L'apogée de Calypso I / The momentum of Calypso I

Bien que les gracieux et brumeux oiseaux révélateurs, un peu, folasses, aux dons conferrables de pouvoirs de lumière, si la lumière prodigieuse, et, communiante, à la perfection, est bien, à nouveau, de leur côté, aux âmes pêcheresses, puis, repêchées, dans les tourbières limoneuses et les marécages mirageux, débordants de boue, ensuivent ruineusement les fouineurs, jusque dans les trouvasses de béance, tout apparaît plus clair, depuis que l'ange de la mort, l'exégète, aux plumage cendré et oint, ait fait son retour dystopique, dans le grand monde.    

A quelques encablures de là, à la lisière fragile des endémiques et incirconscris pourtours, où, la fourbe et expurgée congrégation des ciels, à moitié ensevelie, sous les éboulements de roches, se pare de nouveaux foudres de guerre, se reformant sur ces précis lignages, criblés de trous, le rapace et rouspéteur marteleur de fer, aileronnant agressivement comme si le temps pressait, sur les monticules boueuses, et, les buttes boisées, les amoindries et abusés parvenants, préfigurant de bien mauvaises choses pour l'entrainement à suivre, comme si ces confluents, innervant les veinages, en tout genre, étaient le point d'achoppement, sur lesquelles leur attention devait s'attarder, qui avait fait un forfait cuisant, se dessaisit, avec une inexpressible fougue, de ces affaires tourmenteuses, empêtrées dans les tourbières oublieuses, investies, par la lumière, comme pour resuivre les naturellement prédisposés et, toujours vivants, alors, élus, sombrant, dans l'oubli. Alors que la conviction fâde du gréeur de sein, séjournant, depuis tout ce temps, dans ce tertre, qui forme des escadrons de combattants grégaires, comme pour ne pas être confisqué de tous ses plus beaux larcins, reprend des couleurs, une flopée d'ondins, à l'air farceur, passant au travers des embûches, aux roses piquantes, qui prédilectent ces terroirs, au lieu de ces bourgs devenus le siège des tapageurs, fait flotter, dans les airs, un léger embrun, faisant évanouir, sans raideur, l'incertitude, jusqu'à se confesser auprès du rapace et perspicace combattant des ciels. 

L'un des ondins : De la perdrix, aux yeux globuleux, à l'aigleron gazouillant, ouvrant délicatement ses yeux collés, et, commérants sur ce monde, qu'il entoura, de ses grandes ailes de vainqueur, les yeux perçants de ces volatiles, de toutes les sortes, sont partout, même, dans les infimes fissures, dans les murs érodés par la brise du vent. Les sylphes, fourrées, dans les paniers de pailles des nains, à l'intérieur desquels s'entrechoquent des pierres anodines, calottant les entrailles des mondes souterrains, se frictionnant entre elles, jusqu'à faire produire de l'énergie statique, lavotées, et, essorées, aux vapotis évanescents, à la lumière révélatrice de défauts, sont perdues. Nos lamentations ségrégateuses de clans autochtones, occupant le même territoire, ont suffisamment duré.        

L'un des combattants des ciels : Les sylphes, veillant aux vaguelettes des plans d'eau, et, aux écumes baveuses des mers, auraient pu aider à gagner ces précédentes batailles larvées. Selon la légende, il faut un peu de vent et une pichenette, pour que l'aigleron, qui deviendra, si la lumière fait resplendir, à l'aube matinale, son magnifique plumage, le phébus, s'envole jusqu'au firmament.    

L'un des ondins : La rosace est un bien maudit. L'époque des sorceleurs était révolue. Mais, quelque chose, dans l'air, appoint autre chose. Nous savons qu'il y a péril à la demeure des hommes, depuis qu'une nuée sombre de voletants velléitaires, aux glapissements macabres, suivant une procession funèbre, et, après avoir subi l'enfumade de ces soulards mercenaires, veille au grain.     

Although the gracious and foggy revealating birds, somewhat, crazy,  with the god giving gift for conferring powers of light, if the prodigious and, condusing to the perfect communion, light is again, on their side, to the sinful souls, then, catched back, coming from the fever swamps, are ruinously following the excavators, till in the muddy voided neaps, everything appears more clearly, since that the angel of the death, with ashen, and, with oinctment wings, has done his dystopic return, in the big world. 

From distance from there, at the fragile frontier of the feverishing and uncircumcised purlieues, the sly and bowdlerized congregation of the skies, half buried, under the fallouts of rocks, is warding off with new warmongers, reforming themselves on these accurate alignments, crippled with holes, the rapacious and huslting one, hammering iron, giving wings, as if the time pressed, on the buttlocks, the slighest abused ones down with the fever, prefiguring well bad things for the dragging up to the situation, as if these confluences, nerve racking the veinings, in all kinds, were the point of anchoring, on which their attention has to focuse, that had once been forfeited, is unseizing, with an untellable dash, these tormentatingg affairs, going down to the oblivious fever swamp, invested by the light, as for refollowing the naturally predisposed and, always living, chosen ones, overshadowed, back to the oblivion. While the flimsy conviction of the equiper of the ship, sojourning, all this time, in this cavity caught in between, who is forming squadrons of altogether combatants, as for not being confiscated from all his most beautiful loots, is taking back its colors, a volley of water imps, with a playful looks, crossing through the ambushes, with pointy roses, that forebode these far away lands, instead of these little towns sieged by the trolls, is making float, in the air, a light fog, making vanish, without striction, the uncertainties, till confessing themselves, amongst the rapacious and cunning combatant of the skies.

One of the water imps : From the sparrow to the little burbling eagle, opening lightly his lidding and, gazing eyes, on this world, that will surround, with his great vanquishing wings, the piercing eyes of these flying ones, of all kinds, are everywhere, even, in the slightest cracklings, in the walls eroded by the gust of winds. The sylphes, flying over the baskets of the dwarves, inside which unimportant stones, weighing the underworlds, collide with each other, till emanating static energy, washed and cleansed, accompanied with little evanescent smokes, to the bright light revealing defaults, are lost. Our splitting kinships, lamentations have enoughly lasted.      

One of the combatants of the skies : The sylphes, eyewatching the little waves of the water plans, and, the foaming of the seas, could have helped to win these precedent holed battles. According to the legend, it needs a little wind and a pinch for that the little eagle, that will become, if the light makes resplendish, at the morning dawn, its wondrous feathers, the phebus, is soaring up, up to the firmament. 

One of the water imps : The rosace is an accursed good. The pipe times of the witchers was finished. But, something, in the air, dawn other thing. We know that there is peril at the homes of the mankind, since that a dark cloud of frigthening flying ones, with macabre screamings, following a death procession, and, after having suffered from the smoking of these unsober mercenaries, is eyewatching the seed.

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