La panacée III / The panacea III

Tandis que les légitimes protecteurs de la couronne des rois séculiers, vidée de sa superbe, par des navrants gouverneurs de colonies, ayant cher à parier sur le régicide du roi conspué, depuis son couronnement fastueux, sont, enfin, sur le pied de guerre, tous les camps ne se guindent guère.

Au même moment, dans l'une des chambres mortifères, où, les accaparations ignominieuses des maîtres des lieux, d'ici, dissimulant, avec une dose de malhonnêteté, l'étoffe pourpre du mal, ayant moulus tactique et dessein de ces rivaux, grâce à des meuliers, pour y savourer le véritable parfum du complot des complices, provenant des catacombes, en choisissant, à la place, d'opiacer les convives de ces pléthores de salles de fêtes, tendent davantage à des mourons d'oiseleurs, qu'à des véritables battèlements, cherchant à déjucher ces accapareurs de la bataille de poix, de ces tours hautes et élancées vers les ciels, les macchabées, aux teints blafards, et la pimprenelle pimbêche, qui fait une œillade curieuse et étrange en admirant, avec un sourire narquois, des oiseaux faire la poudrette, et, qui, par la même occasion, déteste, sans vergogne, les anges, aux ailes couturées, tirent leur épingle du jeu, en ne feignant guère l'apparition de ces creusets, où, des meneurs d'attroupement sont allégoriquement portés aux nues, comme pour plaire au sein des dieux. Mais, hélas, il y a les tours de main des manivelles opérés par ces épingleurs, opposés à des dénicheurs tarabiscotés, des tire-larigots et des chasseurs de prime et de têtes caprins, dont le fond de commerce ne peut guère être sapé, ainsi, étranglant, avec sadisme, sans péréquation, les moindres saveurs et les moindres élus, émergeant, d'une tête, de la masse, mitrailleraient presque tout ceux, qui font obstruction aux règles de bâtardise. Et, tout d'un coup, l'un des macchabées benêts, qui fignole, à l'aide de cette pimprenelle, un dessein à dormir debout, fait, avec un pincement de cœur, s'il bat encore, des flagorneries et des esbroufes, au lieu de véritablement seoir, comme jadis, sur son ancien trône, comme pour démontrer qu'il a un cœur. Mais, les traites de plaisanterie s'arrêtent là, où, l'un des macchabées, sans mélatonine, et, sans pigmentation, déterminant, tardivement, que les tentateurs de ces sous clans maléfiques, et, de ces sectes, qui sont de parfaits devanciers, apportent fléau aux hommes purs, irrite et irasce ceux, contre ceux, qui glanent que la mort n'est guère leur dernier châtiment, devenant une quasi exception à la règle de bâtardise.  C'est alors qu'il prend toute son importance, dans ce jeu de pions, jusqu'à confier, à petits murmures, à cette pimprenelle, terrifiée par les canonnades, ces mots sauveurs, sur ces lieux de souvenirs. 

L'un des macchabées : Mon cœur, qui battait à la chamade pour une donzelle, est tien. Le faix a bien changé.

La pimprenelle : Des tours avancent quand les biens aimés sont comme de la chair à canon. Sauverais-tu ceux qui restent pour mes beaux yeux ? 

Et, de là, l'un des macchabées, aux yeux larmoyants, pleure.

Whereas the right protectors of the crown of the secular kings, voided from its superb, by the desolating governors of the colonies, having bet on the regicidal crime of the overburdened king, since his superb crowning, are, in fine, on the warfoot, every camps are not leveling themselves up.

At the same while, in one of the deathlike rooms, where, the ignominious seizing of the masters of the places, from the hereunder, dissimulating, with a touch of villainy, the tainted fabric of the evil, having crushed down tactic and plan, thanks to great tools, for savouring it the true perfume of plot of the accomplices, coming from catacombs, in chosing, instead of that, the opiums for poisoning the invitees of these plethora of rooms of parties, are more like chick weeds, than true rod beatings, seeking for unperching these players of the battle of the black pitch, from these high towers, stretching up to the skies, the cadaveric ones, with pallid faces, and the posh pimprenel, who is a curious and odd glaring at birds, that do dust bath, with irony, and, who, by the same occasion, hates the angels, with weaved wings, are taking a right card from this game, in not feigning the appearance of these spawnings, where, ring leaders are allegorically elevated to the skies, as for pleasing to the godship. But, alas, there are the giddinesses and the underhandings operated by these pinners, opposed to crazy hunters,  and goat like heads' hunters, of which the depth of affairs can not be jeopardized, like that, in strangling, with sadism, without per equation, the slightest saviors and the slightest chosen ones, emerging, with one head, out from the mass, would almost fire out all the ones, that do obstruction to the rules of bastards. All of a sudden, one of the dumb cadaveric ones, who is fomenting, with the help of this sly one, a little whimper plan, is doing, with a pinch of heart, if it beats again, dullinesses, instead of truly sieging, as before, on its ancient throne, as for demonstrating that he has a heart. But, the idlenesses are arrested, there, where one of the cadaveric ones, without pigmentation, determining lately, that the temptators from these sub malefic clans, and these sects, are like perfect predecessors, bring the scourge to the pure men, is irritating the ones, against the ones, that claim that the death is not their last punishment, in becoming a quasi exception to the rule of bastards; it is then he is taking all its importance, in this game of pawns, till confiding, with little murmurs to this pimprenel, terrified by the gunnings, these savior words, on this place of remembering.      

One of the dead bodies : My heart beating so loudly for a loving bird, is yours. The burden has well changed.

The primprenel : Towers advance while the well loved ones are like flesh to cannon. Would you save the ones that remain for my beautiful eyes ?

And from this moment, one of the dead bodies, with eyes brimming over tears, is crying.

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