Les pans démoniaques VI / The demoniacal walls VI

L'un des gorgons : Si cela s'avère être vrai, les dieux aigris doivent en vouloir à ceux qui propagent la fièvre. Nous les guérirons pour qu'ils reviennent à jouir, de nouveaux moments, avec nous. 

L'un des mercenaires : Ils ne bougent pas d'un iota, malgré la guerre écumante ravage, les unes après les autres, les tributaires de la maudite guerre. Cela signifie que le rocher enrichissant les pierres de pouvoir, juchant le lit de laves écarlates, est inerte, pratiquement inactif. 

L'un des gorgons, cogitant : Les goules tisonnent les feux des enfers, qui ravageront les sous peuples. Si le dieu du feu est de notre côté, l'espoir vit.

L'un des druides : La morfle du dieu est longue, cette fois-ci, à moins qu'il réserve d'autres maléfices à ces peuples charnus. 

Pendant que les tribus nomades et impotents, qui sont des dénonciables fourre-tout de velus, à souhait, regroupant, notamment, des peluches mal-léchées, dormant, d'un œil, toujours, éveillé, sur les pans démoniaques, qui somnole, lorsque des poudres d'escampette farinent lourdement leurs cils, et, leurs paupières, afin que les dispendieuses armurettes d'étain et les dissimulants capelins, de véritables puçoirs, où, nichent des puces, mais, ignifugées contre de feu, servent à de nobles pugnaciers, invités à un fort aguerrissement et, non, à de simples durillons aux pieds, lors de marches vagabondes et interminable, qui sont, en apparence, en soutènement, durant l'entraînement de cette guerre lancinante, aux clans guerriers, ligués contre la fatalité, espèrent à croire, qu'une expugnante expédition contre tous ceux qui les contredisent, mettrait, en exsangue, leurs fautes, pour n'avoir guère permis au dieu du feu inapprochable de dire sa vérité envers ces peuples languissants, requérant son protectorat, le druide barbu et rustaud, anathématisant ceux qui ont croisé maussadement le chemin des goules complus dans les sentines des vices, jusqu'à faire moisir des bons d'esprit, s'insinuant dans les bonnes grâces des moines ascétiques et philanthropes, ayant cette intransigeance notoire pour que l'anathème de ces hâbleurs, et, ces divulgateurs, aux grandes divagations, lorsqu'ils font des messes basses et des brûlots, pour mettre sur les bûchers, aux brandons incandescents, les moindres orateurs et les moindres discoureurs, pour circonscrire la fièvre, bien qu'elle n'est guère prouvée être vraie, ne soit guère une pénitence, mais, une condamnation, sans sursis, est entrain de ramollir la hargne de ces va-t-en guerres trépides, qui trépident sur les mauvaises bûcheries.      

Dans tout ceci, il y a à l'intérieur des gorgons un cœur, qui bat, si fort que l'espoir, malgré qu'il soit infime, que le dieu du feu les anoblit, tous, tient bon, depuis toujours. Après le tournis extravidant sa mémoire, qui lui fit chuter, dans la trouvasse mousseuse, où la bile est profuse, pour raisons ignorées, le gorgon, contrairement à ses congénères, qui a intactement préservé ses mémoires volatilisant, pourtant, en un coup de grisou, traumatisant, se réveille repu. Totalement soufflé par les flammes transcendantales de ces nouvelles, changeant d'un camp à un autre, puisque les flammes révèlent leurs couleurs, lorsque, surtout, le feu attiseur, sortant du bois, arrache les feuilles, le gorgon, après avoir marmotté, durant des hibernations inexplicables, qui blettissent tous les fruits de la vérité, sait que les moissonneries sont propices à la découverte, et, aux embardées fougueuses vers l'ailleurs. C'est alors que s'ajoute, à ce plastronnage, plus rutilant que les autres, de ce rêvassant ravisseur de longues nuits, doué à annuiter les nuits l'ayant séparé de sa tribu native, ayant eu des frustes dans ces pays de transit, comme bien grand nombre d'orphelins, qui se rassasie de par grand chose, comme si sa couardise et sa gourmandise, à tout épreuve, lui redressait, toujours, son moral, cette gaine, telle une pièce d'orfèvreries incomparable. Ainsi, le gorgon, se pourléchant les babines, tient, enfin, un rêve à vivre malgré qu'il a rêvé de, si nombreuses fois. C'est alors qu'il susurre à l'oreille des murs.      

L'un des gorgons : Ces rêves, toujours floutés, faits d'ombres et de peu lumières, insuffisamment pour que des certitudes soient forgées, de manière irrépudiable, dans ces lits, rassemblent ces ombres monstrueuses, qui changent, quelques fois, par ennui, les rêves en cauchemars, pour m'atteler à la tâche. Le royaume des dormeurs grognons, qui s’allégeait de tous ces rêves prémonitoires, est entrain de m'attraper. Les ombres gouverneraient-elles mes rêves ?  Les livres dites de connaissances, voués à la consolidation des clans, qui existaient au-delà de ces vallées souterraines, et, narguantes, sont à ma portée. Les dormeurs et les rêveurs vont vivre les ombres.      

One of the gorgons : If that is proven to be real, the sore gods must wish doom to the ones that widespread the scourge. We will heal them for that they come to rejoyce, new moments with us.

One of the mercenaries : They do not make a move, in spite of the killing war is rampaging, the ones after the others, the givers of the accursed war. That means that the rock giving fortune to the powerstones, perching the bed of scarlet lavas, is condusing to an inertial state, barely unactive.

One of the gorgons, overthinking : The ghouls stir up the flames of the hell, that will hit down the sub people. If the god of the fire is on our side, the hope lives.

One of the druids : The suffering of the god is long, this time, unless that he casts a spell to these fleshed people.

While the nomad and impotent tribes, that are denunciable pursy bag of hariry ones, at wish, regrouping especially tousled up teddies, lying dormant, with an always awakened eye, on the demoniacal walls, that close while the enthralling powder powder heavily their lashes, and their eyelids, in order that the costly small armours,  and the dissimulating caps, true nests, where puces are nesting, but, protecting against the fire, serve noble dashers, invited to strong warrior trainings, and, not, to simple ruggednesses to the feet, during vagabond and everlasting walks, that are, in appearance, in sustainment, during the unravelling of this lancinating war, to the warrior clans, leagued against the fatality, are hoping to believe that an expugning expedition against the ones that are counterattacking them, will reveal, in accentuating way, their faults, for not having permitted to the unattainable god of the fire to tell truth for these lingering people, asking for his protectorate, the beared and lout druid, anathematizing the ones that have shrinkingly croised the path of the ghouls compleased in the sinks of the vices, till making the kind spirits water, insinuating themselves in the kindness of the ruled and philanthropist monks, having this notorious undully way for that the curse of these braggarts and these divulgators, with big lies, while they are doing mischievous talks and sending fire ships for that the slightest orators and the slightest speechers burn on the woods, with incandescent embers, for squaring up the fever, although that it does not proved to be true, is about to soften the harshness of these trepid warmongers, that are treading upon the wrong woods.

In all this, there is inside of the gorgons a heart, that beats, so loudly that the hope, despite the fact that it is so infinitessimal, that the god of the fire dubs them, all, is, ever since then, strong, After the muddling twist that empty his memory, that made him fall into the budding crevice, where the bilious substance is fuelling, for ignored reasons, the gorgon, contrary to his siblings, who has untouchedly preserved his memories, that are, indeed, volatilizing, in a firedamp, traumatizing,  is awakening fuelled. Totally blown away by the transcendantal flames of these news, changing from a side to another, because the flames, that reveals, so, the colors, be it, while the quivering fire coming from the wood burns leaves, the gorgon, after having slept, during unexplainable forced sleepings, that make all the fruits of the truth sleep, acknowledges that the harvestings are auspicuous to the discovery, and, to the rash rattlings sent to the elsewhere. It's then that is adds to this breast-plating more shimmering than the others, of this dreaming thief of long nights, talented to cover the nights having separated from the ones of his native tribe, having had frustrations in these lands of transit, as countless orphans, would be almost satiated, if his cowardness and his envy resplendish his moral, this girld, such as an uncomparable goldsmith. Thus, the gorgon, licking his lips, is finally holding a dream, to live, despite the fact that he has dreamt it, so many times. It's then that he is murmuring at the ears of the walls.  

One of the gorgons : These dreams, always blurred, made of hollows and less lights, insufficiently for that the certainties are forged, in an irrepudiable way, in these beds, gather grisly shadows, that turn, sometimes, by annoyment, the dreams into the nightmares, for rushing the pace. the realm of the grousing sleepers, that is cleansed from all these premonitory dreams, is catching me back.  Would the shadows govern my dreams ? The books of knowledge, fated to consolidate the clans, that existed beyond the underground and flattering valleys, are to be seized, are within reach. The sleepers and the dreamers make the shadows live.

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