Une hostie de gorgons VI / A host of gorgons VI

Au commencement de cette ode à l'amour de longues souffrances, où, la néréide persuasive, qui avait galèfé, avec jactance, avant l'aube de l'âge de ces enfants bénis et maudits, les galères rocambolesques de ces miteux, de ces galériens, portant, sur leurs têtes, des mitres et des chapeaux, qui avaient, pourtant, maugréé les litanies et les fariboles en s'attachant à la légende de ce linceul, enrobant un nouveau divin, au bras indestructible, car ils portent, dans leur cœur, cet espoir victorieux, tel que l'héraut mésusant de ses pouvoirs de prestidigitation, prêchant, avec aisance, la bonne parole, au sein de cette communauté de fiers, jusqu'à avoir vu grandir l'enfant, qui deviendra un dieu potent, et serait porté, par des anges, jusqu'aux nues, ne pouvait guère y croire ces songes à propos d'enfants génies, qui détrôneraient, dans le cœur des hommes, les dieux tout-puissants, jusqu'à larmoyer infiniment, durant des âges, jusqu'à que les dieux, aux fronts rembrunis par les ténèbres, repoussant la fin des temps, devant ouïr ses pleurs, se penchent sur ce berceau.    

Mais, voilà, ces vieux jours, refaisant reparler d'eux, où, la sincérité du mage magnifique, provenu de l'oréade métallifère et perclus, dont les superlatives humbles et non niables des guérisseurs, ayant ânonné, avec une pincée d'agacement, l'alphabet de cette toute nouvelle science, que le mage ermite, à l'apparat gueux, qui l'avait sécularisée, jusqu'à être convié à restituer, au faîte de la gloire, le fruit bletti de ses recherches, au palladium, tel qu'il est étriquement présenté, par les badauds, comme le lieu sacré des armes éternelles, baigné invictorieusement par un faisceau de lumière, subissant les huées des savants préjugeant hâtivement de toutes complicités présomptives avec les dieux, pour avoir matérialisé l'impossible, ce bras mécanique, avait, en contigu, adjoint aux autres sciences fondamentales de la vie, comme une linéarité à ne jamais perdre, comme si la rouille désagrégeant progressivement les alliages métalliques, et, les métaux précieux, réputés notoirement comme étant non érodable, était une preuve certaine que le diable agissait, sous l'eau, a été récompensé pour avoir enrichi cette découverte sur cette matière, qui changera tout, jusqu'à acculer les diables et les dieux, tels des dissémineurs, en visant, ainsi, l'incurie des savants, constituent un soutien indéniable, lui donnant, ainsi, en échange de ces graces, un fils, est grande. Au fil de ces années, où, le souvenir du mage, évinçant opiniâtrement les mauvais songes, à propos d'un fils prodigue prédestiné à former une fabuleuse armée, par sa propre main, remonte à la surface, par saccade, jusqu'à précipiter ces jours de trêve vers une fin fatidique, que les yeux éraillés de la nymphe démoniaque, libérée de ses geôliers puniques, brandissant trident contre ces chevaux des mers, pour se jouer du destin, qui s'oppose jalousement à l'entrée contestée d'un homme, devenu dieu, dans le sein des seins, le mont des dieux, culminant à des sommets inatteignables, auscultent ce bras séculier, jusqu'à avouer avoir réussi, à travers le temps, à le mutiler, tout n'a guère changé, lorsque la nymphe démoniaque, serinant tel un oiseau de sinistre augure, et, divaguant, écrase les crânes incrustés sur ces portes du royaume des ombres, en brisant des ossements. 

La nymphe démoniaque : Ainsi, le fils roturier, subissant, à son tour, cette nouvelle ritournelle, a bien vieilli.  Jusqu'à que cet émérite combattant, ayant muri, reconnaisse qu'il a un fils, des bataillons flanqueront ces arpents parcourus, depuis le début de son voyage initiatique. 

Alors que les cris de la nymphomaniaque, de la nymphe damnée, protégée par une pléthore de sirènes, charmant, encore et toujours, le nourricier verseau, hantent toujours, ces oréades, l'ermite, ayant médité, si longtemps, bien qu'il soit un franc tireur, fait preuve d'une force d'esprit incroyable, jusqu'à que l'aliénation des esprits, entretenue par ces sirènes, soit une affaire conclue et révolue, pour ces assesseurs pour lesquels il avait donné sa confiance. Mais, hélas, les moments jalibéfèrés, par les dévots de la lumière, durant lesquels les embrigadés et les enrégimentés, qui doivent justifier, avec justesse, par l'intermède de moines, ces relations honteuses, au lieu de prouver qu'ils ont repressé leurs démons intérieurs, se libérant, à chaque fois que le plaisir charnel, d'avec des vampires cauteleux, paloches, extorquant les âmes sottes, sont victimes d'un ensorcellement, sont de pénibles sentences et châtiments, pour ces clochetants, dont les tintements des cloches sont étouffés par des mélopées des sirènes.  

At the beginning of this ode to love of the long sufferings, where, the persuasive nereid, who had profusely told long tales about the overrated mishaps of these dull ones and these galley slaves, carrying on their heads, mitres and hats, before the dawn of the age of these blessed and accursed children, that had accursed, indeed, the odd tales in clinging to the legend of this shroud, shrouding a new deity, with an indestrutible arm, because they carry, in their heart, this victorious hope, such as the herald, abusing from his illusioning powers, preaching easily the good speeches, within this fellowships of proud ones, till having seen grow the child, who will become a potent god, and, will be lifted up, by angels, to the skies, could not believe these omens about genius children, that will dethrone, in the heart of men, the almighty gods, till brimming her eyes over tears, through ages, till that the gods, with the foreheads darkened by the darkness, repeling the end of the times, are hanging over this craddle.       

But, there, these old days, resurging again and again, when the sincerity of the wondrous magus of the stiff joined oread with metal, of which the humble and non niable superlatives of the healers, having acknowledged, with a pinch of nerves, the alphabet of this all new science, that the hermit magus, with a indigent apparels, who had secularized it, till being conveyed to restitute, at the pinnacle of the glory, the sleepy fruit of his researches, at the palladium, such it is twistedly exposed, by the seers, as the sacred place of the eternal weapons, bathed non victoriously into a radiation of light, suffering from the howlings of the savants prejudging, with haste, of all next-to-kin accomplicities with the gods, for having materialized the impossible, this mechanic arm, had adjoinedly to the other fundamental sciences of the living, as a linearity to not loose, as if the corrosion of the metals, reknowned notoriously as being unerodible, was a certain proof that the devil was acting, underneath water, has been rewarded for having made the discovery, that will change everything, till dooming the devils and the gods, such as slayers, in, so, targeting the neglectedness of the savants, are constituting an undeniable help, in giving him, in exchange of these graces, a son, is great. As the times fly off, during all these ages, when, the memory of the magus, dodging rashly the bad omens, about a prodigal son predestinated to form a fabulous army, by his own hand, is resurging, by hits, till precipitating these days of truce to the fateful end, when, the bloodetched eyes of the demoniac nymph, unleashed from these punishing torturers, wielding trident against these sea horses, for playing with the destiny, who is, with  jealousy, opposing against the controversial entry of a man, became god, within the mount of the gods, surpassing all the peaks of the mountains, are glaring upon this secular arm, till avowing to have succesfully, through the ages, to rip off his arm, everything has not changed while the demoniac nymph, chanting such as a ill omen bird, and, being maddened, is crunching down the skulls embedded on these doors of the realm of the shadows, in breaking bones. 

The demoniac nymph : Thus, the son from the commonalty, suffering, the same old tune, has well been aged, Up to that moment, when the deserving combatant, having been matured, is recognizing his son, battelions will flock these crossed acres, ever since his initiatory journey. 

While the nymphomaniac screams of the damned nymph, protected by a plethora of mermaids, charming, again and again, the water bearer nurturer, are haunting these oreads, the hermit, having meditated, for a while, although he is a great one, is showing a strong and incredible mindset till that the alienation of the minds, sustained by the mermaids, are a concluded and over affair, for these fellow ones for which he has given them trust. But, alas, the moments vituperated by the devotees of the light, during which the enrolled ones, that must righteously justify, at the idle times, these shameful relations, instead of proving that they have repressed their inner demons, liberating at each times when the flesh pleasure, with sly vampires, entrapping the silly souls, are the victims of enthrallments, are painful punishments, for these ringing bell ones, of which the tinklings of bells are muffled by the false chanting of the mermaids.   

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