Des tours des vaisseaux II / The warships's towers II

Après cela, dans les soufrières des pays de goule, où, l'abominable goule de l'agora, aux mains, autrefois, exstrophiées, qui flibustait pestement contre la mollesse de ces orateurs de l'agora, mis en vitriole, dont les rouages de ces machineries du temps, enrhumées par un coup de froid, ne semblaient guère être une énigme irrésolvable, se racquitte, sans peine, et, sans remord, en se repentant, à peine, de tous ses péchés, comme si, son cerveau pétri, par un maître penseur diabolique, qui ne redoute guère les conséquences, ne lui accorderait qu'un répit éternel, après qu'il fasse de ce symbole de la destruction, sis par la mort et sa fauche, un emblème de combativité, appelant à des vocations mortifères, ne daigne guère avoir s'être assis, auprès de maître-chanteurs, parmi les ménestrels, et, les troubadours, qui enrobent respectivement paroles et armes, de quelque chose, sous la forme de lettres, et sous des étoffes précieuses. Alors qu'au chantage de revoir cette pucelle prunelle de ses yeux, comme vierge de toutes fautes, qu'il désirait, si fortement, instrumentaliser tel un passe-droit dans le but d'accéder aux cieux, au bout d'un rite macabre, où, les sangs de milliers de plus, se verseraient dans les fleuves de malheurs, où, les fleurs de soufre poussent, là dedans, telle qu'il l'avait, avec ensouillement, embrassé, avec ce baiser mortel, l'assassin radotant, sans nom, tout comme sa dulcinée, amalgamant toutes prétendues égéries, parmi ces jouvenceaux fantoches, du même coup, a commis l'impardonnable erreur de réveiller la déesse de la destruction.

De retour au lieu de perfidie et de perversion, où, un terrible clan de goules, au sein duquel la tête du clan est acharnement disputée par des emblématiques combattants, tels des demi-dieux, aux têtes monstrueuses et vilaines, et, aux rivalités naissantes, qui dualisent les mondes, le mercenaire Boute et ses quelques trognons, qui font, par inadvertance, des œillades, derrière les fourrages de la chance, déplafonnent, par des lancés de pierres, des épieurs et mimiquants chauve-souris, aux museaux curieux, en fer de cheval, ou même, tenant de loup, perchés à l'envers, comme pour liserer cette frontière surnaturelle des ténèbres, jusqu'à réussir à attacher, avec une ficelle de soie, sur l'une des pattes de ces bateleurs de caves souterraines, un message de colportage, malgré un ficelage douteux, ressemblant en rien, à celle des fileuses de destin. Nul ne sait qu'adviendra de ces éclopés et ce chanceux. A la grande méprise, l'embonpoint du grassouillet mercenaire, aux veines exquises, mais, biens, cachées, sur lesquelles les crocs de ces goules, aux tolérances faibles aux sangs impurs, sont supposés de faire des saignées, jusqu'à sucer du sang, qui offrirait, à ce moment de frayeur, vastes terres à n'importe quelle âme charitable, si il lui était permis, par les dieux, est une aversion pour ces monstres, aux curieux et raffinés palais, remporte la mise, en déjouant, par la même occasion, tous les pronostics, en sauvant sa propre peau de cette situation vampirique, où, l'extorsion est la seule loi, qui vaille. 

Après quelques temps, dans l'un des pays de transit, une ribambelle de trognes, acceptant, pour une maudite somme, pour expédier, jusqu'à que les ores des lumières soient réellement digérés, jusqu'à l'avarie, par les révélateurs eux-mêmes, soient cantées aux bons entendeurs, et, aux sourds, des lettres de longue expédition, et, une hostie de gorgons, remplis de puces et de pucerons, que l'abominable goule maugréant ceux, qui sont originairement du même terreau, sont, en pleine coopération, pour comprendre le mauvais tour qu'on leur joue. Aussitôt que les petits bouts de messages aient été réceptionné, par chance, à moins qu'un dieu, au don d'ubiquité, veille, le trogne, quelque peu, rustre et, aux manœuvres inutiles, rouspète, comme jamais, comme si cela était joué d'avance. Et soudain, le mignard trogne, aux poils châtains, à l’œil avisé et pétillant, reconnaît, avec des mûrs songes, les natures transformées de ces espèces, au-delà de ces frontières surnaturelles, lorsqu'il est grimaçant.  

Beffroi, en lisant, à haute voix, ces petits bouts de messages : Il n'y a pas de pucelle. Les anges couvent mieux la vengeance. Il ne suffit qu'un nid perché, dans les ciels, pour abattre le royaume des cieux. Dans les affres de la mort, elles avouent toutes. La peste enfant de cette union interdite, une fois, grandie, sera fatale aux dieux des cieux.

Palefroi : Tout n'est pas rose, dans ces mondes. Heureusement que le mantra de ces tentateurs tantriques soit utile. 

Nod : Cela est vraie. Les chauvins, et, les vins chauds, acquiescent, de la même manière. Les canopes sont remplacés par des coupes de sang.

After that, in the sulphur-mines of the lands of the ghoul, where, the abominal ghoul of the agora, with hands, in the old times, mutilated, that protested, with anger, againt the slackness of these orators of the agora, put into bushes, of which the wheels of the machinary of the time, caught by the cold, do not seem as an unresolvable enigma, is getting rid of all his sins, without pain, and, without remorse, in doing, so barely, repentant, as if his brain moulded by a bedeviled thought master, that is not doubting about the consequences, would grant him an eternal respite, after that it be this symbol of destruction, sieged by the death and his faux, an emblem of combativeness, calling upon deathlike vocations, is not deigning to have sieged, aside backmailing ones, among the minstrels, that shroud respectivement words and weapons, thing, in the guise of letters, and under precious shrouds. Although, at the blackmail of seeing again this virgin core of his eyes, as freed of all sins, that he wished, so deeply, to instrumentalize such as a right-to-abode in order to access to the skies, at the end of a macabre ritual, where, the bloods of thousands, more, would pour down on the rivers of mischances, where, the sulphur flowers grow, down there, such as he had tarnishingly kissed, with this death kiss, the repeating assassin, nameless, all as his loving one, in confounding all pretendees, amongst these puppet juvenile ones, in the same net, has commited the unforgivable mistake of awakening the goddess of the destruction.    

Back to the place of pervertion, where, a terrible clan of ghouls, within which the head of the clan is, with harassment, disputed by emblematic combatants, such as half gods, with monstrous and villainous heads, and, with dawning rivalry, that are duelling the worlds, the mercenary Boom and his few runts, that are inadvertantly glaring at things, behind the undergrowths of the chance, are unceiling, by throws of stones, espying and mimicking bats, with curious noses, in iron of horse, or even, akin to the wolf, perched in the reverse way, as for bordering this unreal frontier of the darkness, till succeeding in knotting, with a thread, in silk, one of the forefeet of these flying ones of the underground cavities, a message of mongering, in spite of doubtful threading, in not looking alike, in nothing, to the ones of the threaders of destiny. Nobody knows what will advene to these impudent ones and this lucky one. To the great miscaught, the bump of the grassy mercenary, with exquisite veins, well hidden, on which the fangs of the ghouls, with weak tolerances, to the impur bloods, are supposed to make trenches till sucking up blood, that offered, at this moment of frigthening, vast lands to any kind souls, if the gods permit him, to do so, is an aversion to these monsters, with odd and amazing palates, is winning everything, in thwarting, by the same occasion, the bets, in saving his own skin, from this vampiric situation, while, the vampiric thing is the only rule, that is worthy.

After a few moment, in a transitory land, a host of mugs, acceptating, for a accursed sum, for expediating, till that the nows of the lights are really digested, to the overs, by the revelateurs themselves, are minorly told to the good listeners, and, the deafened ones, letters, of long expedition, and a host of gorgons full with beetles, that the abominable ghoul, execrating the ones, that are originally coming from the same ground, are, in co-operation, for understanding the bad twist that maddens them.  As soon as the dribs and the drabs of the messages have been received, by luck, unless that a god, with a god giving ubiquity, veils on them, the mug, somewhat, loutish and, with useless maneuverings, is loudly chattering, as never before, as if that was foredoomed, in advance. And sudden, the mug, with hazel hairs, with an brilliant and advised eye, is acknowledging, with matured songes, the transformed nature, while he is gimmicking.  

Belfry, in reading loudly these dribs and drabs of messages : There is no virgin. The angels are couffing better the revenge. It only need one cud, perched in the skies, for hitting down the realm of the heavens. in the throes of the death, they avow everything. The pestified child of this forbidden union, once, grow, will be fatal for the gods of the heavens.

Palfry : That is not a bed of roses, in these worlds. Hopefully that the mantra of the tantric tempters is useful. 

Nod : It is right. The chauvinistics, and, the hot wines, agree, in the same manner. The cups of bowels are replaced by cups of blood.

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