Les poussées des cornes VI / The horned spurts VI

Dans les mottes de terre déblayées, essouchées de toutes fleurs, où, les trognons mal pourvus, durant cet intermède, quelque peu, désagréable, au cours duquel les polissons, munis de leurs fourches, leurs faux, et leurs faucilles, qui recèpent, comme pour que les embaumements de ces fonges, qui empoisonnent leurs esprits, jusqu'à faire naître des hallucinations, déplacent des gravats, et, quelques fois, des morceaux d'épaves, s'arrêtent, carambolent hâtivement tout autour de ces gigantesques champignons ferlés, comme si les rancœurs, envers ces saccageurs doués aux truanderies, qui commencent bécilement à rancir, teintent toutes leurs actions, comme pour protéger leurs terres, les hameaux sont en marmelade.

Au même moment, dans les petits mondes luxuriants, pochetés dans des cavités souterraines, et, élancés vers les ciels, le clan des trognons, accoutumés aux facéties de la nature sauvage, qui isole, avec précision, les bacilles de ce fléau grandissant, par le truchement de leur roi barbu, tressé d'une couronne de lauriers, tel un poltron ayant que des rudiments de savoir, pour défendre ses royaumes cachés, papillotés, recouverts par des ramas de feuillages géants, et, dissimulé, dans les troncs d'arbres géants, qui affligent grands maux aux clans d'orques, d'ogres et de géants, misent, avec quelques fois, un résilient détachement à ces mondes, sur les clans, qui survivront à la grande guerre. Mais, hélas, les trognons ingambes, qui se planquent, le clair de leur temps, dans les ravins, en tressautant, aux moindres remous, jusqu'à se carapater, sont pourchassés par des bottes marchant, dans ces fanges. Sur fond de guerre parricide, le bouillonnement du clan des trognons ramoneurs, ramonant les cheminées naturelles des mondes souterrains, venant à la rescousse, à de leur chef de file, survient lors de cette trêve, où, les volcans ne grondent guère autant. Bien que le roi des trognons, orchestrant la nouvelle symphonie de couleurs, qui n'est autre que l'un de ces clochetants, soit affublé, jusqu'à que l'hébétement des troupes s'ensuit, après quelques fausses notes, les hosties dispersées de trognons, dont la virtuosité tient essentiellement de la patience, qui s'empressent à reconstituer, malgré que les entailles franches et les égrisements de pierres rendent possible toute reconstitution de l'impossible pour les hommes, les fragments, si infiniment petits, de pierres de pouvoir, à l'abri des regards indiscrets, servent, d'une manière inattendue, la guerre. Et cela, le dragon fantastique du monde souterrain, qui n'ignore guère plus les secrets de ces trognons, qui sont devenus des compagnons de guerre, à part, reconnait, maintenant, leurs ruseries, lorsque les émanations provenant de ces cheminées picotent son nez.                 

In the clods of lands, unpimpled of all flowers, where, the runts bad coated, during this interlude, somewhat, disgraceful, during which the childish ones, armed with their forky weapons, their broad bladed knifes, and the mopping down tools, that are slicing, as for that the embalments of these fungus, that are poisoning their minds, till making hallucinations real, are moving debris, and, sometimes, pieces of wrecks, are arresting, are crowding, with haste, all around these giant folded toads, as if the rancorous thoughts, towards these ransackers of misdeeds, that are righteously starting to rancid, are dimming their actions as for protecting their lands, the homes are into the swarms.  

At the same time, in the small florishing worlds, bagged into underground cavities, and, stretching out towards the skies, the clan of runts, accustomed to the facetious deeds of the wild nature, that are isolating, with accuracy, the seeds of this growing scourge, through the deed of their beared king with a crown of laurels, such as a pooch, having only thumb-to-rule knowledge, for defencing his hidden realms, shrouded, covered by piles of giant foliages, and, dissimulated, in the trunks of giants trees, that inflict big damages to the clans of orcs and giants, are betting, with an otherwordlly resillience, on the clans, that will survive, during this big war. But, alas, the sly runts, that are hidding, the clearest of their times, in the gaps, in jumping, at the slightest tremors, till running away, are being hounded down by boots walking, in these muds. On the background of a parracidal war, the boiling of a clan of chimney cleanser runts, cleansing the natural chimneys of the underground worlds, giving a helping hand to the ringleader, is occuring, during this truce, when, the volcanoes do not rumble so much. Although the king of the runts, orchestrating the new symphony of colors, who is no other than one of these ringing bell ones, is outnumbered, till condusing the troops to the silliness, after hearing few pitchy notes, the dispersed hosts of the runts, of which the virtuosity comes essentially from the patience, that are rushing to rebuild, in spite of the frank notches and the clutchings of the stones make all reconstitution of the impossible for the men, possible, the fragments, so infinitessimal small, of the powerstones, from the prying eyes, are serving, in an unexpected way, the war. And that, the fantastic dragon of the underworld, who is not ignoring anymore the secrets of the runts, that have become companions of war, apart, is acknowledging, now, their trickinesses, while the emantions comming from the chimneys are disturbing his nose.     

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