Les jappes des ombres IV / The shadowers IV

Tandis que, dans les processionnelles allées, vers cette axe spiritualisée, sur lesquelles les anciens anges des trônes, formant, depuis si longtemps, l'oraclée, tacheronnent, malgré les esprits frappeurs, à faire raisonner les in-dupes, les prêtes goguenards, subodant que des petits bagnards, encellulisés dans des gnôles, sont de mèche avec les érodants les barreaux, fouinassant vers les barrages, dressés par la honte, des anti-paladins, qui aglacissent, juste à ces moments, où, la rendue d'armes se produit un peu partout, les demi-lunes, placées, en croisillon, sillent, avec tâtement, sans même y voir un chat, jusqu'à être pris pour des salamandres, aux cuirasses bronzes. Ravalant, tout à coup, les âmes démoniaques, et, leurs bassesses, dans le vide intersidéral, dans ces moments impartis, que la propagande programmatisée par les exégètes, et, les annonceurs de l'apocryphe, avait eu grand écho, à travers les sous commanderies spirituelles, les sidérés jusque-là moines guerroyeurs, qui réverbère toujours, dans l’œil des chats noirs, portant malheur, à l'intérieur duquel offre des brillances, la lumière dans le grand noir, chapitraient, enfin, une fin heureuse, si les tires d'ailes des chars volants, qui se déployaient, au-dessus des condamnées, à l'avance, les tiraient de leur torpeurs. C'est à la lueur de l'enciergeage, par des chandeliers, du panthéon, où, les tatillonneries des maîtres d'esprits, des seigneurs de la lumière, et, des chefs suprêmes de la lumière, imprêts à en-courber l'échine du monstre resurfaçant, car, la lumière précède la foudre, font du mal aux croyances insubmersibles, tant la forge de la croyance est bâtie, sur l'un des trônes de la connaissance, l'un des vieux de l'époque, qui jeune à prendre cette nourriture spirituelle, comme si le malin avait détourné ses bêtes, se meurt de n'avoir les mots pour refidéliser.  

Parangon : L'édification des édits et des ordonnancements est proroguée, laissant place à une chambre constitutionnelle et transitoire, qui durera aussi longtemps qu'il le faut. Mais, les dieux assouvisseurs, qui appauvrissent, tout d'un coup, les savoirs des hommes, noue un nœud autour de quelques uns, pro-lysés, risquant de s'éloigner du peuple. Malgré que le régime politique est encore indécis, le retournement des séraphins entétinants, en dit bien plus qu'il n'y parait.  

A l'entrecoupement donné par des sonneurs, tablant pour se faire comprendre sur des types de sommations étranges, les prêtes guerriers, qui font fi des crémations, comme pour signifier du détachement des émissaires des dieux, se reconvertissant, dans la sur-arche du mal, épurgeant leurs proches, des brebis galeuses, se tournent bénets, vers d'autres quêtes insastifiables, jusqu'à s'oxyder, ailleurs, l'esprit, loin de la chaleur temptatoire. C'est, ainsi, en rameutant, dans ses chers souhaits, l'entier saint peuple, combastant, qu'il trouve conseil auprès du Parangon, encore sain d'esprit, contrairement aux dératificateurs, perdant la souveraineté territoriale, dans ces panachages cendreux.      

L'un des prêtes guerriers : Mais, depuis que les suppositions intersticieuses des moines, des prêtes, et, des archevêques, d'apparences campaniformes, jugés pour leurs hérésies, à propos des empreintes spectrales et fantomatiques, imbibées dans l'encre, qui a une odeur spécifiée, qui gagnent le rang des garnissons, pour prêter main forte aux rupins, en formation d'un unité de soutènement, variquent, alors que des espaces s'évidant, tout seul, sont administrés par des disciples sataniques. Mais, un grand frein poussoye toujours les anges de la vertue, et, les vénérables protagonistes de l'ambre de feu, comme vous, voulant désencieller les ciels cuivrés des feux libérateurs, comme si le revers des héraldistes, à l'échec retentissant, empontonnant les trouées de l'enfer, à agglomérer, dans la pie des mondes pisseux, ajupés sur les monts, les surlumineux êtres, dont le pouvoir cosmique, de la grande cosmicité, grandit.  

Parangon : C'est sur eux que la foi en le cosmos se fonde ! La dièse, la pause est un sacré nœud ! L'acte d'achèvement est à déplorer.

Whereas, in the processional alleys, towards the spiritual axis, on which the ancient angels of the thrones, forming for so long, the oracle, are labouring, in spite of the striking spirits, to do reason the non lewd ones, the quivering priests, enstating that the little imprisonned ones, in their jails, are the accomplices of the eroding ones of the bars, going to the barriers of the shamefulnesses, of the anti-paladins, that are remaining, just at these moments, where, the rendering of the weapons is happening a little bit everywhere, the half moons, placed, in crosses, are furrowing, without seeing it a cat, till being taken for salamanders, with the bronzed skin. Reswallowing, all of a sudden, the demoniacal and lowering souls, in the blackhole, in these reserved moments, that the propaganda programmatised by the rippers, and, the announcers of the apocryph, had had a big echo, across the under spiritual commanderships, the siderated henceforth warmongering monks, that are always reversing the curse, in the eye of the jinxed black cats, inside which shimmerings are ofered, the light in the blackiness, would, in fine, chapter a happy ending, if the wings stirring out mechanisms of flying carts, that were unfolding, above the condamned ones, at advance, were dragging them from the torpours. It is then, at the sparkles of the chandelliers poised in the pantheon, the hesitations of the masters of spirits, the lords of the light, and, the overlords of the light, not ready to bow the back of the monster resurfacing, because, the light is yielding the precedecence to the thunder, are bad for the insubmersible believes, as the forge of the faith is built, on one of the greatest trones of knowledges, one of the elder of the past times, that is not eating this spiritual nurtures, as if the evil had turned his beasts, is dying to not have the words for refidelizing.

Paragon : The edification of the edits, and, the ordonnancements are postponed. letting place to a conventionnal chamber, that will last long enough. But, the accomplishing gods, that are poverishing, all of a sudden, the knowledges of the mankind, is knotting a knot around few ones, that are plagued stricken, risking to be distant with the people. In spite of the political regime is yet undecided, the returning of the feeding seraphims, is telling a long about the situation, now.  

At the hit given by the ringers, planning for beign understood on odd ommations, the warmongering priests, that are mistrustingly telling a lot about the burnings, as as for meaning the detachment of the emissaries of the gods, beeing transformed in the supreme ark of the evil, purging their close nate, of these bad goats, are turning the other quests, till oxydating, elsewhere, the mind, far from the tempting heat. It is, then, in regrouping, in his dearest vows, the entire holy poeple, that he is finding advice, in Paragon, having all his mind, contrary to the disratifying ones, in losing sovereignty, in these ashy regions.

One of the warmongering priests : But, since thant the interstices's suppositions of the monks, the priests, in campaign  judged for their heresies, about the spectral and ghost imprints, inked in the black matter, that has a specified odor, are venting, in taking advantage of the rank of the garrisons, for giving a helping hand to the noble ones, in formation of a second unity, are going to change, whereas the spaces stripped of all lives, all alone, are administrated by satanic disciples. But, a big pause is still pushing the angels of the virtue, and, the protagonistes of the amber of fire, as you, wishing to get rid of the liberating fire, in the turned crimson skies, as if the reverse of the heraldists, at the dazzling failure, bridging the hellholes, to agglomerate, in the gush of the simpering worlds, above the mounts, the overlightening up beings, of which the cosmic power grows.

Paragon : It is on them that the faith on the cosmos is strong ! The hash, the pause is a sacred knot ! The act of dooming is to be deplored !  

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