses babioles, comme si leur faim guérissant les plaies de l'âme, devant la truculence de ces mets capitaux, rares, offrant une vivacité d'esprit, à toute épreuve, à l'épreuve du feu, qui était, une fois, étanchée, avait avenue ce grand jour, où, ce peuple de sentier bigarré, devrait s'élever au-dessus des autres peuples, jusqu'à  réfléchir avec leur tête au lieu de leur panse, se délecta de ce succulent moment jusqu'à savourer, sous peu, cette revanche contre les clans aux créatures leur dépassant d'une tête, jusqu'à enfourcher, avec ces modestes armes, cette botte de foin, pour dessiner, enfin, l'andain vers la route de la guerre. Malgré le fait que ses bottes, et, ses socques, trempées de rouge, croupissant dans le sang rôtissé, soient inconfortables, le jeune et sémillant gobeur, dont le visage farde, bien, le couleur du rouge, qui semble être à son aise, fait, par des soubresauts imprévisibles, des escouades, à la ritournelle de ces mondes, où, la loi du plus fort règne, dans les tavernes des confins éloignés, loin du royaume des ténèbres, jusqu'à se faire un nom parmi les élus, à jauger.

 

Et, tout d'un coup, après avoir paré les coups violents de ces créatures rustres et imposantes d'affaires, usant la perfidie et la ruse pour extorquer les honnêtes malandrins, s'il en existent, dans ce bas monde, le poisseux gobeur, portant au cou une mirifique fiole de guérison, au sein de laquelle des larmes lumineuses recueillies, par des nymphes, barbotant somptueusement aux bords de ces eaux souterraines, faisant la joie de quelques admirateurs lançant des petites pierres pour faire des ricochets, sur la surface de l'eau, afin d'y apercevoir, en un coup d'oeil, la beauté indescriptible, fait des acrobaties malvenues, en tenant précieusement cette fiole de bonne guérison, comme pour échapper à ces ivrognes soûlés, ne préférant guère l'eau de vie. Mais, hélas, aux vilaines entournures, le singulier gobeur, ayant, toujours, à ses trousses, des abrutis créatures de désordre, s'affairant pour transporter des statues que tous savent vivantes, qui mendiait congrûment, depuis tout ce temps, auprès des marchands, des vagabonds, des errants, et, par chance, quelques informateurs, pour faire l'obtention de quelques précieuses ritournelles à propos des briseurs de pierre, sachant pertinemment que les plaques tournantes de ces trafics en tout genre, sont encastrés, dans les murs, tandis que ses congénères, repus par des repas, bien, copieux, se cognent la tête contre les murs, décide de se protèger la tête avec un heaume, dégrossissant ses oreilles pointues, comme pour que sa consicence l'aiguillonne. Ainsi, le farfadet, vu comme un lutin pour ces ogres, s'agaillardit jusqu'à ordonner évasivement, avec fantaisie, à ces laxistes congénères, ayant un poil dans la main, accoutumés à garder un monstre dormant, que les mains soient  gantées, et, qu'aux emmanchures, les émmitouflements de ces quelques lieux, de ces quelques confins, si nombreux que la tête est, quelques fois, étourdie, jusqu'à voir des oiseaux tournoyés autour de leurs têtes, se finissent.

From the creatures with pricked ears, the revengeful gobblers, of which the remorses of the consciousness, that do not cease to grow deep down them, at the dishonour of having not overpowered the fortitude for playing in a such rush, are stimulating their, somewhat, lying dormant thought, are, with certainty, the careful ones. Far away from the rumblings of the places of tumults, the rudimentary and sly gobblers, getting fit on poor clothes lashed with meshs, as soon as the dew of blood is making their nose scratchy, that had only their sponging hands, that are panning out the things like unprecious stones, displays, without value, and, crafts of crowning, littering the soil, in the deepest night, had never ever the shame of putting their nose on  these affairs, that going beyond their own understanding of the things. And, one day has finally come, when, one of the gobblers, great thinker of the unification,  indeed, glutton among  the gluttons, licking his lips, as if the hungriness healing the wounds of the soul, facing the truculence for these capital, rare, dishes, offering a strength of mind, under the spur of the fire, that was, once, quenched, had foreboded this great day, when, this clan of the patchworked field, has to rise above the other clans, till thinking with their head instead of their stomach, was pleased by this amazing moment till savouring, quickly, this revenge against the clans with creatures having one head above them, till forking, with these poor weapons, this bunch of hay, for drawing, in fine, the swath towards the road of the war. Despite the fact that his damasked boats and his socks, heating up in the sticky blood, are unconfortable, the young and beautiful gobbler, of wich the face is well disguising the color of the red, who does not seem to be ill ease, is doing, by unforeasble jumps, turmoils, at the refrain of these worlds, where, the law of the strongest reigns, in the taverns of the farthest confines, far away from the realm of the darkness, till being known notoriously among the chosen one, to be judged.

And, all of a sudden, after having warded off the violent hits of these lout and imposing creatures, using the perfidy and the trickiness for vamping the honest mercenaries, if they exist, in this lower world, the unlucky gobbler, carrying in his neck a mirific healing flask, within which luminous tears collected, by nymphs, flushing sumptuously round these underground waters, in making the joy of few admirers, throwing away small stones for doing bump and bump on the surface of the water, in order to catch a glimpse of this undescribable beauty, are doing dismissing acrobaties, in gripping tighly this flash of good wealth, as for escaping from these unsober ones, not prefering the water of the life. But, alas, at the bad about turns, the singular gobber, being always hounded down by silly creatures of disorder, burstling about transporting statues that everyone knows alive, was congrously asking surreptitiously to marchants, meandering ones, errants, and, by chance, few informers, during all this time, for obtaining some precious old tunes about the stones breakers, in knowing pertinently that the swirling plates of these traffics of all kind, are encrusted on the walls, while his siblings, being bed by well satiating dishes, are banging their heads against the walls, is deciding to protect his head with an helmet, shaping well his pricky ears, as for his consciousness is guiding well. Thenceforth, the hobgoblin, seen as a dwarf for these giants, is being strengthened till doing hazingly ordeals, with fancy, these unprepared siblings, having an unpoised hand, accustomed at safe gurading a lying dormant creature, that the hands fit gloves, and, that, at the turning moments, the muddlings of these few places, of these few confines, so numerous that the head is, sometimes, tousled, till seeing appear around their heads swirling birds, are finishing.

Les textes et les images ne sont pas libres de droit. Merci de cotnacter l'auteur. The texts and images are not free of right. Please contact the author.

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