L'apogée de Calypso III / The momentum of the Calypso III

Sur ces entrefaites, à point nommé, là, où, tout part à vau l'eau, les naines potelées, et, minées par la trébuchante et incomprise guerre des clans, aux minauderies et aux mignardises agaçantes, se désenrôlant de ces sectes, jusqu'à devenir les révocatrices de tous tableaux d'exécration et d’ignominie, dressés par des ingérants dans tout emmenage entrepris par ces clans clanniques, résolus à l'esclavage, recéleurs de biens issues de l'artisanerie, de la contrebanderie, et, de la délinquence, par le truchement de quelques chefs de pensées sévissant âprement dans les monde d'en bas, faisant, dans le désert treillissé de toutes parts, le portage dangereux de poteries de grès, sur leur têtes, aux grands crépons écrassés, et, aux fanfreluches sottes, monticulées de charges lourdes, après des disettes rudes, jusqu'à que leurs membres apparaissent décharnés, qui, sont ces cruches, par lesquelles l'eau écouvillonnant de ces trouées, puis, transportée, par pot, par ces voitures d'eau, est source intarissable de conflit, au sein des commanderies, redoutant la foudre des dieux, sont, malgré elles, des lanceuses d'alerte, perdant, par brime, des roussissants à l'eau médaillons, dans les sinistrissimes trous de sable. C'est, par la peur panique, qu'elles, de véritables épicuriennes, sachant que la famine abatit tout, voient luire la lumière du dieu suprême des mers. 

L'une des naines : Bien que nos chérubins, nos fagotins, aient jamais quitté nos coeurs, le dieu de ces versants, qui renfluera les déserts pour raviver la foi de ces hommes perdus, protecteurs des terres d'entre deux, nous attend, au lieu de ralliement. Les fortes têtes résisteront à la tentation du mal incarné.

Pendant ce temps, dans les ruades, vers le principal et énormissime bastion de survie, garni de denrées alimentaires, et, déjà prise d'assaut, géré par les mécènes, à cause des embardées spectaculaires de lévitants extraordinairement monstres des mers occupent, avec vilénie, les esprits dérangés, coquillant, comme dans un mouchoir de poche, sur ces bordéliques places portuaires, sur lesquelles les paris spéculatifs et farfelus, concernant l'annulatrice décision, qui fera capoter le tournoi, faisant trembler, comme la chevreuse, les dieux, reposant sur la plus grosse manne de cette époque plébicitée, les faisant retomber, dans l'âge des ténèbres, vont bons trains, stipendient les attroupements armés, au lieu de les débander. Alors que le mantra des troupes auréolés d'encore minimisées victoires, gangrènant, petit à petit, les fondations de ce royaume morcelé, est au beau fixe comme si le soleil ne pouvait exister, dans ce monde, les conciles de révélateurs, stoïques de façade, ravalant leur fierté, lors de ces malséances, où, un semblant d'ordre, si fragile, est instauré, proroguant, à moins qu'un roi, à la barque, au courage de soulever, à lui seul, un peuple tout entier, se manifesta, à temps, ou, à jamais, les édits, comme ces gargouilles figées dans le roc, contre les tentateurs des testaments, avançant leurs pions, s'entretoisent, jusqu'à faire monter la tension, tout semble être sous le contrôle ventileux des régents mal abusés, et, des dieux sermoneurs, à moins qu'il s'agisse, encore, d'un mirage, d'un oasis.      

Between-whiles, at the right time, when, everything starts to be turned upside down, the chubby dwarves, down with the clashing and misunderstood war of the clans, with pissing off manners, in being disenrolled of these sects, till becoming the revoking ones of all the tabs of execration and of ignominy, standingstill by immiscing into affairs led by these clannish clans, fated to the slavery, thieves of goods issuing from the art craft, through few chiefs of thoughts working harshly in the lower worlds, doing, in the desert furrowed from all parts, the dangerous transporting of sand stones's potteries, on their crashed down big wavy and curly hair heads, with silly fancies in the hair, oversupporting the heavy load, after crude starvation, till that their members appear unfleshed, that are these brats, by which the water coming from these holes, then, transported, by jar, by these cars of water, is an endless source of conflict, withing the commanderships and the kinships, fearing the thunder of the gods, are, despite themselves, throwers of alert, loosing, by twinkling of an eye, reddening at the water medals, in the sinister sand voids. It, by panicking dear, that they, true lving ones, knowing that the starvation mops down everything, are seeing shine the light of the supreme god of the seas.

One of the dwarves : Although our children have never ever leaved our minds, the god of these slopes, who will make gush out water, in order to calm the desert, for reviving the faith of these lost men, protectors of the lands caught in between, awaits us, at the place of the rallying. The strong heads will resist at the temptation of the bestowed evil.    

Between-whiles, in the rushes towards the principal and enormous stronghold of survival, full of foods, and, already, stormed, ruled by the philanthropist ones, because of the spectacular elan of the extraordinarily levitating monsters of the seas are villainously occupying the maddened spirits, caught in a pocket, of these messing harbour places, on which the speculative bets about the canceling and crazy decision that will make put to an end the tournament, making shiver, as the sheep, the gods, resting on the biggest treasure of this acclaimed period, making them fall back in to the age of the darkness, are continually entertaining the weaponed troops, instead of disbanding them. While the mantra of the troops crowned with minimized yet victories, making gangrenous, little by little, the fondations of this morcelated realm, is the good appendix, as if the sun can not exist, in this world, the councils of stoical revelateurs, at sight, reswallowing their pride, during these bad seances, when, a semblance of order, so fragile, is restored, delaying the edits, unless that a king, at the helm, eager to uplift himself a whole people, manifests now or never, as these gargoyles clinged onto the rock, against the tempters of the testaments, advancing their pawns, are intercroising their looks, till making the tension reach the climax, everything seems to be under the control of the ill abused kings, and, summoning gods, unless that it is still about a formented illusion.    

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