Un don céleste VII / A celestial donation VII

Durant ce temps imparti et du aux dieux affamés de nouvelles révélatrices, après que l'ange décrépit tributaire de la mort fût, dans un piteux état, apparu, entre les vivants, dans la réserve naturelle des ogres,  l'honorification controversée des dévots de la lumière, jobardeurs, et, planqueurs, refoulant incessamment haine et rage, jusqu'à dégarnir leurs têtes, de ces coiffes assorties au plus bel astre céleste, et de ces hauts de formes, a été un âpre sacrilège outrant tous les ecclésiastes, qui avalèrent la couleuvre, auquel le plus perfide margoulin, à l'orée d'un monde entièrement envoûté, et, à la gouverne des régents, dont l'âme a été obscurci, avait fait de la prosternation, sur le parvis des êtres célestes, un entêtement. Pas un seul jour, où, les amourettes entre âmes sœurs, qui n'avaient guère concédé à cette petite part de bonheur, avaient été tranquilles, jusqu'à que la manipulation des esprits, grâce de simples envoûtements d'amour et de passion, soit davantage aisée pour ces dieux maléfiques, contrairement à ces créatures des antres, aux sangs froids incroyables, ne perdant jamais des yeux le cap. Il n'y a fallu que, dans le sein des possédés, la possédée, la plus connue miraculée, ayant été, jadis, exorcisée par des chamanes, sondant, tels des hérétiques farfelus, les énergies spirituelles, qui flottent, à travers l'obscurité apante, n'avait guère fait le véritable objet d'occultation de la part de ces endoctrineurs de disciples de la lumière, ayant l'apanage de tous ces actes miraculeux. 

Mais, hélas, un vent de panique s'empare furieusement de l'arrière pays, dans lequel la miraculée des anges déchus ubiques, tels des malheureux annonciateurs de la mort, telle était leur destinée, là en bas, en côtoyant la mort, jusqu'à devenir pire que les divinités destructrices de l’apocalypse, qui avaient concaténé, est insereine, à un tel point qu'elle avait été l'exégète, la main par laquelle ils donnèrent possiblement la vraie mort aux dieux. Dans les anciennes hécatombes, où, la faucille de la peste avait écimé tous les troncs, la gardienne de la bête cornée, abrutie par ces légendes, cautèle ses plaies, du mieux qu'elle peut, en se repentant, dès qu'elle ressent le besoin. Dans les cotonnades, où, les grands esprits s'étaient déjà rencontrés, l'un des disciples de la lumière, tel un moulin à vent, au repérage fin des lieux autrefois, en quarantaine, interloque, tout en faisant des allusions persistantes, la connaisseuse tentatrice, qui marche étrangement sur une tuile glissante.      

L'un des disciples de la lumière : Le culte des dieux a été, ainsi, bafoué. Les esprits malins se sont emparés de l'innocence de ces gardiens des cieux. La pagaille, qui enfante le désordre, et, ainsi de suite, maudit, d'emblée, les régents. Montres à tous ce talisman, qui arme la main de la possédée pour tuer ! 

Jana : Cela signifie bien qu'elle est de retour ! Sois serein ! Les mastabas sont dorénavant sous contrôle.

L'un des disciples de la lumière : L'empaquettage des biens, fait par des crapotants crapules, suffira-t-il à empêcher une nouvelle vague ? Ils agissent comme des envoûtés.  

Jana : Ton sarcasme en dit long. Mais, les manœuvres expéditives de cette seraille, rejouant certainement, grâce à des souffleurs, entre-cachés dans les huis, sont, sans équivoque, le théâtre d'une possession collective d'âmes, orchestrée par un esprit supérieur.  

L'un des disciples de la lumière : La farce a bien duré ! Non loin de là, des murets sont colmatés et des entrailles sont explorées. L'ange, qui n'est plus un ange, l'arme qui n'est plus sienne, sont-ils d'autant d'angoisses infondées ? L'oisiveté affublante des oiseaux annonciateurs de mauvaises augures incontinente ceux qui n'ont guère les reins solides.

Jana, avec un ton condescendant : Les mots empoisonneurs peuvent heurter uniquement les malséances haineuses, mais, les esprits gardistes savent qu'un élixir de la pensée peut guérir tous les maux.

L'un des disciples de la lumière : Me voilà, démasquez ! ô, elle a plusieurs mains ! Triste sire !

During this due time, owing the gods thirst for revealing news, after that the decaying angel owing the tribute to the death was, in a pitiful state, appeared, between the living ones, in the natural park of the ogres, the controversial honorification of the devotees of the light, misplaced philanthropists, and, flanking, repressing unceasedly hatred and rage, till taking away these hats matching the most beautiful celestial body, out from their heads, is a harsh sacrilege ousting all the preachers, that have been fooled, at which the most perfidious and inveigling blackguard, at the dawn of entirely mind controlled world, and, ruled by the regents, of which the soul has been obscured, had made the prosternation, on the pavement of the celestial beings, an tuning air. Not one single day, while, the loves between the soul mates, that had not yield up this little part of wealth, had been appeased, till that the manipulation of the spirits, thanks to simple bewitchment of love and of passion, is more easy for these malefic gods, contrary to these dragging in to their dens creatures, with unbelievable cold bloods, in never ever losing the right path. There just needed, that, in the home of the possessed ones, the possessed one, the most acknowledged aftershocked ones, having been, in the old times, exorcised by the divining one, fathoming, such as loutish heretical ones, the spriitual energies, that float across the swallowing darkness, had not occur the real object of occulting from the endeavowing ones of the disciples of the light, guarding all these miraculous acts for them.

But, alas, a panic stricken wind is furiously taking over the arriere land, in which the miracle ones of the all seeing fallen angels, such as bad omeners of the death, such was their destinies, down there, in neighbouring the death, till becoming worst than the destroying divinities of the apocalypse, that had overreacted, in a such way that she was the slayer, the hand by which they gave possibly the true death to the gods. In the ancient necropolises, where, the ripper of the death had mopped down all the trunks, the guardian of the horned beast, dumbed by these legends, is healing her wounds, as best as she can, in doing repentance, as soon as she need it. In the woll ware, where, the great spririts have already met, one of the disciples of the light, such as talkactive one, at the fine spotting of the places, in the old times, in quarantine, is loquacious, all in doing persisting hints, the acknowleging tentrix, who is oddly treading upon a buttlock. 

One of the disciples of the light : The cult of the gods is a simulacrum. The malign spirits have seized the innocence of these guardians of the heavens. The mess, that brings forth the disorder, and, as it follows, accurses, firstly, the sovereigns. Show them all the talisman, that give order to the hand of the possessed one for taking lives !

Jana : That means that it is well back ! Be serene ! The tomb like edifices are, from now on, under the protection.

One of the disciples of the light : Would the packing of the goods, to be dispatch, made by the ignominious ones, suffice to avoid the new wave ? They acts like bewitched ones.

Jana : Your irony is telling a lot. But, the expeditive maneuverings of this grasped group, overplaying, certaintly, thanks to whisperes, hidden in to darkness, are, unequivocally, the theatre of a collectif possession of soul, orchestrated by a superior spirit.

One of the disciples of the light : The joke has well lasted ! Not far away from there, the small walls are repaired, and, the wombs are explored. Are the angel, that is no longer an angel, and, the weapon that has not owner, so many idle anguishes ? The overburdening idleness of the bad omens birds make the ones, that do not have the brain down in the wombs, madden.

Jana, with a unrighteous tone : The poisonous words can hurt uniquely the hatring ill chairs, but, the running minds knows that an elixir of the thinking can heal all the evils.  

One of the disciples of the light : Here I am, unmasked ! O , she has a lot of hands ! Bad specimen !  

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