Les myrmidons II / The myrmidons II

Bien qu'ils se sentent à l'étroit, dans ces rétrécis couloirs souterrains, s'étendant jusqu'à perte de vue, les malins passeurs de propitiation, languidés, dont les oreilles pointues, saisissant les moindres bruits, traînent, lancinent, derrière ces rocailleux rochers, en retirant de la débandade quelques innocents, jusqu'à claquemurer les effrontés, aux gambes fuyards, s'ils estiment que le secret volé, concernant les coteries, est en péril, ne se targuaient guère d'avoir voisé les voix caverneuses et rauques de ces êtres maléfiques, enclines au mal, se murent, dans le silence, totalement subjugués par les claquements des bouches des dionées, jusqu'à redécouvrir ces natures somnolentes, en imaginant un monde, encore, plus vaste.

Pendant que les affairements de ces petits colporteurs de nouvelles, de paniques semblent, encore, être amples, malgré la course infernale du sang, à travers les veines des mondes souterrains, qui jugulent toutes les circulations, à l'exception de ces petites passe-partouts, dépassant modestement leurs habituelles et investies missions, dévoués à l'intérêt des clans, pouvant, à la lumière des nouvelles, changer, durant cette période charnière, le sort des batailles, jusqu'à ces instants de torpeur, où, les enfers font des avances, jusqu'à que ces toutes petites loges du silence, comme hors du temps, ne deviennent malencontreusement les trouvailles de ces ogres bourreaux, ces assassins, ces avaleurs, ces chasseurs, et, ces diables, qui ont pour mission d'écarter les côtes saillantes des mondes souterrains, comme pour mettre le doigt sur ces lieux de clandestinité, désépinglables, les purulents paladins, fiers de lance, et, foudre de guerre, mais, tels des prisonniers des fers incapables, qui dévisagent, avec un haine dévorante leurs visages boursouflants, chauffant aux feux des enfers, les visages de ces assassins, de ces extorqueurs, aux rides prononcées, semblables à ceux de ces outrecuidants et guère mortels émissaires, sans sapience, enfin presque, ayant, il y a déjà bien longtemps, fait la sordide sédition, aux conséquences désastreuses, coupable de la fin de l'état de droit, perdent leur nerfs lorsque la fortune s'offre à eux, d'une manière surprenante. Au même moment, tandis que les queues des salamandres, qui fouettent, de telle manière que le foin est échevelé, puis, éparpillé, jusqu'à brouiller, à tout jamais, les andains, ne permettant plus de reconnaître, ainsi, ni lieu, ni monstre des lieux, et, ni maître des monstres, les révocateurs paladins, fiers à combattre ces hordes de monstres défigurés, qui redoutaient, plus que jamais, ces redoutables synarchies, représentant les abreuvoirs des seins maléfiques pour perpétrer leur descendance, nombrent, avec, quelques fois, sans rien cacher, de la résilience, leurs chances de s'en sortir sains et saufs de ce bourbier infernal, jusqu'à cet instant de guise,  où, tout prend forme, jusqu'à révéler, à la lumière du feu rougeoyant, qui rougeoie tous les visages, même, ceux dont le visage, appartenant à celui, qui est connu des dieux, languisseront, jusqu'à dernier moment, pour renverser ces braises incandescentes, jusqu'à que leur expédition punitive, dans le monde des enfers, fasse une de ces légendes des lieux. 

Mais, pour l'instant, la trêve doit continuer comme si le monde ombilique offrait les plus grands combattants de tout l'univers, et, cela, le grand protecteur des dragons, et, la constellation de dissonants, à la protection d'un des fils des ténèbres, aux sangs mêlés, ayant les pressentiments que la croisée des mondes pousse à la guerre cosmique, ne l'ignorent guère, jusqu'à mander des commodores à la recherche de ce fabuleux char tenu par des éclairs agrippants. Sur ces aventures, le grand protecteur des dragons, draconien, dont la renommée a été gagné, grâce à ce voyage chimérique, durant lequel, il faisait allégeance au sein saurien, pour ces remèdes revigorants, de régénération et d'incarnation, qui lui vaille cette immortalité d'âme, dont l'âme sied un corps d'homme et de dragon, est dithyrambe sur les efforts séculaires de ces dragons, ces lézards, aux sangs froids en glanant à tous, la puissance de la foudre de ce combattant issu d'une immanence. A peine la créature mi-homme, mi-dragon ait remis sa confiance à son digne meneur de guerre, réincarné, au cœur déchiré, mais, qui guérit mal, à travers les âges, s'il pouvait entendre sa peine, ou, même, les battements de son cœur, ayant gardé son esprit, les égrènements de la lumière verte reprennent en repoussant tous les assaillants, jusqu'à faire espérer, à nouveau, l'ancien seigneur des dragons, durant l'ère des dragons, qu'ils peuvent regagner la citadelle perdue, tombale.           

Despite the fact that they are feeling cooped up in these dwarfed underground stretching endlessly as far as the eye can see, the malicious sliders of propitiation, of which the pricky ears, catching the slightest noises, are lingering, behind these craggy rocks, in taking out from the disbandment few innocent ones, till trapping the harsh ones, with running legs, if they estimate that the stolen secret of clannishness, is in peril, were not rumbling about the fact of having rending the cavernous and rocky voices of these mischievous beings, prone to evil, louder, are being muffled, totally subjugated by the clappins of the mouths of the dionaeas till discovering again these lying dormant natures, in imagining a world, even, greater. 

Whereas the businesses of these small newsmongers, panicmongers, seem to be resumed again, in spite of the infernal course of the blood, across the veins of the underworlds, that jugulates all the circulations, excepting these small voyagers, in overexceeding, with modesty, their clannish usual and entrusted missions, that can, to the light of the news, change, during this turning period, the tide of the battles, until these moments of turmoil, where, the hells do ogling, till that these very small lodges of silence, as being out from the timespace, are unfortunately becoming the discoveries of these tormentor giants, these assassins, these swallowers, thesehunters, and these devils, that have the mission to ripe away the edge ribs of the underworlds, as for putting the finger on these places of clandestinity, that can be unspangled, the rash paladins, proud to fierce, and, warmonger, but, such as uncapable prisoners of the irons, that are staring, with an hatred devouring their swollening faces, heating up at the hell's fires, at the faces of these assassins and these vamping ones, with deep riddles, akin to the ones of these impudent and not mortal emissaries, without wisdom, almost then, having, in the olden days, done the unshrinking sedition, with disastrous consequences, guileful for the end of the established state, are losing their tempers while the fortune is offering to them, in an unexpected way. At the meanwhile, while the tails of the salamander, that are wagging in a such way that the hay is ruffled up, then, dispersed, till darkening, for the nervemore, the swathes, in not permitting to recognized neither the place, neither the monster of the places, and, neither master of monsters, the revoking paladins, eagers to combat these hordes of unconventional faced monsters, that fears, more than ever, these dreadful synarches, representating the nurturing places of the malefic ships for make grow their clans, are numbering, with sometimes, without not hiding anything the resillience, their chances of getting rid of this infernal quagmire, until this moment of guise, when, everything takes shape, till revealing, to the light of the reddening fire, that damasks all the faces, even, the face, such as the ones of which the face, belonging to the one, who is well known by the gods, will lingering, up to this last moment, for toppling over these incandescent embers, for that their punishing excursion, into the world of the hells, be one of these legends of places.               

But, for the moment, the truce has to continue as if the ombilic world offers the greatest warriors of the whole universe, and, that, the grand protector of the dragons, Long, and, the constellation of dissonants, dubbing for protecting one of the sons of the darkness, with miwed bloods, having the prescience that the encompassing of the worlds is pushing to the war, are not ignoring it, till requesting commodores to seek for this fabulous vessel held by gripping lightnings. On these adventures, the great protector of the dragons, draconian, of which the notorious life has been gained, thanks to this chimerical journey, during which, he gave allegiance to the saurian ship,  for these reinvigorating remedies of regeneration and of embodiement, that is worth to this immortality of soul, of which the soul is espousing a body of man and a body of dragon, is dithyramb on the secular efforts of these dragons, these lizards, with cold bloods in brawling at everyone the puissance of the strike of this combatant issuing from an immanence. As soon as the half man half dragon creature, has invictouously dubbed again his warleader, reincarnated, with a heartrending heart, but, not healing well, through the ages, if he can hear his pain, or even, his heartbeatings, in having kept his spirit, the dotted lines of evergreening lights are being resumed in repeling all the  opponents, till making hope again the ancient lord of the dragons, during the era of the dragons, that they can gain back this entombed, lost, citadel.          

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