L'ermite III / The loner III

Mais, les périls mortels se haussent dramatiquement pour les dévoués dragons du monde souterrain, ayant toujours conservés, malgré les écueils, une dévotion intacte envers leurs protuteurs, lorsque les armées démoniaques provenant des autres confins obscurs, répondant, avec hâte, à l'appel des chefs d'attroupement, perturbant l'équilibre naturel de ces harems à l'intérieur desquels des animaux lacustres avaient fondé incroyablement des colonies, tout autour des plinthes de ces colonnes rocheuses, avaient la ferme intention d'en découdre avec ces envahisseurs, écumant leurs mondes obscurs. 

Sur ces entrefaites, sur l'escarpement de cette route s'inclinant vers cet impressionnant bâtiment de guerre des dragons du monde souterrain, rouillant à cause de l'eau ferrée, le narcissique dragon royal, qui ne se tenait qu'à son quant-à-soi, tel un orgueilleux héritier de la terre reine des dragons, où, des myriades de gisements de pierres de pouvoir, aux reflets verts, profite de cet exutoire, bien que d'éphémère langueur, dans lequel ses lointaines peurs et angoisses ressurgissent de la pire des manières, jusqu'à exulter, dont l'excès de force, forçant au dépassement de soi, jusqu'au point, où cette incontrôlabilité de force résurgente, puisée dans les ténèbres, pour exorciser son être, jusqu'à libérer les démons sommeillant en lui, le laisse giser, jusqu'à l'épuisement de toutes ses forces, jusqu'à cet instant de conscience de soi, qui frappe ces manieurs des pouvoirs des ténèbres, où, la maîtrise de la force n'est guère une vaine épreuve, mais, un engagement, telle une profession de foi, une foi absolue en eux-même, une certitude qu'ils vainquent, par leur force d'esprit, pour maitriser cette force incontrôlable, s'ouvre à son monde, qui lui est promis à lui et à ces combattants taillés au combat, où, l'ordonnanceur, quintant, embrasant, sans maîtrise absolue, les pouvoirs des ténèbres, une fois, libérés, se déchaîneront, comme jamais auparavant, sur les terres d'entre deux, n'offrant guère de retour en arrière possible. Et, cela, l'ordonnanceur improviste, le sait pertinemment, lorsque l'horizon se dégage éphémèrement, jusqu'à laisser apparaître le pic de cette montagne de la destruction, se hissant au-dessus des autres sommets de ce monde. Sur le promontoire, rasé par les jets d'éclairs, l'invocateur des monstres, Ylo, étrésillonnant tous les sillons, à travers les contrées, égrenées, quelques fois, de lumières variées, qui pèse le poids de cette armée souterraine de dragons, maintenant cette extraterritorialité sur ces terres, parcheminant un sillon, contraire à ses desseins, sait que quelque chose cloche.    

Au même moment, sur l'une des collines engourdies par le froid, l'ancien protuteur du dragon insignifiant, affranchi, Parangon et son comparse, qui dépeignent une situation envenimeuse pour les intendants de ces lieutenances, entrain de tomber dans l'escarcelle des destructeurs, vont à l'encontre de ces bouffons paltoquets, ayant avenus la venue des gobelins, mené par ce farfadet finaud, à ces moments de foi, où, un nuage orageux, se dégorgeant de tous ses éclairs, déclenche les foudres des dieux armateurs, faisant fi aux hommes, tonnant pour que cette créature d'usitée puissante, dont l'esprit est, encore, obnubilé par cette cabale, dont les épaules se haussent, soit armaturée, de manière contraignante, ainsi qu'il est représenté comme une contrainte des dieux, tandis que le gobelin unificateur, guidant une troupe de gobeurs, semble avoir les apprêts nécessaires pour combattre.   

But, the mortal perils are dramatically increasing for the fellow dragons of the underworld, having still kept, in spite of the obstacles, a untouched devotion towards their active guardians, while the demoniacal armies from the other confines coming from the dark confines, answering to the call of the ringleaders, disturbing the natural equilibrium of these harems inside which lacustrine animals had incredibly settled down colonies, all around the plinths of these rocky columns, had the firm intention to fight against these invaders, destroying their obscur worlds.   

At the meanwhile, in the escarpment of this road shelving down this impressive war building of the dragons of the underworld, reddening because of the iron water, the narcissist crown dragon, who was focused on himself, such as a proud heir of the kingfield of the dragons, where, plenty of deposits of powerstones, with green gleams, is taking advantage of this exulting place, although that is of ephemeral languid, in which his distant fears and anguishes are springing in the worst manners, till exulting, of which the excess of force, forcing to surpass his self, until the nerve-racking moment, when this uncontrollability of surging force, dragging from the darkness, for exorcising his being, till unleashing the demons lying dormant in himself, is letting him empty, to the very exhaustion of his strenghts, until this moment of self consciousness, that overburdens the handlers of the dark powers, when, the empowering of the strength is not a vain spur, but, a commitment, such as a profession of faith, an absolute faith into themselves, a certainty that they vanquish, by force of mind, for controlling over this uncontrollable force, is opening to his world, that is fitting him and these combatants fated to the combat, where, the orderer, coughing, embracing, without absolute control, the powers of the darkness, once unleashed, that will go off rampage, as never before, on the land caught in between, in not offering none possible way back. And that, the rash orderer, knows it pertinently while the horizon is ephemerally cleared off till letting appear the peak of this mountain of the destruction, hoisting itself up above the other peaks of this world. On the hill mopped down by the slices of lightnings, the invoking one of the monsters, Ylo, gazing upon all the furrows, across the lands, dotted, sometimes, by variegated lights, who is poising the weight of this underground army of the dragons, keeping this extra territoriality on these lands, plodding a path, contrary to his plans, is knowing that something is afoot.   

At the meantime, on one of the hills mumbed by the cold, the ancient guardian of the unsignificant dragon, freed, Paragon and his acolyte, that are depicting a envenoming situation for the attendees of these lieutenancies, befalling into the trap of the destroyers, are going to meet these lout buffoons, having condused to the coming of the goblins, led by a sly hobgoblin, at these moments of faith, a thunderstorm cloud disgorging  itself from all his lightnings, is unleashing the thunders of the armouring gods, trusting by fear the men, thundering for that this creature of powerful usefulness, of which the mind is still obessed by this escape, of which the shoulders are getting higher, is being armoured, in a constreint way, so that he is represented such as one constreint for the gods, whilst the unifier goblin, guiding a host of goblins, seem to have the preparations enough for fighting.

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