Les guerriers trolloques III / The trolloc warriors III

A cœur d’œuvrer dans le bon côté, l'elfin, le naturopathe caché aux yeux des démons vogueurs, tel un pondeur de prose toujours parfaite, tel un unilogiste, qui accompagne les virtuoses des sous-bois, jouant avec les éléments compositaires de cette nature archante, avec ses étreintes de lierres grimpantes, jusqu'à aider, à passer outre ces bruyères bousillantes toute espoir, et, en percutionnant pour des sonates, qui faisait pâle figure, dans son fagot perdant de sa substance, à cause d'énergies phagocytaires et inertielles, et, dont le registre s’amenuisait au fur et à mesure qu'il perdait l'essence beauté, qui lui était procuré par les miroirs reflets des âmes, qui fait usage de la force, à la place de placer des mots dans ces feuillets de l’actuariat, jusqu'à violenter, jusqu'au petit buis frétillant au arbre impérateur, la nature pour qu'elle réponde de sa méprise longue et torcoleuse, s'enlie racineusement au lierre ratiboisant tout, jusqu'à redonner l'agrès, qui fit de lui, un redoutable justicier, dans la nuit. C'est alors qu'à l'antiphase tant redoutée, et, reste inexplicable, à la lisière de ces bois, où, le démonium livre tous ses fouleurs de terres soubassées, comme au pire centre de l'inertie, l'elfe évolvant avec la nature sienne, qui fertilisait, tout comme Hélianthe et Ellebore, tels des dignes pères fruitiers, dont les anges frugivores de pommes d'or, perdus dans les jardins paradisiaques, qui donne le don de la voyance, et, de la clairvoyance, sont des simples enjoliveurs de la vérité, quelques fois, brute, et dure à avaler, son plan pour enmanganèser vitaminiquement ces racines annexionnant les arches les unes aux autres, dans ces paraphes, est dépassé par le feu de l'action, jusqu'à perdre, comme ses yeux se baladant au travers de l'horreur du feu, l'arche principale, hors de laquelle ses coopérateurs sont délabrés, nus d'espoir. C'est alors que l'un des elfes s'adresse, tout en drainant le flux énergétique qui maintiendra le mourant sufissament en vie, pour assister aux premières lueurs du soleil rond, à son guide des bois verdoyants, joufflus comme ces nains faisant toujours la bonne pioche.  

L'un des elfes à Orfin : Durant le temps de l'infamie, les nutriments nourriciers des fruits gorgés de soleil, non loin de notre temps, sauront mettre de l'énergie, dans le vôtre, votre embelle. 

Orfin : Le technologie prendra, quelque temps, la place dans nos arches, orphelinisés de ces arches auxquels nous appartenons, et, voués à se refuturaliser. Une parentelle, à laquelle nous ne pouvons pas locher, comme ces pommes tombées du ciel.

L'un des elfes : L'harmaguédon est proche.

Pendant que la concorde est ourlée, dans l'ombrelle, les versificateurs, qui annualisaient, depuis le cénacle, ces dettes des colonies sentencieuses, pour ces allocations de co-arches du temps, sont archivérificateurs de tout l'ensemble de l'héliostructure, cette fois-ci, visant le cadran universel des soleils éternels, qui spiculent, qui font des jets perturbateurs, à travers les hélioports, et, à travers l'univers.

At heart of working on the good side, the elfish, such as a hidden to the eyes of the waving demons,  naturopathe, such as  versifier always perfect, such as an unilogist, that is accompanying the virtuos ones of the undergrowth, playing with the elements compositary of this nature vaulting, wih its grippings of climbing ivies, till helping, to go beyond these undergrowth diminishing all hope, and, percutionning, for the requiems, that was at the wan light, in its green house losing all its substance, because of the phagocytating energies, and, of which the register diminished as long as its lost the essential beauty, that came from the mirrors reflection of the souls, that is making use of the force of the nature, instead of placing words in these leaflets of the actions, till calling upon the little quivering undergrowth to the imperial tree, the nature for that it answers of its long and headturning wrongies, is clinging on to the ivies razoring everything, till giving him back the use, that made him a great dread knight, in the night. It is then that at the anti phasis so feared, and remains unexplanable, at the edge of these woods, where, the demonium is surrending all all treaders of the tethered lands, as the worst centre of the intertia, the elve evolving with the sibled nature, that fertilized, as Helianthus and Ellebore, such as dignified fruitful fathers, of which the angels eating golden apples, lost in the paradisiac gardens, that give the gift of the clearsightedness, are just simple embellishers of the truth, sometimes, brutal, and hard to swallow, his plan for giving vitamins to these roots annexing the arks the ones to the others, in these folds, is overexceeded by the fire of the action, till losing, as his eyes croissing through the horror of the fire, the major ark, outside which his cooping up ones are washed, nude of hope. It is then that one of the elves is adressing, in all draining the energetic flux that will hold the dying one enoughly in life, for assisting at the first gleams of the true sun, to his guide of the evergreening wood, bumped as these dwarfs doing always the right pick. 

One of the elves to Orfin : During the time of the infamy, the nurturing nutriments of the fruits gorged of sun, not far away from our time, will know how to put the energy, in you, you inner beautifulness.

Orfin : The technology will take, sometimes, the place in our arks, orphaned of these arks at which we belong, fated to refuturalized. A parent affiliation at which we could not shake, as these apples fallen from the skies.

One of the elves : The armageddon is close.

Where the concord is progressively exhibited, in the hollow, the verisifiers, that annualized, from the cenacle, these debts of the sententious colonies, for these allocations of co-arks of the time, are like verifiers of the whole heliostructure, this time, targeting the universal sundial of the eternal suns, that are throwing distturbing jets, across the helioharbours, and, across the universe.

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