L'ermite I / The loner I

Au même moment, malgré les orgues du mal, aux échos tonitruants, se propageant jusqu'à ces ciels cuivrés, rabaissent les nuages moutonneux et orageux jusqu'à toucher les tours impressionnants de ce fort et ses fortins, les mélopées des sirènes, à peine distinguables, à l'intérieur de ces douves fangeux, courant en dessous de ces somptueux pont-levis, où, grelottent des soldats frissonnant de peurs, dans le dorénavant brumisé dôme des dames, raffermit la foi de ces filibustiers, tels des lanciers fier à éperonner tout ce qui fait obstruction au roi et sa cour, qui ergotent, sans cesse, pour s'entremettre avec ces âmes voguantes, misant sur ces trouées boueuses, à l'intérieur desquelles des rampeurs de tombe et de sable, tels des tritons, pataugeant dans ces fanges putrescentes, infestées par des germes nocives pour le maintien de l'équilibre dans ce microcosme, ressemblant à un damier, où, les pions avancent, à chaque coup joué par l'ennemi, pour qu'un léviathan, telle une créature mythique, surgisse des eaux les plus profondes.  

Tandis que l'ordonnanceur improviste, pris à son propre jeu, est dépassé par les entrains, qui se poursuivent, de manière incontrôlable, jusqu'à rendre obsolète ses actions, à repousser dilatoirement, dans le temps, si la fatuité de ces créatures préservant, avant tout, leur écosystème, était davantage éclairante, durant ces temps sombres, s'imprègne de ce regain de vie, dans les eaux basses, et, les mortes-eaux, en languissant, dans la pénombre éclaireuse, le désordre règne, dans les places de guerre, réduites, vouées à la grenaison de véritable champs de bataille, et, de la mort, à la grandeur de ces seigneurs de guerre mégalomaniaques, comme si le chaos avait gagné ces premières heures. Bien que le bâtiment de guerre des dragons du monde souterrain, dans lequel les lances sont préférées aux carquois, aux flèches et aux arcs, que les commodores, les lézards iroquois, à la crête splendide, et, les dragons cracheurs de feux, n'abhorrent guère, contrairement à ces pourtant finauds archanges, et, ces pourtant intrépides séraphines, qui sont transpercées, de part en part, dans les brousses, ne soit qu'un refuge parmi tant d'autres, pour Mota et ses acolytes, Gondwana et les dragons consulaires, ces trognons, et, puis, un caméléon hagardi par les enjeux de la guerre, charroyés telles des cargaisons dangereuses, dont les fatras d'ignorance ne peuvent être comblés par un seul voyage, ce qui s'avérera être la dernière lanterne, illuminant le trainement de cette sorgue. Dans les moments, qui suivent leur entrée, dans le bâtiment de guerre, fait de tôles, corrodé par les eaux troubles, les cogitements du dragon, à l'air insignifiant, toujours à la recherche de remèdes, pour de telles fièvres basales, pointant aux fronts, rend nerveux ceux qui l'accompagnent pour des raisons inquiétantes. La tension est à son paroxysme lorsque Mota, qui est également embrouillé dans ses idées, à cause, certainement, de ces vents propagateurs de fléaux, délie, sans cordialité, la langue de ce dragon, aux couleurs éternelles, qui s'affadissent étrangement.

At the same moment, despite the fact that the organs of the evil, with booming echoes, widespreading till these skies turned crimson, are lowering the fleecy and orageous clouds, till touching the impressive towers of this fortress and its small fortresses, the false chantings of the mermaids, so hardly distinguable, inside these muddy flows, running beneath these sumptuous bridges, where, soldiers quivering of fears are freezing, in the, from the times forth, hazed dome of the ladies, is strengthening the faith of these powerfully armoured ones, such as spear throwers eager to slay everyone that do obstruction to the king and his feal ones, that are arguing, without cease, for dealing with these sailing souls, bidding on these muddy sinks, inside which crawlers of the tombs and the sand, such as tritons, weltering in these putrescent muds, infected by the bad germs for the standby of the balance within this microcosm, akin to a chessmate, where, the pawns advance, at each hit played by the enemy, for that a leviathan, such as mythical creature, surges from the deepest waters. 

Whereas the anticipating orderer, caught in his own game, is surpassed by the unravellings, that are pursuing, in an uncontrollable way, till making his actions, to be postponed dilatorily, over the time, if the self conceit of these creatures preserving, before whilst, their ecosystem, was more enlightening, during these dark moments, is impregnating with this outburst of life, in the shallow waters, and, the neaps, in lingering in the enlightening twilight, the disorder is reigning over the warplaces, reduced, fated to the seeding of the true field of battle and of death, to the greatness of the megalomaniac warlords, as if the chaos had won those first hours. Although the war building of the dragons of the underworld, in which the spears are prefered to the shealths, the arrows, and the arks, that the commodores, the splendid crowned lizards, and, the fire spitting out dragons, do not vituperate, contrary to these aforementionned sly archangels, and these aforementionned cunny seraphims, that are transpierced, from part to part, in the whereabouts, is just a shelter, amongst many, for Mota and his acolytes, Gondwana and the consular dragons, these runts and, then, a chameleon, haggard because of the stakes of the war, transported such as hazardous goods, of which the ignorances can not be palliated by one single trip, what is going to be the last lantern, illuminated the trainment of this night.  In the moments that follow their entry into the war building, made of steels, corroded by the troubled waters, the thinkings of the looking alike unsignificating dragon, still in the search of remedies, for such basal fevers, pointint out on the foreheads, is making nervous the ones, that accompany him for worrying reasons. The tension is at its peak while Mota, who has also a mumbled mind, because, certaintly to these winds spreading the scourge, is loosening, without cordiality, the tongue of this dragon, with eternal colors, that are oddly fading away.  

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