La forteresse noire II / The black fortress II

Bien que les intrépides membres de l'Unité aient ployé devant la résurgence des armées souterraines, les hordes de destructeurs et les meutes de chiens infernaux, cette fois-ci, l'ingénieur, aux exploits mitigés, Mota, dont les idées captieuses, qui s'empressaient à faire avancer la cause de la guerre, de manière fallacieuse, selon quelques réfractaires, découragés par ce destin accablant, finissent à servir réellement cette bataille qui se profile, rallie, malgré les dissensions toujours existantes, cette horde vaillante de dragons du monde souterrain, à leur vaine cause, en les requérant exceptionnellement pour faire un exploit, de faire voler un terrible oiseau de feu, dans les ciels à éclairer, jusqu'à atteindre les hauts parages, où, une armée souterraine, composée de chasseurs velléitaires, utilisant l’œil du lynx, animal de flaire, et, de compagnonnage, pour que ces torrides frayeurs les fassent battre en retraite, sous les yeux intrusifs des déités.

Pendant que l'élaboration secrète de ce terrible oiseau de feu, ayant une pièce d'étoffe inflammable, imbibé de substance phénique, pouvant éclairer les nuits les plus sombres et les plus profondes, présidant, ainsi, les oiseaux des nuits, doit prouver sa grandeur, aux défaitistes combattants des ciels, arrachant peu de victoire dans les ciels enténébrés, dont la participation insidieuse des combattants des ciels, au mépris du terrifiant seigneur de feu, mettant feu aux ossements gigantesques comme pour délimiter les frontières de ces terres de feu lui appartenant, dorénavant, ne passe guerre inaperçu, le grand protecteur de la lumière, Parangon, qui éclairait les sorgues, à la torche de flamme, et, au brandon, s'en remet au destin, quelque peu, forcé par ces hommes de commun. C'est alors qu'il devine, avec prodigalité, de ce qu'il adviendra, sous peu.

Parangon: Des yeux du Lynx apparaîtront, non pas des sphinx, mais, un Phénix !

Au même moment, l'imposture de Mota, qui aurait bien besoin d'un de ces combattants des ciels, sans paraisse, pour aiguillonner cet oiseau articulable, aussi grand que monstrueux, semble s'estomper jusqu'à rendre indispensable. Et, soudain, lorsque les éclairs vont grésiller les tonnerres, Mota sait qu'il doit escamoter ce prémonitoire façonné par la nature rageuse, où, les prémonitions surviennent, enfin, si l'éminent élanceur d'éclairs, comme l'avait fait croire ce dragon royal, aux regards pétillants, et, rempli de bonnes intentions, lui accorde ces instants, à la gloire de leur alliance. Devant ce spectacle de tonnerre et de sang, il vaille bien qu'il se prosterne, au pinacle, comme pour allouer ses forces, qu'il soit divinité, monstre ou autre chose.

Ylo : Le subterfuge peut fonctionner si l'illusion parfaite ne les fait voir que du feu.

Mota : En foudroyant cet oiseau, en plein vol, on peut gagner les ciel !

Although the implacable members of the Unity have ployed in front of the resurgence of the underground armies, the hordes of destroyers and the packs of infernal dogs, this time, the engineering one, with mitigated prowesses, Mota, of which the captious ideas, that were plodding on with the cause of the war, in a fallacious way, in accordance with few ambushed ones, heartening down by this dooming destiny, are finally serving this battle that is profiled, is rallying, in spite of the existing yet dissensions, this brave horde of the dragons of the underworld to their vain cause, in asking exceptionnally them for doing a prowess, for making fly a terrible fire bird, in the skies, to be lighted up, till reaching the high whereabouts, where, an underground army, compounded with wrathful hunters, using the eye of the lynx, animal of instinct, and, of guardianship, for that these fiery scares are making them withdraw, under the hatching eyes of the deities.

While the eleboration of this terrible fire bird, having an inflammable roll of materials, soaked with phenic substances, that can light up the darkest and the deepest nights, in, so, presiding the birds of the nights, has to prove its greatness, to these struggling combatants of the skies, having less victory, in the darkened skies, of which the inveigling participation of the combatants of the skies, in contempt of the terrible firelord of the fire army, igniting bone fires, of gigantic bones, as for bordering with frontiers these fire lands belonging, from the times forth, to him, is not something elusive, the grand protector of the light, Paragon, who lighted up the nights, with a fire torch, and, with a brand,  is giving way to the destinies, somewhat, forced by these men of commonalty. It's then that he is guessing, with prodigality,  what is going to happen, sooner.

Paragon : From the eye of the lynx will appear, not sphynx, but a pheonix !

At the meanwhile, the fallacious impersonating role of Mota, that would have needed to one of these combatants of skies, without peer, for orientating this articulating bird, as big as humongous, seems to fade away till making him unavoidable. And, sudden, while the lightnings are making the thunder crackle, Mota is knowing that must climb this hill, forged by the raging nature, where, the forebodings come, indeed, if the eminent dasher of lightnings, as Gondwana, with sparkling eyes, and, filld with good intentions, had make him believe, is pleasing him with these granted moments, at the glory of their alliance, in front of this thunder-and-blood spectacle, it bestows that he is pledging, at the pinnacle, as for borrowing his forces whether it is a divinity, a monster and another thing.

Ylo : The trick can work if the perfect illusion can make them see only fires.

Mota : In striking down with lightnings bows, this bird, we can win the skies !

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