Le baleinage I / The whaling I

Les mains et les lèvres imploreuses, qui gercent à mesure qu'il établit, dans le saint lieu, et, en lui-même, son honnêteté, tel un un superbe orientateur des étoiles, sur terre, l'imprécateur usé, Parangon, face à la réversibilité des événements, fait mine de ne rien comprendre, jusqu'à les runes taillées redressent l'échine de ces animaux abattus. Pendant le retablement des animaux sacrifiés, sur l'autel des dieux, Parangon, émiettait nerveusement le pain nourrissant et qui ferait repaître, davantage, de bêtes, au menu des monstres. Quelques moments durant, dans les temples, à flanc de montagne, où, les cabots sacrifient leurs temps pour espionner, derrière des murets naturels flagellés par des queues lourdissimes et des flancs oblongs de monstres affamés, des sages, en renouvellement de leurs sagesses, auprès du verseau, qui fait le déni de ce poison, qui verserait, selon les nixes et les kelpies des eaux montantes, du mercure dans tout ce qui y interdit de corrompre, jus-qu’être l'alibi tout trouvé, pour habiliter la main divine, joignant toutes les phalanges, qui tranchera la mer obscurcie, l'imploration divine de Parangon fait des émules.

Au cours de ses adoptions de cœur de ces éperdus, où, le petit gel sur le front des adeptes désillettrés, bahutant tout, se forcit, au fur et à mesure de sa revenance, ici bas, est encore à prouver, la rencontre fortuite et nimbée de périlleux coupe gorges, entre les verseaux et l'élu de la prévenance est sonnée par des rembardements, ce qui triple l'hardiesse de ces tridentés, qui ont la faiblesse d'avoir, par peur du feu, l'usage de pierres bleutés, aux rainures de pluies, capables de recouvrir les terres d'infinis océans. Alors que l'arche couveuse de l'armée du saint esprit, bien que le sacrosaint est dévalisé, s’illumine, les verseaux, raccolés par des référents de la lumière, tels que Cithare et ses traduits par la justice des dieux, évident ces lieux ramontés par des démons, jusqu'à que l'un des verseaux, qui ont le ressort d'appliquer la noyade à toutes morts, remonte le moral de cet élu préféré, dont le favoritisme l'inexcuserait de tout.

Un surpuissant dieu, en un simple verseau : Il y a des élus, qui ne l'entendent guère de la bonne oreille. Tarsius, le petit ouvreur de passage d'eau, a entroué l'un des portails vers la vallée d'encarta. Mais, qui voilà ? 

Ode : Mais, l'égal des dieux ne peut être leur égaux, s'ils l'autorisent. De main en main, la carte des arches atlasienne est passée. Or, au bout des doigts, ils touchaient tous un bout d'éternité.

Cithare : Les boîtes d'or endorurant les empreintes du temps, les témoins du temps sont, à nouveau, à branle de montagne. Grâce à la capitalisation de toutes les recherches reliquaires, issues, pour la plupart, de ces concavités, tout l'or du monde fera couler les fondements de l'arche intemporelle, à travers laquelle la marche des victorieux vers le monde éternel sera immortalisée.        

The imploring hands and the lips, that are crakling, as he is establishing, in the holy place, and, in himself, his honesty, such as a superb guide of the stars, on earth, the used imprecator, Paragon, facing the reversibility of the events, is like mimicking of not understanding at all, till the slenced runes are making standstill the back of these befallen animals. During the retabling of the sacrificed animals, on the threshold of the gods, Paragon was nervously crumbling the bread, that feed up, more, beasts, such as apetizers of the monsters. Few moments during, in the temples, on the mountain, where, the jinxed ones are sacrificing their times for spying, behind natural walls flagelled by heavy tails and oblong ribs of thirsty monsters, wise men, in renewing their wisdom, close by the waterbearer, that is denying the presence of the poison, that would pour down, according to the nixies and the kelpies of the resurging waters, mercure in all things that it is forbidden of corrupt, till being the all founded alibi, for abiliting the right hand, joining all the phalanguses, that will split up the darkening sea, the divine imploration of Paragon is emulating a lot of persons. 

During his adoptions of heart of the lost ones, where, the little frozen on the forehead on the learning disciples, erecting shelter of learnings, everywhere, is strengthening, as his revenance, down there, that is to be proved, the hazardous meeting, nimbed of hazardous chasms, between the waterbearer and the chosen one of the prevenance, is kind of halted by squadfights, what is making triple the ruggednesses of these tridents' bearers, that have the weaknesses of having, by the fear of the fire, the use of the bluish stones, with rain streaks, capable of covering up the lands, of infinite oceans. While the ark craddling the holy army of the holy saint,althought the holy saint place is a place of robbery, is enlightening up, the water bearers, joined by the referents of the light, such as ZIther and his traduced by the justice of the gods, are evacuating these places upsprung by the demons,till that one of the water bearer,  that have the sprung of appy the drowning to all deaths, is heartening up this favorishingness would unapologize of everything.  

An almighty god, in simple water bearer : There is chosen ones, that are not hearing with the right ear. Tarsius, the little opener of water path, has holed oen of the portals leading to the valley of encartada. But, who is that ?

Ode : But, the egal of the gods can be their equals, if they are authorizing him. From hand to hand, the atlasian map of the arks has journeyed. At the tip of the fingers, they touched all a morsel of eternity.

Zither : The golden boxes goldfingering the imprints of the times, the witnesses of the time are, again, a shaking of mountain. Thanks to the capitalisation of all the relics researches, issuing essentially, from these shafts, all the gold of the world will forge the foundations of the intemporal ark. through wich the walk of the victorious ones towards the eternal world, will be immortalized.

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