Les mondes d'allégeance VII / The worlds of the allegiance VII

A cet instant de panique où la percée du féroce destructeur, aux yeux rouge sang, ayant cette vision hors paire, capable de cerner, dans l'obscurité totale, les pas mouvementés de ces créatures incarnadines, se revigorant avec le sang de ces bétails sacrifiés, provoque sauvagement des remous, dans ces confins, sans royaume, jusqu'à que des vaguelettes d'ennemies ourlent, puis, forment des digues contre les assauts vengeurs du terrifiant destructeur à la puissante corne, les castes éclaireurs, lapant, ayant été missionnés par la lumière, elle-même, pour expier, à tout jamais, les destructeurs non sevrables, dans les mondes de damnation, qui continuaient à faire leurs prédications afin d'éclairer les animaux de la lumière égarés, tels que les moutons, les brebis et les agneaux pavoisant, sans retenu, dans les clairières tamisées, dans cet ordre des choses, qui ont forgé leur esprit éclairé, rempilent pour ne guère enfiévrer davantage les royaumes sains, jusqu'à cet instant où des troupeaux de bêtes égarés sont sur le point d'être égorgés, écornés, brûlés, subissant, ainsi, les pires supplices et châtiments, jusqu'à souiller les pavés des terres de la lumière. Pendant que les éclabousses de sang continuent à faire des mares de sang, les apeurés prédicateurs, si la foi, qui grandit sereinement en eux, le permet, qui s'évertuent banalement à verdir ces terres souillées par le sang, font, quelques fois, de grandes contributions en pavant les chemins de ces éclaireurs. Malgré les égarements et les désemparements, la foi peut, quelques fois, vaciller, à cause des peurs.

Sur ces entrefaites, quelque part dans l'une des contrées lointaines, verdoyants, des terre-à-terre fondeurs lancés à rendre fertile leurs terres en jachère, dont la fertilisation des terres n'avait guère de secret, jusqu'à ce jour, où, les lierres grimpantes s'enracinent dans leur contrée pour arracher ce secret d'antan, rebattent, dans des rets, des pierres factices, parmi lesquels se trouvent de véritables pierres de pouvoir, faisant jaillir des éclats précieux, à peine, distinguables, qu'ils sont volés par l’œil pétillant de ces gourmands fondeurs, jusqu'à cet instant de lucres, où, l'ivresse du monde abritant une divinité de la nature, qui enivre, exalte, les sens, offre, quelques fois, de nouveaux instants divins, aux papillotements de ces mondes endormis.   

At this panic stricken moment when the breakthough of the ferocious destroyer, with red bright eyes, having this uncomparable vision, capable of track down, in the total darkness, the agitated footsteps of incarnat creatures, reinvigorating themselves with the blood of these sacrificed beasts, is wildly provoking tumults, in these confines, without realm, till making bump small waves of enemies, that form barriers against the revengeful assaults of the terrifying destroyer with a fierce horn, the caste enlighteners, lapping, having been entrusted with the light itself for expiating, for the nevermore, the unhealable destroyers, in expelling them, pushing them into the worlds of the damnation, that were keeping going to do predications in order to light up the steeped aside animals of the light, such as the sheeps and the lambs, moving, without notch, in the dimmed edges, in this order of the things, that have forged their enlightened mind, are again doing their utmost for not making, even more, the hallowed realms, feverish, until this moment when herds of misled beasts are about to be gored, slayed, scorched, in, so, suffering the worst punishments, till sullying the pavements of the lands of the light. Whereas the outbursts of blood are doing bloodsheds, the scared predicating ones, if the faith, that grows serenely in them, permit it, that are modestly plodding on with the cause of evergreening these lands sullied by the blood, are doing, sometimes, great contributions in paving the way of these pathfinders. In spite of the steeping aside and the faints, the faith can vacilate, sometimes, because of fears.

At the meanwhile, somewhere in one of the far away lands, evergreening, cumbent foundrymen leashed for making their soils in decay fertile, of which the evergreening of the lands had no secret until this day, when gripping ivies are rooting down on their land for grabbing this secret from the erst, are paning, in nets, out factitious stones, among which true powerstones lie in, in making gush out precious sparkles are, so hardly, distinguishable, that they are stolen by the sparkling eye of these greedy foundrymen, until this moment of lucre, when, the welcome of the world embowing a divinity of the nature, that is exalating the senses, is offering sometimes new divine moments, at the fluttering of these lying dormant worlds.

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