La patrouille des trouilleurs IV / The patrol of the trolls IV

D'une lumière blême, apaisante, en une fraction de secondes, les âmes, l'impétueux révélateur prédicant, qui n'avait guère averti, d'emblée, les éviscérés ruminants et les teigneux bâtards, tous foulardés, de son élancé retour sur les terres d'entre deux, après une longue et erratique croisade, n'a guère compati, avec la déchéance morale de ces profanes. Et, en statuant sur le sort de ces marcassins et ces canetons, vautrés, dans leurs moroses flaques d'eau, l'un des révélateurs prédicateurs, à la béatitude qu'on leur connaît, qui faisait, jadis, la causette avec l'oie, tel est l'érigeur de lois, dans son lac, cautérise les plaies de l'âme, du mieux qu'il peut, en aiguisant, en même temps, son épée tordu de la lamentation, comme, après l'avoir trempée, dans l'acide, le vrai étendard de l'ordre de la lumière, jusqu'à qu'il soit le voisin bien-chanceux de l'un de ces anges gardiens des hommes.     

L'un des révélateurs prédicateurs : Ils viennent à vous ! Les sans esprits ont été éperonné par la pointe de cette épée. Mais, nous serions lâches, si nous aurions succombé à la folie de ces massacres. En tendant l'oreille aux animaux, ils nous ont aiguillé. De la légère brise aux déferlements des caprins, et, des ovins, en troupeau, nous avons entendu leur messages. Voilà ce qui se produit, lorsque la nature se rebique.

L'un des archanges, tordus de rire : Rien n'a changé, sur les sentes du dallage de l'apocalypse,, tant les alpages et les trouvasses, étrésillonnées par les magnifiques et méconnus coureurs aux ailes, refermant nûment les secrets de vol, élisant, ainsi, après de longues palissages et de longues palanquages, les ciels nuageux et moutonneux comme leur propre arène, au sein duquel des grands arceaux, se recomposant, tous, seuls, comme les parties imbriquées d'un ensemble merveilleux, appartenant à la voûte d'une arche, qui existerait, au-delà des montagnardes paysages, sont nues comme un ver. Le fragrant ange, à la suave et agréable voix, douée à la thérapie, contrairement à ces tortures supplicières, pourrait-il nous éclairer, encore pour quelques temps ?

L'un des anges : Excepté que les démons diaboliques, jouant cette part de la partition des horreurs, il y a, encore, ces moralisateurs, qui n'interdissent guère de l'entrée de Calypso, la nymphe démoniaque, dans la chambre censitaire. Serait-ce le préambule de la fin apocalyptique, comme le préfigurent les versets censurés ?

From a wan light appeasing, in a fraction of seconds, the souls, the impetuous predicating revelateur, that had not warned, before that, the slayed overthinking ones and the unshrinking bastards, all, with scarfs, of his dazzling return on the lands caught in between, after a long and wrong crusade, has not dealt with the moral decay of these ones, in not having followed rituals. And, in dooming the idle ones, veltered, in their plan of waters, of the morosity, one of the predicating revelateur, with the same kind and wise mindset, that we acknoledge, that have, in the old times, talked to the stroke, such as the writer of laws, in its lake, is healing the wounds of the soul, as best as he can, in like blading, at the same time, his curled sword of the lamentation, as, after having plunged, in the acid, the true standard of the order of the light, till he is lucky neighbour of one of these guardian angels of the mankind.

One of the predicating revelateurs : They will come to you ! The woithout spirits have been speared by the spearpoint of this sword. But, we will be weak, if we will have succumbed to the madness of these massacres. From the lightest wind to the loadings of the horned ones, in herd, we have listened to their messages. Thus, what is happening, while the nature is forcing ways.

One of the archangels, laughing out loud : Nothing has changed excepting, on the places of the pavements, so much the mounts and the crevices, ogled by the wondrous runners with wings enclosing, at naked eyes, the secrets of flight, in so electing, after long flankings, the cloudy and fleecy skies as their own arena, withing which big portions, composing themselves, all, alone, as the imbricated parts of a wondrous whole, belonging to the wault of the ark, that would exist beyond the mountain's landscapes, are naked as a worm. Would the perfumed angel, with the gentle voice, talented for the therapy, against the grousing tortures, enlighten us, again for few more times ?

One of the angels : Excepting the diabolical demons, playing this part of the choral of the horrors, there is still these moralizers, that are not forbid Calypso, the demoniac nymph, in the censoring room. Would it be the begining of the apocalyptical end, as the censored words forebode ?

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