Les mécatronciens VI / The mecatroncians VI

Bien que les varappeurs philistines, engourdis bigrement par le froid, dont les fronts, harcelés par le froid, dégoulinent étrangement de sueurs froides, qui sont épongées de telle sorte que leurs effusions émanantes de cette vapeur d'eau, recelant des substances corporelles, ne soient guère décelées par les flaires de ces rôdeurs, lestent, enfin, leur faix, ayant pesé si longtemps, de leurs épaules en entourant, ces entours d'une guirlande givrée, ceignant le pays des borgnes, qui s'avéreraient être les gardiens de cet antre oublié des cyclopéens, le poids de l'ogre reposant, paisiblement dans la stèle de glace, dont la vue subreptice fait pencher les badauds, les errants et les vagabonds, flanqués sur ce côté de cette montagne de l'ignorance, où, leur ignorance est une gageuse suffisante pour les dominer, vers du côté de ces captureurs de bêtes, alourdit le camp des vitriers.

Pendant ce temps, dans les coursives principales des mondes souterrains, tout le long desquelles des saignées, creusées par des calots de diables, puis, empruntées par des passeurs discrets et roués, ouvrent de nouvelles perspectives de voyage, vers d'autres confins inexplorés, à ceux dont le regard pousse, quelques fois, les murs ensorcelés, la harde de gobeurs perspicaces, unifiés par ce farfadet, au visage délicat, lancé à la hâte de ces devanciers, forme, dorénavant, un contingent non négligeable pour la tenante guerre, qui erasce les esprits courroucés de ces féaux, toujours, endoloris par ces tentatives régicidaires, rompant, tranchant avec les fastes de ces couronnements et de ces festoiements. Ne ravalant guère sa fierté, face aux nombreux écueils, qu'il l'attendait lui et son bataillon, le farfadet a prouvé qu'il était l'un de ces élus, fantasmagoriquement représenté tel un libérateur des peuples, voué à vivre éternellement, dans les mémoires, malgré qu'elles soient insipides, s'affadissant, se délictant, aussi vite que le requiem de la mort, accentuant les peurs surgissant de l'obscurité, est le cadencier de leurs pas. Mais, les endurants gobeurs, qui égrènent parcimonieusement des lumières, toujours plus, vertes, durant leurs pérégrinations moribondes, à travers les chemins bourrées de trouvasses, tout le long de l'échine du dragon, jusqu'à espérer de rejoindre, d'avant la bataille rangée, les terres s'hérissant de pics de glace, et s’accolant aux lèvres gercées des nuages ombrageux, subissant une épouvantable vague de froid, détraquant le climat, se rangent, tous, derrière ce gobelin, le médaillé des fouilles, parce qu'il possède l'arme sacerdotale. Alors que le bout de chemin pentu s'avère encore difficilement, à gravir, le paltoquet farfadet, ayant ce pressentiment juste que quelque chose cloche, comme si les pierres mirifiques, sur lesquelles comptent tout un peuple, dévouées à sertir, ces armes de pouvoir, jusant quelques crachats de lumière, viendraient à manquer, jusqu'à révéler une affreuse pénurie de pierres de pouvoir, à venir, nombre, encore, des impréparations à la guerre, pouvant arrêter leurs courses infignolées, à n'importe quel effroyable moment, comme si un ordonnanceur devait être désigné, sans tarder, dans la torpeur de ces moments insurmontables, qui aurait la mission de hisser, le voile au mât, de ce navire de guerre, devait se tenir prêt à les orienter, quoi qu'il advienne, jusqu'au levée des lueurs de lumière, à l'horizon. C'est que ce peuple, malgré leur esprits, aux idées s'éclaircissant, curieusement, au fur et à mesure que les hommes cèdent, devant l'obscurité, soient tel un rempart contre les démons, d'une plus sombre nature, est né durant de ténébreuse sorgue.

Et tout d'un coup, quelque part dans les ciels enténébrés, le tonnerre, qui gronde, rassérène l'esprit du combattant volant, contre les voletants. Bien qu'il soit conscient de toutes ces choses, le magistral élu des dragons, né d'un ciel éclaireux, plus précisément, d'un nuage parcouru subtilement d'éclair surgissant, à la guidance des peuples des mondes souterrains, dans ces autrefois naissantes obscurités des ciels, qui s'éternisent, fait preuve de candeur.

Whereas the uncultured climbers mumbed impressively by the cold, of which the foreheads, harassed by the cold, are oddly filled with cold sweats, that are sponged in a such way that the effluviums emanating from this vapor of water enclosing bodies substances, are not found by the smells of these prowlers, are ballasted, in fine, their burden, having poised, so longly, on their shoulders in surrounding, these rounds with a rope ornated with frostbites, surrounding the land of the borganted ones, that would prove to be the guardians of this forgotten den of the cyclopeans, the weight of the giant remaining peacefully in the ice stele, of which the surreptitious sight is doing bend down the oglers, errands, and, vagabonds, teeming on this side of the mountain of the ignorance, where, their ignorance is a enough bait for dominating them, to the side of these capturers of beasts, is weighing the side of the glazers.

Between-whiles, in the main wings of the underworlds, all along which the bloodlines, dug by hosts of devils, then, taken by the discreet and sly sliders, are opening new way of faring forth, towards other unexplored confines, at the ones of which the gaze push, sometime, the enthralled walls, the herd of far seeing gobblers, unified by this hobgoblin, with a elfish face, eager to the haste of these predecessors, is forming, from the times forth, an unneglectable contingency for the holding war, that execrates the wrathful minds of these feal ones, still, stiffened by these regicidal attempts, breaking, with the superbs of these wealthinesses and these beamingfulnesses. In not swallowing again his proud, facing the numerous obstacles that do not spare him and his batallion, the hobgoblin has proved to be one of these chosen ones, phantasmagorically represented such as a liberator of the peoples, fated to liveth eternally in thememories, despite the fact that they are insipid, in fading away, in being erased, as fast as the requim of the death, accentuating the fears surging from the darkness, is fast-pacing their pace, But, the lasting gobblers, that are parsimoniously seeding evergreener lights, across the wings, during their moribundant journeys, across the paths full of pittfalls, all along the back of the dragon, till hoping to join, before the serried battle, the lands being hedged with ice peaks, and, being sticked to the crackling lips of the hollowed clouds, enduring a tremendous cold wave, in turning upside down the climate, are behind the goblin, the medal winner of the excavations, because he posseses the sacerdotal weapon. While the end of the pentious path is proved to be, again, hard to climb, the lout hobgoblin, having this just prescience that something is ringing wrongly, as if the mirific stones, on which all a people count on it, fated to ornate, these weapons of power, ebbing few spittings of light, would come to miss, till revealing a hard harbour of powerstones, is counting, again, unpreparings to the war, that can arrest, at any dreadful moments, their undepicted run, as if a orderer must to be designated, without delay, in the torpor of these unbearable moments, who woudl have the mission of heaving up the veil to the stick, of this warship, have to be ready to orientate them, whatever it takes, to the upspring of the beams of the light, over the horizon. It's that this clan, in spite their spirits, with ideas brightening up curiously as the men yield, facing the darkness, are such a ward against the demons, of a darkest nature, has been brought forth during dark night.

And all of a sudden, somewhere in the darkened skies, the thunder, that rumbles, is strengthening the mind of the flying combatant, facing the flying ones. Although he is conscious of all these things, the migistral chosen one of the dragons, born from a brigthening sky, more precisely, from a cloud run subtlely by surging lightnings, at the guiding of the clans of the underworlds, in these, in the olden times, nascent darknesses of the skies, that are everlasting, is showing sense of candour.

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