L'arbitrage de la guerre V / The arbitrament of the war V

Durant ces jours de festoiement et d'atermoiement, qui promeuvent maussadement les afflux incontrôlables de cohortes, à fortiori, cuirassés voire accoutrés pour la guerre, qui en a guère l'air, issues de toutes sectes, et, de tous sous clans maléfiques et de tous clans maléfiques, à cause des trépas, les discrets paladins trépignants aux moindres vindictes mal ficelées, qui s'apparentent à des demandes de rançons, à la place de véritables expéditions castratrices et punitives, pour laisser, un peu plus, incuber ces enfièvrables, qui n'avaient naguère dilacéré ces cuirasses, interdites à la dissection, n'avaient guère chômé. 

Pendant que les bombardiers goupilleurs et godilleurs, qui ramassent, sur les champs minés, des lambeaux de chairs, des gangues, et des carapaces naturelles, aussi rigides que de la pierre, et, plus surprenamment, des gélatineuses découvertes, font, avec machisme, des incuries extrêmement gênantes, en n'assainissant guère, comme il est recommandé, ces mares de la fièvre, qui couve irrépressiblement ces hécatombes, les officines, coopérants à réduire l'endémie, dans lesquelles les agents technologiques, tiédis et complètement saugrenus, qui arpentent, avec frilosité, à travers les lieux d'assainissement et salinés, où, les bacilles de ces fameuses souches, renfermant les incurables maladies, à moins que les répresseurs des robots automédicants et les prescripteurs rigoristes, à la dictature de la rigueur, durant les périodes de contagion, ne lâchent du leste, sont près à rencontrer ces robots prévalents, ayant prélevés ces unicellulaires souches, pouvant guérir de toutes métamorphoses, à contre courant des pensées rabâcheuses, en phagocytant, quelques fois, le cerveau des régents, sont si froides, que rien ne pousse, ni même, l'herbe. Bien que les agents technologiques, en coopération avec les scientifiques de la tour d'observation des phénomènes anormaux, et, les agents fédérés du bureau d'étude sur l'humanité, collaborent pour le développement des vaccinales doses, permettant d'endiguer, de manière restreinte et sûre, l'enfièvrement incontrôlable, un grain de sable vient tout chambouler lorsque le préservateur singulier et autodidacte, Varech, issu du clan des alluvions, et, ses deux citoyens honorifiques de la couronne des cités aquatiques, n'incriminent guère ces membres indépendantistes de l'Unité, pour ces résiliences inexpugnables, qui ne le sont guère, dorénavant, lorsque la nature combative, contre la fièvre, des sauriens est exemplaire.

A ce moment, où, se soulève le rideau de ce théâtre morbide, le cœur battant à la chamade de ces courtisanes, qui jactent, sonne, si étrangement, dorénavant, à l'oreille de ces fils des ténèbres, ainsi, démonisés, dont le cœur, l'organe vital du corps, fait de chair, pompant le sang, est continuellement sondé comme si la vie leur appartenait, en décidant, au moment voulu, de la mort ou de la sauveté de ces êtres, qui ne sont guère bariolés, mais, bardés de rouge, tels des preux chevaliers des ténèbres, donnant des nouvelles très lucratives, sur l'immortalité, font leur grande entrée, dans cette cour, à élargir, dans laquelle le progéniteur, toujours, dans l'obscurité, auxquels il s'est navrement identifié, en révélant son côté fétichiste, en conversant, ainsi, au sein de ces diantres, des préciosités.  

During these days of beamingness of lingering, that promote peevishingly the uncontrollable flows of cohorts, visibly, breast-plated, to being just covered for the war, that does not look like, issued from all sects, and, from all malefic sub clans and all malefic clans, because of the death, the discreet paladins awaiting for the slightest ill planned prosecutions, that look like requests for ransoms, instead of true punishing expeditions, for leaving, even more longer, incubate these feverishable ones, that had not never ever dilacerated these second skins, forbidden to the dissection, had not done idle work.

Between-whiles, the triggering and harvesting bombermen, that grab, on the fields littered with holes, tissues of skins, coats, and natural shell, as rigid than stone, and, more surprisingly, gelatinous discoverings, are doing, with habits, extremely disturbing neglectednesses, in not cleansing up, as it is recommanded, these swamps from the fever, that covers irrepressibly these mazes, the officines cooperating to reduce the endemic fever, in which the technological agents, not boiling as expected, and completely dumbed, that are walking, with freeziness, across the places of rehabilition, where, the seeds of these famous neaps, closing the unhealable sicknesses, unless that the ransackers of the automeditive robots and the rigorist prescriptors, at the dictates of the rigor, during the periods of contagion, do not do leakings, are ready to meet these prevailing robots, having collected these unicellular seeds, that can heal all metamorphic transformations, against the tide, that pan out, in phagocytating, sometimes, the brain of the regencies, are so cold, that nothing grow, even, the grass. Although the technological agents, in cooperation with the scientists from the tower of the observation of the abnormal phenomenons, and, the federated agents of the bureau investigation of the humanity, are collaborating for the developping of the vaccinating dosis, allowing to arrest restrainingly  and surelythe uncontrollable feverishment, a grain of sand comes to turn upside down everything, while the singular and autodictacted preservator, Varec, issuing from the clan of tha alluviums, and, his both honorific citizens issuing from the aquatic cities, are not execrating these independantist members of the Unity, for these uncasted resiliences, that are not any longer, while the fighteous nature against the fever, of the saurians is taken by example.    

At this moment, where, the curatin of this morbid theatre, the heartbeats are dawning under the chest of these prowling ones, that tell forth,  is echoing, so oddly, from the times forth, at the ear of these sons of the darkness, demonized like that, of which the heart, the vital organ of the body, made of flesh, pumping the blood, is continually fathomed as if the life belong to them, in deciding, at the wished moment, the death or the sparing of these beings, that are no longer, slashed, but, armoured with red, such as brave knights of the darkness, giving very valuable news, about the immortality, are doing a tremendous entry into the court, to be widened, in which the genitor, always in the darkness, at which he has, in a surrendering way, identified, in revealing, his fetichist behavior, in, so, keeping with him, within these deuces, preciosities.  

Les textes et les images ne sont pas libres de droit. Merci de contacter l'auteur. The texts and images are not free of right. Please contact the author.